Célesta Tome I - Les Origines

Chapitre 37 : Rapprochement

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Le soleil se levait paisiblement dans la vallée d'Ered Luin, les rayons du soleil traversèrent la montagne et vinrent se poser contre la roche de pierre. Le vent frais du matin se leva ainsi que le chant des oiseaux des forêts. Les rayons solaires vinrent caresser la montagnes puis arriver sur le villages qui dormait encore paisiblement. Tous le grand village dormait paisiblement. Dans une grande demeure au centre du village, le silence régnait, toute la famille dormait. Ulla dormait paisiblement dans son lit de bois. Volgrim de même que sa sœur. Lenka et son mari, eux aussi dormaient encore.

Puis dans une autre chambre, qui est un peu plus grande, une jeune femme dormait encore. Sa chevelure éparpillée sur l'oreiller, son haut de vêtement à moitié remonter vers le haut pouvant monter son ventre plat, ainsi que la couverture qui s'était retrouvée au niveau de son bassin. La bouche entrouverte laissant passé des expirations. Son corps bougea et changea de place. Son dos quitta la douceur des draps. Sa fenêtre ouverte, le tissus qui lui servit de rideau flottait au dessus du sol malgré le vent. Le soleil vint pénétré dans la pièce puis ses rayons caressaient son visage. Ses paupières papillonnèrent puis s'ouvrirent doucement. Célesta se releva au bord du lit en enlevant la couette de son corps. Ses pieds touchèrent le sol en bois de sa chambre. Elle se leva et marcha vers la fenêtre grande ouverte. Le soleil lui réchauffait la peau, ses cheveux volaient aux couts de vent. Son regard étaient rivés devant elle, fixant le paysage. Son regard balaya ce qu'elle avait devant elle.

Soudain, une forme au loin s'avança. Une forme humaine, doté de quatre pairs d'ailes noires. Sur son corps, une longue robe blanche, ses pieds nus, sur ses épaules une cape transparente blanche. Un vent se leva tout d'un coup. Les cheveux de Célesta s'éleva dans l'air. Ses yeux s'agrandissent. La femme avait les cheveux rouges, les yeux bleus très clairs, un sourire bienveillant sur son visage. Elle ouvrait les bras comme si elle accueillait la jeune femme dans ses bras. Célesta s'avança pas à pas jusqu'au bord du balcon. Ses yeux étaient fixé sur la femme en face d'elle. Elle avançais, hypnotisée. Célesta tendit sa mains vers l'humaine qui n'était qu'autre que... Sa mère... Une larme pela le long de sa joue.

"- Maman...?

- Oui, c'est bien moi mon trésor.

- Maman...

La jeune femme s'avança de plusieurs pas. Elle tendait sa main vers sa mère en face d'elle. Les larmes coulaient à flots sur ses joues. Elle ne voulaient qu'une seule choses : l'enlacer. Célesta sauta au dessus du balcon avant d'arriver dans ses bras. Malheureusement, la jeune femme n'arriva pas à attraper sa mère. Elle l'a traversa. Evangélyne souriait toujours face à sa fille qui tombait. Son corps chutait dans le vide sans s'arrêter. 

Elle chutait, chutait, chutait... Son visage s'était décomposé, les larmes coulaient et flottaient dans le vide. Célesta n'exprimait aucune émotions, aucune réactions...

- Maman...!"

Sa voix criait de douleur et de désespoir puis elle disparut dans le vide intégral.

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"- Maman ! Hurla Célesta dans son lit."

La jeune femme s'était réveillée dans la douleur et la tristesse. De la sueur dégoulinait sur son visage, les traps étaient complètement trempés. Elle respirait abondamment, son cœur battait la chamade dans sa cage thoracique. Elle pouvait l'entendre jusque dans ses tempes. Les larmes coulaient le long de ses joues et brouillaient sa vue. Célesta passa ses mains le long de son visage avant de trembler fortement. Ses larmes coulaient sans qu'elle ne s'en rende compte. Son corps tremblait comme une feuille.