↪ Non commandé
/!\Aucun Spoilers + propos et contenu (SEXE) pouvant choquer les plus sensibles/!\
Washington D.C, 1973
Ahh, les années 70 ! Sacré époque pour habiter dans la capitale. Mais Druig et toi aviez connu bien pire qu'une population de dégénérés. Vivre parmi ces gens ne vous faisait pas peur. Les vêtements étaient colorés et osés, les rues étaient bondées de gens qui riaient criaient et s'amusaient jusqu'à épuisement. La ville empestait le sexe et la drogue à plein temps. Même si tu n'avais eu aucun mal à te mêler à la foule lors de votre arrivée, ce ne fut pas le cas de Druig qui préférait largement le confort de votre petit loft. Puis au bout de quelques mois, c'était lui qui te proposait de sortir en ville, aller dans les bars le soir et ne rentrer qu'au petit matin. Puis après avoir pris le rythme des citadins, dire que vous vous amusiez serait un euphémisme.
Vous vous leviez tôt le matin pour admirer le lever de soleil puis, la plupart du temps, vous vous envoyez en l'air toute la matinée, sortiez en ville pour manger et trainiez dans les rues toute l'après-midi avant de trouver votre bar habituel où vous rejoigniez un groupe avec qui vous fumiez du cannabis dans les pièces réservées au personnel. La drogue n'ayant aucun effet néfaste sur vos organismes d'Eternels, vous pouviez profiter pleinement de tous les effets planants de la plante. Puis après avoir fini vos affaires au bar, vous tentiez tant bien que mal de rentrer et la soirée se terminait le plus souvent les vêtements au sol et vos deux corps brûlants de désirs sur le lit, ou le canapé parfois.
Et tous les jours se passaient de la même manière, alors pourquoi pas en suivre un exemple ? Tu te réveillas par les premiers rayons de soleil tapant sur tes paupières. Vous aviez encore oublié de fermer les rideaux en rentrant la veille. Tu te frottas les yeux avant de te tourner vers l'autre moitié du lit. Tu tombas face à face avec un véritable ange endormi. Ses lèvres de bébé t'appelaient à les embrasser dès le réveil tandis que ses cheveux mi-longs étalés sur l'oreiller ne réclamaient qu'à être attraper par poignée lors d'une partie de jambes en l'air. Tu te mordillas légèrement la lèvre en te remémorant les événements de la veille et se décala dans le lit pour venir te coller à ton amour de toujours. Tu réussis à glisser ta jambe entre les siennes pour les emmêler, ce qui fit doucement grogner Druig.
- Bonjour, beau gosse. Tu chuchotas pour ne pas le brusquer.
- Salut... Put-il seulement répondre avant de coller son nez à ta poitrine et de retomber dans son sommeil.
Tu ris doucement avant de délicatement passer tes doigts dans ses mèches brunes pour les démêler de la veille. Lorsque ses cheveux ressemblèrent un minimum à quelque chose, tu gardas ta main sur sa tête et glissas tes doigts le long de sa nuque, remontant jusqu'à son crâne. Ses épaules se détendirent immédiatement et il tendit la tête pour que tu continues. C'était en quelque sorte votre rituel du matin. Tu ouvrais toujours les yeux avant lui et étais chargée de le réveiller avec amour et douceur. Ses mains descendirent le long de ta colonne vertébrale jusqu'à atteindre la naissances de tes fesses. Il te serra contre lui, collant vos corps encore nus de la veille l'un contre l'autre.
Tu penchas légèrement la tête pour avoir accès à son visage et tu commenças à embrasser chaque parcelle de peau accessible. Plus tu déposais de baisers, plus il se réveillait et il finit rapidement par complètement ouvrir les yeux et plaquer ses lèvres contre les tiennes. Il glissa ses mains sur l'arrière de tes cuisses pour te faire basculer sous lui et il se plaça entre tes genoux, continuant de t'embrasser férocement. Ses mains quittèrent rapidement tes jambes pour que l'une d'entre elles se pose sur ton entre-jambe pour te faire frémir tandis que l'autre caressait tendrement ta joue. Après des siècles ensemble, il savait parfaitement y faire avec toi. Où t'embrasser, où placer ses mains et à quelle vitesse passer à l'étape suivante. Personne ne te connaissait mieux que Druig. Tu te demandais même parfois s'il ne te connaissait pas mieux que tu ne te connaissais toi-même.
