Des cris? Mais qu'est ce qu'il de passe encore?
- Euh, la fille qui vient d'arriver, je sais plus comment tu t'appelle, mais il faut que tu vienne!
C'était Harriet qui avait parlé. "Je sais plus comment tu t'appelle, pff, n'importe quoi...". Je n'aimais pas cette fille, mais je répondit â sa demande. Je la suivit hors de la chambre. Je ne savais pas à quoi ressemblait le dortoir des filles, mais il était très différents de celui des garçons. Penser à eux me rendis triste. Je les ai vus il y a quelques heures à peine, mais j'avais l'impression que cela faisait plusieurs mois que je ne les avais pas vus. Il me manquaient. Surtout Newt... et Mihno. Même Gally et ses remarques me manquait. Là, je le retrouvais avec des filles que je ne connaissait pas, et la seule avec qui j'avais parlé se montrait hostile envers moi.
-Qu'est-ce qu'il se passe ici? dis-je sur un ton froid.
- Je sais pas, mais viens!
Je me levai péniblement. Harriet était déjà partie.
Quand j'arrivais dans leur dortoir, je vis, par les fenêtres, des personnes... atrocement horribles, si j'ose dire. Elles avaient un visage déformé, plein de plaies et de cicatrices, leurs yeux étaient rouges, le veines ressortaient et certains avait même "perdu" leur nez.
Ils étaient en train de crier, de marteler les vitres comme des malades... enfin, ils sont malades. Ça soit être ça, la Braise. Oh, mon Dieu, c'est horrible!
*-Euh, Emmy? Tu es là?*
* - Comment dire... Il y a des hystériques fous furieux qui essayent de casser les vitres pour venir nous dire bonjour...*
* - Ah, ça tombe bien, nous aussi...*
Comment cela se faisait il que les mêmes fous essayent de venir? Les dortoirs des garçons et des filles sont peut être côté à côtes? Cela me donna l'espoir que je pourrais enfin revoir Newt et... Mihno...
- Qu'est-ce que tu fous, la bleue? cria Harriet.
- Eh! M'appelle pas la bleue!
- Désolée, c'est une habitude du Labyrinthe...
Je n'ai jamais appellé quelqu'un "bleu", puisque j'étais la dernière à être arrivée...
Pendant que j'étais plongée dans mes pensées, un malade mental réussit à casser la vitre avec son bras couvert et de bleus et de sang. Ses veines étaient presque noires. C'était horrible. Sa main essayait de nous attraper, mais nous étions toutes réfugiées dans le coins de la pièce pour éviter qu'un fou ne nous attrape. Soudain, une alarme retentit. Une lumière rougeâtre éclaira les escaliers, et une porte commença à descendre devant ceux - ci. Je pensais d'abord que c'était un piège, mais je vis que les atteints de la Braise étaient entrain de casser les vitres. Quelqu'un avait déjà réussit à mettre ses deux bras et sa tête dans le dortoir. Dans la panique totale, les autres filles coururent vers l'escalier avant que la porte ne redescende jusqu'en bas. Je m'empressais de les suivre. Harriet fus la dernière arrivée. La porte était refermée. Derrière celle ci, les autres commençaient à marteler la porte. Heureusement qu'on y est allés, sinon, je n'ose pas penser à ce qui arriverait après.
Il y eu un grand silence, presque pesant. Puis je demandais:
- Et qu'est-ce qu'on fait maintenant?
Tou le monde tourna la tête vers moi en le jetant un regard méfiant. Personne ne me répondit. Tout ça me mit mal à l'aise.
- Je vais pas vous manger, vous savez...