Livaï x Reader. Le futur... Les titans

•33•

« Je tourne la tête derrière moi pour voir sa réaction, je vois qu'il élance sa mains pour claquer mes fesses mais s'arrête à mi chemin.

« Bien... gentil Livaï... ne dépasses pas les limites d'une femmes... » »

Alors que nous traversons les couloirs, je vois les soldats me regarder bizarrement, devenir rouge, chuchoter entre eux en me montrant du doigt. Je pouvais reconnaître des soldats que je connais grâce au manga, ils me regardent bouche bée. Je vois Jean et Connie qui essayent de regarder autre chose mais c'est trop dur pour eux. Je ne comprends pas pourquoi tous le regarde ainsi, je regarde alors à quoi je ressemble, je ne suis pas habillé. Nous sommes déjà arrivés vers Eren. Il essaye de détourner le regard de moi qui suis en sous vêtements. Je réussis à me détacher de l'emprise de Livaï, hurle de gênance. Je peux voir Hansi rire, Eren se cacher rouge et Livaï me contempler.

— Arrêter de me regarder comme ça ! Donne moi quelque chose à me mettre sur le dos !
— Tch...

J'étais énervé, énervé contre lui et contre moi même qui ne remarquais même pas que je n'étais pas habillé, sûrement à cause de mon habitude en animal. Livaï commence à se déshabiller, enlève sa veste puis son t-shirt. Il est musclé, plus musclé que je ne le pensais, la lumière pourrait refléter sur ses tablettes de chocolat aussi appétissante que des vrais. Je me demande pourquoi j'ai des pensées ainsi...

— Au lieux de me regarder ainsi habilles toi, même si c'était un beau spectacle...
— Grrr

Je mets le t-shirt de mon ami, il m'arrive à ras du bas de mes fesses. Je regarde mes nouveaux vêtements, je n'aime pas, je n'aime pas rester limite nue devant tout le monde. Hansi, Eren et Livaï me regardent, je ne veux pas être regardé comme ça, déjà que plusieurs pervers m'ont regardé sans vêtements. Je me mets à hurler, je ne veux pas que l'on me regarde. Je tape fort du pied, bouge mes mains dans tous les sens instinctivement. Des flocons, des flocons sortent de mes mains, de mes doigts, me créant des nouveaux vêtements. Je porte une robe, une robe assez pratique même pour le combat. Assez courte sur le devant qui descend plus bas à l'arrière. La robe est assez moulante mais pas trop pour que je puisse avoir la liberté de mes mouvements. Mes yeux généralement (c/y) ont pris la même couleur que Livaï : gris bleuté.

Quand je finis ma robe aussi belle que les arbres glacés de l'hiver, je vois Hansi sauter de joie. Je me rends compte que j'ai fais une bêtise, une énorme bêtise, je viens de découvrir un nouveau pouvoir ressemblant à ce célèbre « Disney » et je l'ai révélé à quelque personnes. Je me vois alors attaché à un lit de laboratoire, prête à subir tous traitement de scientifiques maléfiques. Je ne comprends pas, pourquoi ce pouvoir ? Depuis quand je peux contrôler un élément ? Et est-ce que j'ai d'autres pouvoirs à découvrir ?

Je veux tomber sur mes genoux, tomber et paniquer mais mon instinct animal prends le dessus, me demande de fuir à cette psychopathe de titan. Je commence à courir, je peux sentir qu'Hansi va me courir après mais non, celui qui a attrapé mon poignet et une nouvelle fois Livaï. Il me regarde, reste de marbre, essaye de lire dans mes pensées.

— (t/p) ne fuis pas, c'est trop tard. Regardes toi, tu es magnifique.

Je me regarde, c'est vrai que mon pouvoir est magnifique, pas diabolique mais magnifique. Je pose ma main sur le dessus du crâne, touche quelque chose de poser dessus. Je l'enlève, vois une couronne de glace, un cristal se trouve au centre je la regarde attentivement. Cette pierre me dit quelque chose, je l'ai déjà eu ou déjà ressentis. Déjà pourquoi je possède une couronne déjà ? Je me mets à rire seule, ne comprenant plus rien à ce que je suis. Je repose la couronne, regarde mes mains, me demande de quoi je peux être encore capable de ce pouvoir de création.

Je rie, rie comme une enfant de 10 ans. Je n'ai pas rie depuis longtemps, une rire aussi magique. Je commence alors à bouger mes mains doucement faisant apparaître des flocons flottant dans l'air. Les flocons commencent à former des animaux, des formes, des personnes. Les trois soldats sont fascinés devant ce spectacle, ne souhaitent pas m'arrêter. Ces flocons remontre ma vie, allant du présent jusqu'à passer. Je vois ma vie a l'envers. Revois tous mes moments importants. Les premières rencontres avec mes amis les font sourire. Étrangement je ne me souviens plus de mon passé avant 5 ans. Est-ce que je vais pouvoir savoir plus sur mes parents ?

Ce que je vois me choque, des larmes qui se cristallise tombent de mes yeux. Je ne peux pas l'accepter.

— Je... suis... alors réellement un... montre ?