- Bonjour, ma jolie. Il te murmura à l'oreille alors que déjà deux de ses doigts te rendaient folle.
Tu te tortillais sous lui, tes sens complètement perdus face à tant de plaisir. Il déposa une traînée de baisers le long de ta mâchoire et appuya sur ton ventre pour t'immobiliser. Alors que tu pensais que vous alliez maintenant passer à l'étape suivante, comme vous le faisiez souvent, Druig en décida autrement. Il te maintint en place grâce à son bras sur ton ventre et entama une longue descente vers le centre même de ton plaisir.
- Si tu bouges de trop, je m'arrête. Compris ? Il questionna en relevant brièvement le regard vers toi.
Tu ne pus que gémir une approbation et tu pus le voir sourire du coin de l'œil. Un premier baiser sur l'intérieur de la cuisse droite, puis un second baiser sur l'intérieur de la cuisse gauche. Il te torturait et il adorait ça. Tu détestais ça. Et en plus de ça, tu devais rester le plus immobile possible. Quel enfer ! Tu te sentais littéralement fondre sous son souffle, ayant l'impression d'être une glace à l'eau au soleil. Une de tes mains lâcha le drap que tu tenait fermement et descendit pour se loger dans les mèches brunes de ton amant. Ce fut lorsque ses lèvres se posèrent sur toi qu'une explosion se produisit dans ton bas ventre, te faisait agripper ses cheveux avec force. Il grogna doucement, envoyant des vibrations partout dans ton corps et tu sus que ce matin-là n'allait pas durer.
Druig se contentait d'abord de déposer de simples baisers sur toi pour voir la réaction de ton corps. Il savait qu'à cet instant là, ton corps avait pris le dessus du cerveau et que ça ne servait à rien d'essayer de communiquer avec toi. Tu étais plongée dans ta bulle de plaisir charnel et lui s'amusait à l'agrandir de seconde en seconde. Un énième frisson parcourut ton corps et il prit cela comme un signal pour la prochaine étape. Il connaissait chaque réaction de ton corps par coeur, les ayant vues et revues au fil des années passées ensemble. Tu gémis bien plus fort cette fois-ci lorsqu'il donna le premier coup de langue, lent et torturant. Ta seconde main descendit au niveau de ses larges épaules auxquelles tu essayas de t'agripper tant bien que mal à défaut de ne pas pouvoir bouger.
- Reste calme, ma jolie. Sourit-il contre ta peau, envoyant de nouveau des vibrations à travers ton corps.
Ta tête bascula d'elle-même vers l'arrière sans que tu ne puisses l'en empêcher. Et ce fut le dernier signal pour Druig qui ramena tes jambes correctement sur ses épaules avant de glisser son pouce juste au dessus de sa bouche, te faisant serrer les jambes. Tes doigts étaient toujours agrippés à ses mèches brunes et ils le restèrent jusqu'au dernier instant. Cet instant qui te fit contracter tout ton corps et qui fit sourire Druig. Il glissa avec agilité entre tes jambes pour te surplomber de sa taille.
- Tout va bien là-haut ? Demanda-t-il en caressant ta joue pour essayer de capter ton regard encore brumeux.
- Je t'aime, Druig. Soufflas-tu simplement.
Le brun rit de bon coeur, dévoilant ses pommettes, avant de déposer un tendre baiser sur tes lèvres. Il laissa ensuite une ligne de baisers le long de ton bras avant de se recoucher à côté de toi, t'appelant immédiatement à te coller à lui pendant quelques instants avant de partir prendre ta douche.
Alors, je peux vous expliquer ce qu'il s'est passé. À la base je devais faire un simple imagine mignon mais un peu drôle sur les clichés des années 70 avec les hippies et tout ça. Et puis... Bah vous avez pu voir par vous même. C'est littéralement parti en sucette tout ça.
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Imagines Marvel
RandomRecueil et commandes. Comme l'a dit notre pote Einstein: l'imagination est plus importante que le savoir. [commandes fermées]
