Célesta Tome I - Les Origines

Chapitre 2 : Naissance

Quelques années plus tard...

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En 2750, le 2 juin fut un jour exceptionnelle, la reine Evangélyne tomba enceinte ! Tout le peuple fut ravi d'apprendre qu'un héritier ou une héritière, allait naître. Quand ils apprirent la nouvelle, une fête fût célébrée dans les deux royaumes, tous dansaient, chantaient et festoyaient ! Les plats furent des plus succulents et des plus colorés. La ville de Gardor et d'Atlantas étaient éclairées par des lanternes qui virevoltaient dans le ciel noir de la nuit. on aurait dit des étoiles qui rejoignaient le ciel sombre. Pendant ce temps, la reine regardait, installée dans un fauteuil dans la plus haute tour du royaume, tout en caressant son ventre qui était bien arrondi, avec douceur. Sa main passait sur le tissus de sa robe en dentelle blanche te rose pâle. De profil, on pouvait admiré ce que la vie lui avait donné. Elle était heureuse de partager cette nouvelle avec tout le peuple, Tharor la rejoignit, passant son bras autour de sa taille. Leur yeux étaient rivés sur les lumières qui étincelaient les royaumes.

"C'est magnifique, tu ne trouve pas ? lui demanda son époux.

- Oui, c'est absolument magnifique !" lui répondit Evangélyne posant sa tête sur celle de Tharor malgré sa grand taille."

Des feux d'artifices de mille couleurs virevoltaient dans le ciel, c'était magique ! Après que la fête fut terminé, la reine alla se coucher. L'enfant dans son ventre, commençait à prendre forme et ça lui fatiguait. Elle avait arrêté de faire quoi que soit de dangereux pour l'enfant depuis que son ventre avait donné des signes de formation. Le roi était toujours resté près d'elle quand elle n'était pas bien.

En entrant dans sa vaste chambre, la lune ronde éclairait la pièce, elle s'approcha de la fenêtre d'où venait la lumière et ouvrit la baie et se pencha pour laisser le vent rentré dans la pièce. Ses cheveux volaient sous les caresses du vent froid de la nuit. La lune brillait comme un diamant. Les étoiles brillaient de toute leur lueur. La peau pâle de la reine brilla soudainement face à la lune, comme si elle était faite de mini cristaux et ses yeux brillaient de mille feux. Fatigué, Evangélyne se coucha sur son lit et s'endormie bercée par les rayons de la lune et la sensation du nouveau née dans son ventre...

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1 an plus tard...

Le soir du 27 avril 2751, des hurlements de douleurs furent entendus depuis Atlentas. C'était Evangélyne ! Ses contractions avaient commencé. Sa perte des eaux avaient craqué pendant le diné du soir. Son ventre était totalement rond et il lui faisait mal. Sa peau tirait. La reine avait été placé dans sa chambre respective. La reine avait suffoqué jusqu'à la préparation de l'accouchement, des serviettes étaient placés sur le lit. Sa robe rosé avait été retroussé sur se cuisses et ses jambes pliés, les pieds à plats sur le matelas. Se soir là, elle allait accoucher, la sage femme se tenait devant elle en attendant que le bébé arrive. Les jambes de la futur mère tremblait contre le lit :

"- Tout va bien se passer, ma reine ! Lui disait la sage femme en essuyant son visage avec une serviette mouillé. 

Evangélyne acquiesça tremblante. Elle était en sueur, des gouttes tombaient de son visage du à la douleur.

- Soufflez majesté, soufflez ! Tout ira bien, l'encouragea t-elle."

Evangélyne souffla du mieux qu'elle pouvait et elle hurla de douleur, les contractions avaient commencé. Elle soufflait rapidement, Tharor à ses côté lui tenait la main pour l'encourager. Elle poussait du mieux qu'elle pouvait, l'enfant était bientôt là. Ses jambes tremblaient, de la sueur dégoulinait sur son visage fatigué. Elle contracta son ventre puis poussa de toute ses forces en hurlant, serrer la mains de son époux, lui donnait de la force. Sous les encouragement de Tharor, Evebngélyne faisait du mieux ce qu'elle pouvait. Evangélyne poussa une dernier fois en un cris puissant tous en serrant la main de son mari. Ses doigts s'enfoncèrent dans le creux de sa chair, puis des pleurent se firent entendre... Son corps tremblait de sueur, son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, la reine avait usé de toute force pour donner naissance. Evangélyne ouvrit les yeux et se redressa doucement en entendant les pleurs du nouveau née. Là, dans les bras de la sage femme, un bébé était dans ses bras couvert d'un liquide rouge qui ruisselait sur ses membres. Un sourire apparut sur le visage de la reine. La sage femme enveloppa le petit être pour le lui donner. Les yeux de l'enfant étaient toujours fermé, son corps gigotait dans la serviette en soie blanche. Les pleurs du bébé résonnaient dans la chambre :

"- C'est une fille ! déclara t-elle dans un sourire.

Evangélyne prit le bébé dans ses bras, les larmes au yeux. Un sourire étirait son visage Tharor la regarda éperdument amoureux.

- Bravo mon amour, lui disait-il en déposant un baiser sur son front, une larme de bonheur coula le long sa joue.

- Elle est magnifique..., avait dit la reine avec un émotion de tendresse.

- Comment voudrais tu l'appeler ? Demanda Tharor à son épouse tout en regardant le bébé.

- Je sais déjà le nom que je vais lui donner, ce sera Célesta. Répondit Evangélyne

- Célesta ? dit Tharor.

- Ce nom était celui de mon arrière grand-mère et je trouve qu'il lui va bien. Regarda là ! dit Evangélyne.

Tharor se tourna vers son enfant qui jouait avec ses doigts, ses petites mains caressaient la main de son père, le sourire au lèvre. Il caressa sa tête tout en déposant un baiser sur sa joue, l'enfant répondit en un petite rire.

- Elle a tes yeux ! dit la reine en le regardant.

- Mais elle te ressemble plus, répondit Tharor."

Elle souriait. En effet, la petite Célesta avait les yeux de son père, la peau et la couleur des cheveux de sa mère. Sa peau pâle était comme un rayon de lune.

Les jours passèrent après la naissance de la princesse, le royaume était heureux pour le roi et la reine. Un fête fut célébrée en la naissance de l'héritière, tous étaient invités. L'enfant était admirée par tous le peuple de l'archipel. Evengélyne était plus qu'heureuse de voir son enfant sourire.

Plus les jours défilaient et plus Célesta grandissait...

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\ Relu et corrigé /