Chap 22 - Jalousie 🍋

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Marco : Le fait de savoir que tu étais la personne qui avait publié cette information m'avait mis dans une horrible situation. Jamais dans ma vie je ne m'étais senti aussi mal.
Mais j'ai dû faire un choix.
Risqué, certes, mais important pour le bataillon.

Qu'est-ce qu'il voulait que je réponde de toute manière ?
Il n'a pas tord, mais ça fait quand même mal.

T/p : C'est bon, c'est du passé maintenant, oublions ça et focalisons nous sur autre chose.

Marco : Je suis quand même vraiment désolé, je ne voulais vraiment pas le faire.

Je voyais bien qu'il était encore gêné alors pour que cette mauvaise sensation parte, je lui fis un câlin sans le prévenir.

Marco : T/p...?

T/p : Je ne fais jamais de câlin. Je déteste ça, alors profite de ses 10 secondes et ne parle plus.

C'est étrange, je sentais son coeur battre dans sa poitrine et les pulsations étaient irrégulières.

Lorsque que je me détachai de lui, mon regard rencontra le sien où quelques centimètres séparaient nos lèvres.
Ses joues étaient de couleur pourpre.

Dangereusement, je le vis se rapprocher de moi.
Je comptais refuser ce baiser, même s'il me tentait.
J'allais donc reculer mais il semblait que quelqu'un ait envie de l'interrompre à ma place.

Nous entendîmes un claquement de langue dont le son semblait provenir de derrière moi.

En voyant le regard glacé de Marco, je ne mis pas beaucoup de temps pour comprendre qu'il ne pouvait s'agir que d'une seule personne.

Livaï.

Marco fit le salut.

Livaï : T'es même pas encore préparé pour ton entraînement ? Tu veux nettoyer les chiottes ou quoi ?

Marco : Non, Caporal ! J'y vais de ce pas !

Vite, il partit se changer.

De mon côté, sans que je puisse m'en rendre compte, le Caporal s'était considérablement rapproché de moi.

Par réflexe, je me reculai légèrement mais ce dernier ne sembla pas du même avis.
Sans cesser de suivre Marco du regard avec des yeux qui le fusuillait, il serra mon poignet en m'attirant contre son torse.
Ma tête était plaquée contre lui et je pouvais sentir son coeur battre à un rythme régulier, ce qui m'étonna car de l'extérieur, il semblait vraiment énervé.

Lorsque Marco disparut de son champ de vision, il posa son regard sur moi, bien plus terrifiant.

Livaï : Qu'est-ce que vous étiez en train de faire ?

T/p : En quoi ça vous concerne ?

Livaï : Tch. Maintenant que t'as goûté à ma bite tu veux sucer les autres aussi ? J'ai bien vu que vous comptiez vous embrasser.

T/p : Et ? Vous êtes jaloux ?

Il glissa sa main le long de mon dos pour arriver presque que sur mes fesses.

Livaï : C'est ce qu'on va voir.

/!\🍋/!\

Sans plus attendre, il me prit par mon vêtement et me tira sans scrupule dans son bureau où il fallut plusieurs minutes pour l'atteindre.

En entrant dedans, il ne gâcha pas une seule seconde et mit sa main autour de mon cou, mon dos plaqué contre le mur à côté de la porte, de sorte à ce que je ne puisse pas parler ou même vraiment bouger.

Avec sa ma main gauche, il prit farouchement ma cuisse droite en laissant glisser ses doigts sur ma peau légèrement transpirante.

Je laissai lâcher un léger gémissement, mais pas de plaisir.
J'avais envie que cet enfoiré désserre sa putain de prise autour de mon cou.

Livaï : Tu n'aimes pas où ma main est mise ? Peut-être la préfèras-tu ici ?

Sans passer par quatre chemins, il posa sa main sur mon sein gauche, toujours recouvert d'un haut.
Il ne tarda pas à vite redescendre cette main pour passer en dessous de ce tissu qui entravait ses mouvements sensuels qui ne laisseraient indifférente aucune femme sur terre.

Il remonta délicatement sa main le long de mon ventre en prenant le temps de le toucher, comme si son enfant était dedans.

Après quelques longues et désireuses secondes, il atteignit enfin l'endroit que j'attendais tant malgré moi.

En sentant mon souffle considérablement augmenter face à son toucher des plus savoureux, il enfonça ce délicieux couteau dans le plaie en triturant mes tétons, désormais plus que sensibles.

Livaï : Tu aimes tant que ça que je te touche ? Quelle bonne salope tu fais.

Il accentua son mouvement en malaxant mes seins, ce qui évidemment me laissa échapper un gémissement bien différent du précédent.

Sans stopper de malaxer mes mamelles, sa main posée sur ma cuisse avança vers le point le plus délicat de tout mon corps.

Il caressa mon clitoris, recouvert de ma culotte.

Livai : T'es déjà mouillée juste car je touche ta grosse poitrine ?
Qu'est-ce que ce serait si je te pénétrais profondément avec ça ?

Il avait montré son gros pénis en érection que je ne pouvais visualiser que trop bien.
Même derrière un pantalon, on pouvait bien voir que ce n'était pas rien.

T/p : M-mh...

Il avait passé un doigt dans ma partie intime, où il ne se priva pas de passer partout dans mes murs qui ne demandaient qu'à être déflorés.

J'avais mis mes deux mains autour de son cou, tirant ses cheveux au moment où il enfonca un deuxième doigt. Je ne ressentais que du plaisir. Je baissai les yeux pour regarder son membre, toujours en érection qui ne demandait qu'à être en moi.

Il enleva sa main de mes seins pour remonter mon menton, m'obligeant ainsi à le regarder dans les yeux.

Livaï : T'en meurs d'envie, hein ? Vas-y, supplie-moi.

T/p : Livaï...S'il te plait...

Sans m'en rendre compte, je l'avais appelé par son prénom, ce qui ne lui échappa pas car à cette seule entente, un grognement sortit de sa bouche, où il rapprocha d'un coup son membre en érection sur mon clitoris, ce qui me fis gémir.

Livaï : Merde, tu devrais pas m'appeler comme ça, princesse.
Ça me donne envie de te faire jouir sur mon membre.

Lentement, il retira ses deux doigts de mon vagin en croyant qu'il allait me pénétrer mais ce ne fut pas le cas.

Livaï : Putain, quelqu'un arrive.

[Livai x Reader] ConséquencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant