Chapitre 26 :

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KATLIJN

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KATLIJN

De douce caresse le long de ma colonne vertébrale, ainsi que de doux baiser dans ma nuque. Un réveil exquis.

Ça fait un mois que deux à trois fois par semaine, j'ai le droit à ce genre de réveil. C'est très étonnant étant donné que je savais dormir seulement avec Idriss, ou alors avec les mecs avec qui je couchais, mais je finissais très souvent par me réveiller en pleine nuit pour ne plus réussir à dormir.

Ce garçon m'est vraiment bénéfique.

J'ouvre les yeux et me tourne vers Oliver.

- Bien dormi ?

Il embrasse mon front et ma joue, avant de mettre sa tête dans mon cou et de m'entourer de ses bras.

- Très bien et toi ?

Je sens de petits baisers dans mon cou, je passe mes doigts dans ses cheveux.

- Mmh, il gémit de bien-être.

- Ne te rendors pas, tu dois aller bosser.

Ses bras se resserrent autour de moi avant qu'il ne se sépare de moi, il se laisse tomber contre son oreiller. J'en profite pour regarder mon téléphone, je souffle quand je vois que je n'ai toujours aucun message d'Ambreen.

- Toujours rien ?, il demande.

- Non, c'est pas grave.

Je me remets bien dans mon lit, en face de mon copain. Ce beau gosse est mon copain, j'ai de la chance quand même.

Un homme musclé, aux sourires et aux yeux à tomber, adorable, gentil et intelligent.

- Quoi ?

Je pose ma main sur sa joue, et je me rapproche de lui pour l'embrasser, il me rapproche de lui, mais on se sépare très vite, sachant tous les deux qu'il doit partir et qu'on n'a pas le temps pour plus.

- Je vais prendre une douche.

- D'accord.

Il embrasse mes lèvres avant de partir pour la salle de bain, je décide de moi aussi me lever, j'enfile une tenue un peu plus décente que ma tenue d'Eve et rejoint la cuisine dans laquelle je fais couler un café.

Je sens deux bras s'enrouler autour de moi ainsi que de doux baisers dans ma nuque.

- Tu sais que tu dois partir dans vingt minutes ?

- Je sais, mais réfléchis-y deux secondes. J'ai une meuf canon, dans sa cuisine, à moitié à poils. Tu t'es pas dit que ça pouvait jouer sur ma santé ?

Je me tourne vers lui pour enrouler mes bras autour de son cou.

- Oh si monsieur le docteur, mais tu as de vrais patients à soigner, des gens qui ont besoin de toi.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant