Livaï x Reader. Le futur... Les titans

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« Je fais le salut militaire et pars vite me coucher pour me lever tôt le matin. Demain est un nouveau jour ! »

C'est le jour J, le jour de l'expédition, je me réveille 1h a l'avance, m'habille et ne sors pas de ma chambre. Je regarde par la fenêtre, il y a la Lune qui éclaire un manteau blanc qui recouvre les plaines. Les étoiles scintilles dans cette airs de mort, de peur, ces étoiles sont le reflet de mes joies, de mes peines, de mes colère. Puis je m'imagine comment serais ma mort pendant l'expédition.

Je regarde sur mon bureau, vois une plume et une feuille. Je me décide donc d'écrire une lettre... au cas où, même si je suis sûr que je ne mourrais jamais au côté de Livaï.

« Mon très chers ami... mon seul ami, Livaï,

Et oui je te... vous... bref je te considère comme mon ami. Écrire une lettre le jour de ma première expédition peut paraître idiot alors que je t'ai promis de ne jamais mourir. Mais disons qu'au moins dans plusieurs années j'aurais toujours un souvenir à te donner.

Et oui aujourd'hui c'est le jour de ma première expédition, je ne mourrais pas avec toi à mes côtés, tu es mon ange gardien... un démon gardien ça existe ? Je sais que tu ne crois pas à ces choses comme pour les personnes qui vénèrent les murs sans raison. Tu n'aimes pas la religion, tu n'aimes pas les titans, tu n'aimes pas... moi ? Mais si tu m'adores !!... enfin... je crois... c'est pas de ma faute de douter, tu es tout le temps froid avec moi...

Je sens que cette expédition va être incroyable ! Avec toi ! Je regardais par ma fenêtre et je me demandais comment serait ma mort pendant l'expédition, je l'a verrais comme ça... tu as intérêt à la respecter si ça se passe !

Je meurs, les flocons de cet hiver glaçant réchaufferais mon corps, endormi dans ce manteau d'hiver. Mon sang coulera sur ce blanc pur. Un rayons de soleil essuierais mes lames.
Pendant mon enterrement, on jetterait des pétales de roses pour symboliser les goutes, les litres de sang que j'aurais perdu pour l'humanité... pour toi...

Ne t'imagine pas que je serais morte pour toi, je ne mourrais pas mon chers Livaï !

Je n'imagine même pas... si tu vois cette lettre tu me tuerais pas à cause de ma petite histoire mais plutôt à cause de la façon dont je t'écris, toi qui préfère toutes les choses propres... surtout que la feuille se trouve dans un endroit sale... hihihi... »

Quelqu'un toque à ma porte et me demande de me lever. Je réponds alors que j'arrive. Puis fini ma lettre.

« On m'appelle, je dois partir mon chers Caporal Chef Livaï... et oui dans le futur tu seras le Caporal Chef Livaï ! Bas normalement...

Je te souhaite de ne pas te suicider à la fin de cette lettre et je suis heureuse que tu ai lu jusque là.

Je t'aime, je t'aime mon ami...
Ta meilleure amie, oui car tu en as qu'une non ?
Ton amie le boulet
Ton amie (t/p) <3 »

Je laisse la lettre sur mon bureau, pose la plume et pars rejoindre les autres soldats.