Livaï x Reader. Le futur... Les titans

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« Je vois alors leur tête se retourner, je vois de la surprise dans le visage de Livaï et du « Roi ». »

Livaï se met devant le roi pour le protéger, il me regarde dans les yeux.

— Qu'est-ce qu'il t'arrive (t/p) ?!
— Je vais te tuer... et lui aussi...
— De quoi ?! Mais pourquoi ?
— Tu m'as mentis ! Tu n'es qu'un...
— Oooh mais ce ne serait pas (t/p) ? Intervient le roi

Il penche sa tête pour pouvoir m'observer. En voyant mon apparence je vois de la surprise puis effrayé et il se mets soudainement à rire.

— J'en étais sûr ! Tu es bien la personne que je voulais !

Des soldats m'ont sauté dessus pour attraper mes membres pendant que j'étais focalisé sur les deux personnes. Je montre mes canines de colère, claque les dents. Je ne peux pas me débattre, je n'ai pas encore récupéré assez d'énergie. La phrase du roi tourne dans ma tête, que veut il dire par là ? Une scène me revient, la scène avec la neige, est-ce que c'est lui qui était avec le démon ? C'est lui qui m'a rendu comme ça ?

— Soldat ! Emmener la dans le cachot.
— C'est toi... C'était toi ?! Je vais te faire regretter de m'avoir enfermé !

De m'avoir enfermé ? Est-ce vraiment moi qui parle ?

— Calme toi petit démon...

Il s'approche de mon oreille et me chuchote :

— Oui c'est moi qui t'es enfermé dans ce corps, je l'avoue je n'ai pas accepté notre pacte...

J'ai assez d'énergie pour m'enfuir mais une vague de souvenirs me font surface. Je me vois offrir ce que voulais le roi, le pouvoir, les titans. Je vois notre pacte, notre pacte qu'il à été brisé mais il est encore vivant ce qui est étrange. Il a rassemblé plusieurs démons, esprit, ange et a crée un enfant avec. Je vois mes souvenirs défiler, le président venait voir comment je développais mes pouvoirs chaque année, j'en avais développé déjà beaucoup mais à partir de ma 5 ème année je réussi à découvrir le pouvoir de la mémoire et réussi à me l'effacer, pour protéger le monde. Mais d'où vient le manga alors ? Comment a t'il vraiment connue l'avenir ? On à jouer avec moi du début à la fin. Je me suis fais avoir...

— Comment je te l'ai dis pendant notre parti d'échec : je suis la dame et toi le roi... C'est qui qui avait gagné notre partie ?
— Que veux-tu dire ?
— Merci de m'avoir redonner la mémoire...
— Comment ça ?
— Échec...
— C'est moi qui t'ai eu ! Tu ne peux pas m'avoir !
— Il ne me manque plus qu'un coup mon chers Roi...
— Emmenez la ! Je veux qu'elle soit jugée le plus tôt possible !

Je ne me débat pas, j'ai gagné la partie, que je l'ai maintenant ou non je vais l'avoir, nous avons un contrat...
Les soldats m'emmènent dans un endroit sale, ouvrent une grille et me jettent dans la cellule. Je n'entends que les bruits des clés, des pas et des cris de supplice pendant près de deux heures. J'entends soudainement les paroles d'un soldat :

— Elle a profité du Caporal-chef Livaï, elle s'est approchée de lui, a joué avec sentiments...
— C'est drôle mais c'est l'inverse en réalité...

Je réponds et remarque que ma voix est redevenue normal.

— Ne mens pas ! Monstre !

Je montre mes canines énervé.

— Qui est-ce que tu traites de monstre ?!

Une voix s'élève du couloir, je peux reconnaître la voix de Livaï. Le soldat est paniqué.

— Je... je ne parlais pas à vous... je parlais à... elle.

Le soldat me montre du doigt, je vois enfin Livaï part les barreaux.

— Tu l'insultes encore une fois et je t'enferme avec elle... La connaissant elle te dévorera en un rien de temps.

Il me traite d'animal là, non ? Il s'approche de lui, l'attrape part le col

— Dé... désolé Caporal-chef...
— Allez pars !

Il le balance, il est froid. Je peux avouer que ça me manquait de ne plus le voir comme ça. Livaï se pose contre le mur et me regarde.

— Qu'est-ce que tu es devenu ?
— Lâche moi toi ! Tu n'es qu'un...

Il se remet droit, s'avance puis place sa tête entre les barreaux.

— Je suis ?
— Un enfoiré ...
— Ah oui ? Et pourquoi cela ?
— Tu as jouer avec mes sentiments ! J'ai vue la lettre de ton contrat avec le roi !

Son visage se crispe.

— Tu... tu l'as lu ?
— Oui !
— Pourquoi tu fouilles dans mes affaires ?
— Heureusement que j'ai fouillé !

Il baisse la tête, il montre vraiment une faiblesse ?

— Je... je suis désolé... je voulais te le dire...
— Ah oui ?! Et qua... Attends... c'est ça que je sentais alors... c'est ça que tu me cachais depuis le début...

Livaï prends mon visage dans ses mains, je le repousse, je suis tellement perdu. Je sais qu'il sens veut, je ne sais pas si je pourrais lui pardonner aussi tôt... Il me regarde, puis casse le silence :

— J'étais venue pour te donner des conseils pour le jugement mais il est un peu tard maintenant, nous y allons.

Livaï ouvre la cellule, me prends le bras et m'accompagne.

— Pourquoi m'accompagner ?

Il jette un coup d'œil dans ma direction.

— Je te l'ai dis (t/p)... je t'aime...

Je me mets à rire.

— Je ne sais même pas si je peux te croire ! Tu es une personne sans coeur !
— Ah oui ?
— Oui.
— Tu ne m'en voudras pas si je m'acharne sur toi alors pendant ton jugement ?
— Je croyais que tu m'aimais ?
— Je croyais que je n'avais pas de coeur.

Livaï me pousse dans la salle, un soldat prends la relève et me place sur un piquet enchaîné de tous mes membres. Je vais avoir sa peau, je vais me le faire ce Livaï !