« Je me dessers de lui, essuie mes larmes pour rester forte puis fais le signe militaire.
— Le poing sur le cœur !
Il sourit.
— Le poing sur le cœur... (t/p)... »
Je rouvre les yeux, je suis toujours enchaîné. Je vois mes camarades allongé, des blessures plein leur corps. Le coucher du soleil se reflète sur le sang. Livaï vient de s'effondrer et de tomber dans les pommes. J'hurle de douleur, arrache les chaînes qui me tenaient prisonnière. Le roi se retourne, me regarde à la fois surpris et amusé.
— Tu n'as plus de force, tu ne vas rien pouvoir faire.
Je regarde le soleil s'enfuir avec tous mes chagrins et regarde la Lune s'élever dans le ciel fuyant la lumière de la joie. Les étoiles commencent à briller, reflétant le nombre d'âmes sacrifié au combat. Je ferme les yeux, respire lentement.
— Le soleil enfuit toi, laisse place à la Lune aussi glaçante que mon âme. Camarades, les étoiles me surveillant, regardez moi, regardez moi me vengez, vous montrez que rien n'a été vain. Vous éclairer les nuits comme la Lune qui éclaire mes peines. Adieu mon oncle, prends avec toi toutes nos joies ensemble...
— Que racontes-tu ? Ton oncle est déjà mort...
— Adieu... Rejoins mes camarades...J'écarte les bras puis place une main en face de mon ennemi.
— Adieu enfoiré !
L'homme se fait éjecter contre le mur, il crache du sang noir.
— Arg...
— Ton corps ne peux pas supporter la puissance de démons.
— Si !Il place sa main en l'air. Un orage apparaît. Il me regarde souriant, place sa main dans la direction. Un éclair s'abat sur moi, je ne bouge pas, l'éclair ne me fait rien. Je m'avance lentement, il commence à être effrayé. Un éclair s'abat soudainement sur lui, je le vois gigoter dans tous les sens. Arriver en face de lui, je prends sa gorge, le lève du sol. Je force son cou, je sens son pou, son cœur battre.
— Adieu...
— Je ne mourrais pas aussi facilement !Il hurle, la seconde d'après je sens quelque chose de brûlant couler le long de ma poitrine. Je regarde, du sang, il a touché mon cœur. Je regarde mes compagnons, certains morts. Si je ne le tue pas, ils mourront et je vivrais mais si je le tue, je dois utiliser mes pouvoirs pour les sauver en même temps et...
Je fronce les sourcils, je ne peux pas laisser mourir autant de personnes.Je sers fort son cou, il craque et explose dans ma main. Son sang pourrit coule le long de mon bras. Je bouge mon bras droit, place mes camarades, grâce à ma magie, en cercle. Je regarde la Lune.
— Je vais te rejoindre mon oncle...
Je fais apparaître un sceptre, ma pierre de magie ce trouve au sommet, sa lueur et très faible. Je prend la pierre la brise.
— Toi je ne veux plus te voir... sauve mes camarades à la place...
Des lueurs ressemblant à des aurores boréales parcourt le cercle de cadavres. Les trais lumineux ont des formes d'animaux, des couleurs différentes. Je souris devant ce spectacle que je ne pourrais plus voir. Je regarde Livaï une dernière fois. M'avance vers les plaines, la Lune éclair une larme sur ma joue que je n'avais pas remarqué. Je ferme les yeux, tous mes souvenirs jaillissent. Je souris encore plus, me parle à moi même :
— Livaï... M'aimais tu vraiment... En tous cas... Adieu.
Je concentre mes dernières forces pour éliminer une grande partie des titans qui règnent sur la planète. Je sens mon corps se lâcher, je tombe dans les bras de ce debile de Livaï.
— Oui, je t'aime vraiment.
— Tu pouvais me laisser mourir seule... je n'aurais pas eu de regrets...
— Non tu ne vas pas mourir.
— Malheureusement... si...Il ne veux pas y croire, il regarde mon corps.
— Tu es magnifique...
Je n'avais même pas remarqué que je m'étais crée une nouvelle robe.
— Avec un poignard dans le coeur...
Je ris difficilement, mes paupières deviennent lourdes.
— Adieu Livaï...
Il ferme les yeux, il laisse échapper une larme. Place son poing sur ma poitrine.
— Le poing sur le coeur !
Je souris et ferme les yeux.
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Livaï x Reader. Le futur... Les titans
Fiksi PenggemarJe suis (t/p), je ne suis qu'une enfant de 6ans qui vis dans un monastère. Un jour, je surprend mon oncle rentré dans une étrange pièce. Je réussis à y entre et j'y trouve plein de livre... interdit. Curieuse comme je suis je me mis à les feuilleter...