Chapitre 86 :

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KATLIJN

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KATLIJN

- Papa, tu vas la faire vomir, je le préviens en souriant.

- Est-ce que t'es en train de dire que je sais pas m'occuper de bébé, il râle alors que lève les yeux ciel, elle est pas gentille ta maman. J'espère que tu lui mettras la misère quand tu seras grande. Mais grandit pas trop vite quand même.

Il embrasse son front avant de se lever et de la déposer doucement dans le petit lit qu'il a récupéré dans le grenier.

- Elle est vraiment trop belle. Elle te ressemble énormément quand tu étais petite, je lui souris tout en m'appuyant sur le torse d'Idriss qui passe son bras autour de mon cou, désolé Idriss, mais tu vas avoir des problèmes avec les garçons quand elle sera adolescente.

- Je m'en doute, et j'en ai déjà peur, je ricane avant de frapper sa cuisse.

- Laissez ma fille grandir tranquillement.

- Bien parlé ma belle, rit Josie alors que mon père s'assoit près d'elle un sourire toujours aussi niais sur les lèvres.

Idriss embrasse le haut de mon crâne avant qu'on se mette correctement à nos place.

Lilith a un peu plus d'un mois maintenant, c'est un bébé adorable. Elle fait pas encore ses nuits mais elle se réveille seulement quand elle a faim et s'endort presque dès qu'on a fini de lui donner son biberon ou qu'on a fini de la changer. J'ai de la chance parce qu'Idriss l'entend la nuit et se lève lui aussi.

- Comment vont les garçons ?, demande mon père alors que Josie nous sert.

- Terriblement bien, répond Idriss avant de remercier Josie.

- Ken se prépare doucement à l'arrivée du bébé, je souris en sachant que je vais une nouvelle fois être marraine.

Je ne comprends pas pourquoi ils me demandent tous d'être la marraine de leurs petits mais personnellement ça me va parfaitement.

- Vous savez toujours pas le sexe ?

- Non, ils sont énervent sachant qu'ils nous ont presque menacé, s'énerve à moitié Idriss alors qu'il a quand même un sourire au lèvre.

- Depuis le début de la grossesse, ils l'ont dit, je les défend.

- Ouais.

- Et ton frère ?, demande Josie qui a vraiment pris en affection Hakim.

Ça l'a énormément peiné qu'ils se séparent, et qu'il ne fasse plus partie réellement de notre famille.

Même si Hakim fait toujours parti de notre famille, mon père le considère comme son fils, et moi comme mon frère.

- Il est plus que heureux d'être parrain. Et j'ai déjà peur quand elle sera plus grande, il va nous voler notre fille, dit Idriss tout en me regardant.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant