Chapitre 22 :

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KATLIJN

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KATLIJN

Je viens de plonger contre mon gré dans la piscine, quand je ressors la tête de l'eau, je lance un regard noir au rappeur.

- Klootzak ! (Connard)

Il me tire la langue alors que je lève les yeux au ciel, il fait une bombe juste à côté de moi, j'appuie sur sa tête pour le noyer, mais je n'ai pas de force face à cet homme.

- Tu voulais faire quoi là ?

Il récupère mes poignets dans ses mains pour me bloquer.

- Oh bah pas grand-chose.

Je lui souris, il lève les yeux au ciel et me coule une nouvelle fois, je remonte à la surface, les yeux fermés dû à l'eau chlorée et je peux pas essayer de les nettoyer puisque le rappeur a toujours mes poignets dans ses mains.

- Lâche ma reuss toi. On bouge manger alors, allez vous préparer, crie Hakim.

- Et si je veux aps la lâcher ?

- Lâche la Deen, je reconnais la voix de Framal.

- Il veut quoi lui ?, je chuchote et comme je suis dos au deux frères seuls le sudiste peut m'entendre ce qui fait qu'il me lâche et qu'il explose de rire.

J'essuie mes yeux, et saute sur le rappeur, qui cette fois-ci, je noie. Je me dépêche de sortir avec l'aide du plus vieux des Akrour.

Je me dépêche de courir dans une salle de bain pour prendre une douche.

Les garçons ont bien préparé nos vacances, ils ont loué une grande maison, avec plusieurs chambres.

Je dors dans la même chambre que ma sœur donc ça va, et on a une salle de bain juste à côté.

Je mets des baskets et je rejoins mes amis dans le salon.

- T'es canon Kat'.

- Merci, je souris fière de ma robe.

Je m'assois près de mon meilleur ami qui passe son bras autour de mes épaules.

- Aller, on y va.

On sort de la maison et on part dans les voitures, je monte dans la même que quand on est venu ici.

On vient de sortir d'un restaurant assez mignon, j'ai la main de ma sœur dans la mienne.

On décide de rentrer dans un bar, je lève les yeux au ciel quand certains des garçons partent en "chasse", Ambreen aussi vu que je la vois déjà en train de parler avec un homme et ma sœur est encore et toujours collée à Maxime. Je sais pas si je pourrais vivre loin des garçons et les voir une à deux fois par an.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant