Chapitre 20 - Explosion et Mensonge

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Une année, c'était écouler. Rien n'avait changé, rien n'avais évoluer. Du moins Tooru et moi étions toujours en couple, cette année notre lien, c'était consolider malgré la distance qui était omniprésente.

Mes sentiments à son égard ont amplifié tant, ils me font peur. Mais aujourd'hui, je craquais, j'avais besoin de le voir plus souvent que ce qu'il m'accordait.

Il me disait constamment : " Ne t'inquiète pas, nous allons bientôt nous en sortir". Mais les mois passèrent sans que rien ne change.

J'avais même hésité à me rendre en Bolivie en tant qu'assistant de Mr.Jones, Tooru n'était pas de cet avis, et une grosse dispute éclata ce jour-là.

Nos langues de serpent crachaient des mots plus éclopée les uns que les autres. Pendant une semaine, j'avais évité ses appels et ses messages. M'enfin, il avait vite fini par me manquer.

Niveau psychologique, je me sentais mieux. Lorsque je rendais visite à ma mère, je passais également voir les parents de Kei. J'évitais au maximum son grand frère, car ses agissements portaient à confusion, parfois, il s'excusait s'en que je ne comprenne  pourquoi, une autre fois, il m'avait fait par d'une phrase tout aussi ambigu         " c'est toi qui la chercher".

J'en avais discuter avec Kenma et Kuroo, mais ils ne comprenaient pas non plus. Parfois, il était très câlin, il me mettait mal à l'aise. Alors je passais quand j'étais sûr qu'il ne pointerait pas sa tête.

Ma mère était aussi bizarre. Elle me cachait quelque chose, j'en étais sûr. Une fois au téléphone avec Tooru, il me fit par de l'enquête sur le passé de son père, il avait trouvé que nos parents respectifs avaient été dans la même université : la nôtre.

Mais le pire, c'était qu'ils étaient un groupe d'amis. Ce groupe d'amis se composait : de mon père, ma mère, son père et sa mère et Monsieur Jones. Je tombai des nues. Alors je lui en avais fait part à ma mère.

Son visage devint aussi pâle que notre mur. Elle m'expliqua qu'il n'était pas aussi ami qu'on le pensait, et que Tooru n'avait pas à fouiller dans le passé de son père, ceci dit sur un ton ressemblant à l'Antarctique. Ce qui ne ressemblait pas à ma mère.

Enfin bref. J'avais validé première année en étant deuxième de ma promo. Ben oui, je n'oubliais aucunement les études. Le soleil frappant sur nos peau à moitié nu, Tobio dormais sur l'un des transats de notre jardin, quant à moi, je lisais.

Je voulais absolument passer un moment avec Tooru, cela faisait un an que nous étions ensemble et un an qu'il ne, c'était rien passé d'intime. Mon imagination ne m'aidait aucunement à calmer mes tiraillements qui se faisaient sentir au creux de mon ventre.

Par chance, il m'invita à sortir ce soir, à passé la nuit avec lui. Je n'avais aucune idée de l'endroit où nous allions, mais peux importer tant que j'étais en sa compagnie.

L'heure de me préparer arrive rapidement, alors je me rendis dans la salle de bain, afin de me préparer au mieux : c'est-à-dire rasage, bain à l'eau de rose, soin du visage, crème parfumé. Je me sentais bien et léger.

Une serviette autour de la taille, j'observais ma penderie. J'optais pour un short en jean qui s'arrête un peu au-dessus des genoux, accompagner d'un large haut vert kaki.

Mes cheveux m'arrivent au-dessus des épaules, j'optai pour un chignon bas.
Je sortis de la chambre, accompagné de mon sac. Je me heurtai à Tobio.

— Tu part déjà ?

— Ouais, il ne va pas tarder mais t'inquiète, je reviendrai demain.

Il hausse les épaules, son visage arborant un sourire.

𝒴𝑜𝓊 𝓂𝓎 𝓂𝒾𝓃𝒹 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant