Tu m'avais manquer.. AizawaxOC [ TERMINÉE ]

▪️ Chapitre 49

Point de vue de Elya

Après m'être changer, je rejoins Aizawa dehors qui m'attendait déjà.

A : Prête ?

E : Oui, ont va où ?

A : Juste au parc, ça te fera prendre un peu l'air

Nous nous dirigeons alors vers le parc, dans le plus grand calme, ce qui ne me déplaît pas. Je profite du léger vent qui souffle sur mon visage et des petits chants d'oiseaux.

A : Quand tu marche tu ressemble à un canard *dit-il en rigolant*

E : *grogne* prend ma place si tu veux !

A : Je plaisante, allé avance bouboule ou je te fais rouler

E : La ferme le vieux *dis-je en soufflant*

Il ricane et nous continuons notre chemin tranquillement, tout en discutant de tout et de rien.

E : Les élèves me manque un peu quand même

A : Tu leurs manquent aussi je te rassure

E : c'est sur qu'avoir toi ou moi en prof, le choix est vite fait

Il me regarde avec son air blasé ce qui a le don de me faire rire.

E : Héé oui, moi aussi je sais lancer des pics chéri !

Au bout de quelques minutes de marche, je ressens une douleur dans le bas du ventre, j'attrape le bras de Aizawa pour lui faire comprendre de s'arrêter.

A : Ça va pas ?

E : Je sais pas, j'ai ma- *CLAC*

Un bruit de poche qui ce perce ce fait entendre et un liquide chaud coule subitement le long de mes jambes.

E : Euuh.. j'ai perdue les eaux là

A : Oh c'est juste ça, ça va alors

Je le regarde avec les yeux limites sorti de leurs orbites.

E : JE VIENS DE PERDRE LES EAUX AIZAWA !

Il beug et pâli quelques secondes avant de réaliser la situation.

A : Putain.. Merde..

E : Je peux toujours accoucher sur un banc sinon !

A : Non Non euh..

Je soupire, ressentant des contractions de plus en plus forte.

E : Numéro 1, maison. Numéro 2, valise dans la voiture. Numéro 3, HÔPITAL ! ET MAINTENANT PAS DANS TROIS JOURS !

La maison étant proche du parc le trajet retour fût rapide. Aizawa m'installe dans la voiture et place en suite ma valise dans la voiture.
Les secousses de la voiture accentue les contractions, les mains serrés sur le siège, prête à arraché le tissus à chaques douleurs. Je grogne de douleur tel un dragon avec la grippe.