Livaï x Reader. Le futur... Les titans

•Bonus•

— Aïe !

Livaï me frappe avec son chiffon.

— Nettoies au lieu de rêvasser !
— Je savais que je n'aurais pas dû te dire « Je t'aime »...
— Tu préfères aimer une personne qui vie dans la merde et boit des bières devant le foot toute la journée ?

Je le prends dans mes bras.

— Oh non ! Je t'aime Livaï ! Je t'aime ! Ne me fais pas vivre cet enfer...
— Alors... Nettoies !

Il l'hurle dans l'oreille.

— Aïe ! Mes tympans !
— Tiens quelque chose de simple à faire... vas nettoyer la cuisine... je m'occupe du reste pour l'instant.
— La cuisine ! C'est beaucoup !
— Tu veux la part ?
— Non ! Non tu sais... la cuisine... j'adore la cuisine...
— Bien...

Je me dirige vers la cuisine, commence à ranger les affaires, balais, récure. Après une bonne heure dans cette pièce je me pose enfin contre le mur.

— Quel sadique ce mec...

Je regarde alors sur une étagère, un paquet étrange m'attire. Je me lève, prends le paquet et l'ouvre.

— Du chocolat !

Je mange les pépites de chocolat, normalement faite pour les pâtisseries. Je m'en mets partout, je regarde mes mains.

— Oups, j'en ai partout...

Je vais me laver les mains avec le robinet que j'oublie de nettoyer après... bien sûr...

— Ça m'a donné soif !

J'ouvre le frigo, prends un jus de fruit commence à l'ouvrir mais remarque sur l'étiquette qui est écrit « secoué avant consommation »

— Grrr

Je secoue la bouteille, le bouchon s'enlève et fait gicler le jus partout.

— Il a fallut que ça m'arrive ! Vite quelque chose pour laver ça !

Je cours pour prends mon balais à récurer, glisser sur du jus, m'accroche à un chiffon se trouvant sur le plan de travail faisant tomber un sac de farine sur ma tête par la même occasion. Je me relève brutalement me cognant la tête à la t'étagère où se trouvent les verre, faisant tomber un ou deux sur le passage.

Je recule effrayé, marche sur un bout de verre et tombe au sol.

— Aïe !

Je m'enroule en boule, je commence à pleurer, Livaï va me tuer et je ne peux même pas partir de cet enfer... La porte s'ouvre brutalement.

— (t/p) ! Ça va ?

Il ne me remarque pas, je suis caché derrière le plan de travail. Je lève lentement la tête, je le vois effrayé par cette pièce.

— Livaï... Je...
— (t/p) !!! Tu vas me nettoyer cette pièce !
— Tu... tu ne veux pas échanger...
— J'ai presque fini moi ! C'est normal que tu veuilles échanger !
— Mais... j'ai la poisse aujourd'hui...
— Tu es simplement un boulet.

Je retourne en boule dans mon coins. J'entends Livaï respirer un bon coup. Il s'approche de moi.

— Bon... je vais t'aider... Mais c'est la dernière fois !
— Merci !

Je le prends dans les bras, je suis surprise qu'il ne recule pas.

— Même avec un sac de farine sur la tête, tu es toujours magnifique...

Je souris.

— Merci !
— Aller ! Go !
— Oui Caporal-chef !