Célesta Tome I - Les Origines

Chapitre 32 : Il est là ! Il veut moi !

PDV Externe

Le début de mars avait prit place à la toute fin du mois de février. Le soleil s'était levé depuis plus de trois heures, les habitants de Dale s'étaient réveillés au aurore. Le soleil frappait la surface de la montagne, l'herbe verte était fraîche, le bruit des oiseaux dans les arbres résonnait dans toute la forêt. Le bruit des forges retentissaient en plein cœur de la montagne solitaire. Les nains s'étaient aussi réveillés dans la douceur matinal. Les boutiques du royaumes étaient ouvert depuis 8h. Les lumières des torches illuminaient chaque couloirs de pierre. Les flammes dansaient sur les murs, la chaleur qui se dégageait, apaisait les salles froide du matin.

En plein cœur de Dale, la boutique de tissus avait ouvert ses portes. Quelque client entraient et sortaient chargés de tissus de différente couleurs. Une dame âgée était en pleine discussion avec une personne de sa race. Une femme à la chevelure rousse rangeait des cartons dans l'arrière de la boutique. De la sueur dégoulinait sur ses tempes.

"- Où est-ce que je pose ça ? Demanda Célesta a l'arrière de la boutique.

- Là où tu trouveras la place ! Répondit sa patronne occupé avec sa cliente."

La jeune femme lâcha un soupire de fatigue puis posa l'énorme carton au fond de la pièce. Juste à côté des étagères à couture. Elle sortit de la pièce et prit un bac remplit de fil et d'aiguilles sous différentes taille. Elle le plaça sur une autre étagère. Plusieurs rangés de meuble étaient placé en ligne, chaque étagères étaient composé de différents matériels de couture et de tissus. Un vrai magasin de couture ! Célesta faisait des allé retour entre la pièce principal et l'arrière de la boutique. Elle regarda l'heure : 10h45. Son heure de pose était dans une heure et quinze minute. Elle prit la peine de signaler sa tâche comme terminé. Célesta attendit patiemment que sa patronne finisse de ranger son travail.

"- J'ai terminé madame, j'ai fini de rangé ce qu'il restait des cartons qui ont été livré hier matin.

- Bon travail Célesta, répondit sa patronne avec franchise. Tu peux faire ce que tu fais d'habitude.

- Merci."

La jeune métis retourna donc à son travail personnel.
Elle passa le temps qu'il restait à confectionner une robe qu'elle avait dessinée au brouillon. Elle sortit les tissus qu'il lui fallait ainsi que les outils. La rouquine s'installa à son plan de travail et plaça ses affaires sur la table en bois. Célesta sortit une petite aiguille de la boîte et passa un fil fin blanc dans le petit troué au bout de l'aiguille. Ensuite elle planta l'outil dans le tissus. La jeune métis commença alors à coudre. Chaque seconde qui passaient, donnaient l'impression que le temps était long. Elle pensait qu'en même en une heure, elle aurait fini la jupe de sa robe.

La mâtinée passa lentement, la boutique était dans un grand calme. On pouvait entendre les discussions et les exclamations des habitants à l'extérieur de la boutique. Pendant toute la fin de son travail, Célesta n'avait pas quitté son poste bien trop occupé à faire sa robe. L'horloge sonna. La jeune femme leva les yeux de son travail puis se leva de son tabouret. Elle rangea ses affaires dans sa sacoche brune puis se dirigea vers la salle principale. Elle remarqua que sa patronne était partie, ses yeux se dirigèrent sur un morceau de papier posé sur le rebord du comptoir :

Célesta, je viens de terminer mon service pour la mâtiné. Tu dois sûrement te dire que ce n'est pas normal que je te l'aise la boutique à toi toute seule. Mais je te fais entièrement confiance.
J'ai posé les clé sur le comptoir à côté du papier. Tu s'es ce qu'il te reste à faire.

A toute à l'heure !
Zinca, ta patronne.

Célesta referma la petite lettre puis prit les clé qui se trouvait juste à côté. Pendant les minutes qu'ils lui restaient, elle nettoya le magasin. A la fin, elle prit son sac qu'elle avait posé sur un meuble. Mit son manteau, prit son sac pour le mettre sur ses épaules, ramassa les clés puis sortit par la porte principale. En sortant, elle referma la porte derrière elle, puis plaça la clé dans un bol en cuir puis le cha-cha derrière une plante. Afin qu'ensuite sa patronne revint ouvrir la boutique.