Livaï x Reader. Le futur... Les titans

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« Mon cœur ralentit, mon corps devient froid, mon regard est vide, mes muscles lâchent dans les bras de mon meilleur ami, Livaï. »

Point de vue Livaï

Son corps est sans vie, dans mes bras, son sang chaud coule et se refroidit sur mes bras. Je ne comprends pas comment cela se fait il qu'elle ne soit plus en vie. Pourquoi m'a t'elle sauvé ? Pourquoi ai-je été aussi froid avec elle depuis le début alors qu'elle essayait d'être mon amie ? À seulement 10 ans son cœur s'est arrêté héroïquement.

Je ne suis toujours pas adulte mais j'étais responsable d'elle. C'est de ma faute qu'elle soit morte, sa joie de vie m'a infecté et s'envole en même temps qu'elle. Je ne voulais pas l'assumer mais je la prenais comme mon amie, ma meilleure amie, m'a seule amie.

Je ne peux pas pleurer, je suis un soldat, je ne dois pas ressentir des émotions. Mais, rien que de savoir qu'elle disait que tout allait bien se passer, qu'elle m'avait promis de ne pas mourir et aussi qu'il y a peine quelques heures elle était excité de pouvoir partir en exploration.

Je tombe sur mes genoux, pose son corps sans vie sur un tas de neige. Les flocons tombent lentement sur ses joues aussi blanche que la Lune, elle sourit. Je ne veux plus continuer, je ne veux plus que quelqu'un meurt pour moi.

C'est alors que je sens le sol trembler, plusieurs titans se dirigent vers nous. Je ne bouge pas, je ne suis plus aptes à combattre, je veux mourir avec elle. C'est alors que je me souviens des paroles de (t/p) :

— «Ne t'en fais pas... vie, rie... j'au... j'aurais tellement voulue te voir sourire ou rire un jour... »

Je redresse alors la tête, je ressens une énorme énergie monter en moi, j'ai l'impression de posséder une force infinie. Je regarde le titan dans les yeux, il élance son bras pour m'attraper. Je lance mes grappins, coupe le bras du titan en tournoyant comme une toupie et je coupe sa nuque peu de temps après. Une meute de titan se dirige vers moi, je suis énervé, le sang des titans cache mes larmes, je les tu es un part un, énervé.

Je me promets alors depuis ce jour que je ne mourrais pas, que personne ne devra se sacrifier pour moi et que je ne souhaite plus de morts inutiles.