Bonjour à toutes et à tous,
Avant de commencer ce chapitre, je tenais à m'excuser de l'absence de chapitre hier. Il m'est compliqué d'écrire tous les jours, ces temps-ci, à cause de problèmes familiaux assez prenants, autant dans le temps, que mentalement. Je ne souhaite pas écrire, non plus, des chapitres sans valeur, bâclés, en écrivant pour écrire. Je déteste ne pas être satisfaite de mon travail. Aussi, je préfère ne rien publier si l'inspiration n'est pas présente, que vous donner quelque chose qui ne mérite pas d'être lu, au risque de gâcher une partie de l'histoire de Zylhia et Dean. Je m'efforcerais de me rendre le plus disponible possible pour celles et ceux qui suivent leur aventure afin de poursuivre les écrits de leur histoire.
Enfin, je ressentais qu'il me fallait faire mon mea culpa car j'estime que j'aurais dû vous prévenir que je ne publierais pas. Si cela se reproduit, je vous laisserais un message vous en informant, la prochaine fois (si ça arrive de nouveau, bien sûr).
Maintenant, je vous souhaite une bonne lecture !
- Miguel a toujours été un charmeur. Il aimait plaire. Cela faisait partie de sa personnalité. Il était beau et le savait. Lorsque nous nous sommes rencontrés, je suis tout de suite tombé sous son charme. Ce sont des amis qui nous ont présentés. Ils pensaient que cela pourrait coller entre nous. J'étais une jeune femme vaniteuse, à l'époque. J'étais un peu le double de Miguel. À la différence que je suis réellement tombé amoureuse de lui. J'étais folle de lui... Dès notre première rencontre, j'ai été aveugler par son physique, oubliant de me protéger. Je me suis laissé aller à l'aimer sans concessions, très rapidement. Certains appelleraient ça, le coup de foudre. Moi, je parlerais plutôt d'attraction. Avec du recul, j'ai fini par comprendre que je ne l'aimais pas réellement. J'aimais un physique et les regards de jalousies qui me faisait sentir plus importante. Je sortais avec le plus bel homme de São Paulo et j'étais enviée pour cela. C'était ainsi dans mon esprit...
Elle s'arrêta dans son histoire, les yeux larmoyants. Tout le long de celle-ci, elle avait gardé la tête baissée, comme si elle se sentait honteuse. Il n'y avait pas de quoi. Tout était qu'une question d'apparence de nos jours. Elle s'était prise au jeu et laissait son cœur la guider. Des millions de femmes et d'hommes avaient pu commettre cette erreur au moins une fois dans sa vie.
- Continuez, Krista.
Elle releva le regard mais ne pût tenir sans le rabaisser avant de reprendre.
- Très vite, notre relation est devenue sérieuse. Je l'aimais et j'étais persuadé qu'il m'aimait aussi. Après tout, j'avais une confiance en moi florissante. J'étais belle, drôle et... peu farouche... je pensais que cela aurait suffi à le rendre accro à moi, autant que je l'étais à lui.
Je vis une larme couler le long de sa joue. Elle cherchait à les retenir mais y parvenait difficilement. Cet homme l'avait réellement anéanti. D'après son histoire, il ne semblait ne plus rester grand-chose de la jeune femme qu'elle me décrivait. Ses cheveux en bataille, qui ne semblait pas avoir été brosser depuis des jours, les cernes sous ses yeux, son teint blanchâtre. Tout indiquer que la jeune femme vaniteuse avait disparu.
- Un jour, après son travail, il est venu chez mes parents. Je pensais que ce jour-là serait pour toujours, le plus beau de ma vie, lorsqu'il a sorti une bague et s'est mis à genoux devant moi. Je n'avais jamais ressenti autant de bonheur qu'à ce moment précis. L'homme que j'aimais plus que tout voulait se lier à moi pour toujours et mes parents l'approuvaient.
Elle essuya sa joue avant de poursuivre.
- Nous nous sommes donc mariés, deux mois plus tard. Cela fut assez expéditif. Lorsque je lui avais parler de grand mariage, il avait refusé, donnant comme argument, qui me faisait sens, qu'il était inutile de gaspiller autant d'argent pour une seule journée. Il disait préférer garder cet argent pour nous construire une maison afin d'abriter nos futurs enfants. Il m'avait vendu du rêve, en sommes.
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Bright Darkness
RomanceQue pourrait-il se passer lorsque deux forces, l'une noire, l'autre obscure, se retrouvaient face à face ? Cela ferait-il assez d'étincelles pour que la lumière naisse ? Si cela n'était pas le cas, le monde y survivrait-il ? L'interrogation est de m...