Chapitre 47 :

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KATLIJN

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KATLIJN

 Je viens de ranger mes dernières affaires dans la commode.

J'ai réussi à me détendre quand j'ai eu mon père au téléphone ce matin et qu'il m'a assuré qu'ils allaient bien, et que Josie aussi. Je suis soulagé qu'ils aillent bien, et qu'ils n'aient presque rien.

Ce soir, on reçoit nos amis pour mon retour, je sais déjà qu'on va se faire charrier parce que je suis allé voir Idriss, que j'ai passé la plus grande partie de ma journée chez lui. Je sais très bien que ce soir notre relation sera plus officielle qu'elle ne l'a jamais été.

Alors que je suis en train de me préparer, je sens deux bras s'enrouler autour de moi ainsi que des baisers dans mon cou.

- T'es rentré comment ?, je demande au grand brun.

- Ambreen m'a fait un double, je me tournais vers lui avant de mettre mes mains dans son cou, j'ai envie de faire autre chose que voir les gars.

Je souris un peu quand l'une de ses mains se retrouve étrangement sur ma fesse.

- Pourtant il va falloir, je les ai pas vus depuis trois mois.

Il souffle avant de coller son visage dans mon cou et de commencer de doux baisers, je le repousse alors qu'il grogne.

- Bébé...

- Non, si tu peux pas te retenir, tu sors.

- Comment tu veux que je me retienne devant ma meuf en sous-vêtement ?

- Ta meuf ?, je demande plus pour l'embêter que comme une vraie question surtout que ce n'est pas la première fois qu'il m'appelle comme ça.

Mais on n'a pas parlé de notre relation ces derniers jours, peut-être que je me suis juste fait un film.

- Ouais, ma copine si tu préfères.

Je m'empêche de sourire.

- Et mon avis ?

- Ton putain de sourire c'est ton avis bé'.

Je laisse un grand sourire prendre place sur mes lèvres avant de prendre son sweat dans mes mains pour le tirer vers moi, il pose ses mains sur mes hanches avant que je ne pose mes lèvres contre les siennes. Je le sens sourire contre mes lèvres, la même main se retrouve sur ma fesse. C'est la sonnerie qui résonne dans mon appartement qui fait qu'on se sépare.

- Vraiment ?

- Va ouvrir le temps que je m'habille.

- Amb' est là, tu sais.

- Ouais, mais ça nous empêchera de nous sauter dessus.

Il souffle et sort de la salle de bain.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant