Gina Redvosky, vingt ans. La clinique psychiatrique comme maison.
Perpétuité pour cette mafieuse. Indomptable, incontrôlable, faisant régner la peur et l'humiliation autour d'elle.
Aucun espoir de fuir la clinique.
Pourtant un jour, une opportuni...
Redvosky est debout, elle joue avec son couteau. Elle attend de pied ferme la gardienne qu'elle déteste plus que tout, elle range le couteau sous l'oreiller puis commence à faire des pompes.
- Redvosky, déjeuné. - j'arrive ! ( sourire)
Avant que la gardienne entre dans la cellule Gina prend doucement le couteau qu'elle cache dans son dos.
- paraît que papounet et venue te voir hier matin. ( rires) - ouais. - on dirais plus un de tes proxénètes qu'un père. ( répond la gardienne avec un sourire mauvais) - t'es sûrement jalouse car aucun mec te touche. ( sourire) - je préfère me faire toucher par un mec clean qu'un père qui ressemble à un fils de pute de proxénète. (sourire)
Gina essaye de rester calme, la gardienne se fou ouvertement de sa gueule et elle aime ça.
- devant mon père tu la fermerai bien ta gueule sale truie. ( sourie mauvais) - tu es d'une vulgarité Redvosky.. - non c'est toi gardienne, tu viens me casser les couilles dans ma cellule. - je dit juste ce que tout le monde pense tout bas. - ramène-les moi les personnes qui pensent que mon père est mon proxénète.. ( répond Gina d'une voix froide) - fait pas la maligne Redvosky tant à pour perpétuité et j'espère que la chaise électrique va te cramé le cerveau sale détraqué de merde.
Gina reste encore calme, elle attend juste que la gardienne fasse un faux pas.
- répond sale timbré de merde.. ( s'impatiente la gardienne) - je te laisse débiter solo, tu dois être habitué à parler seule. - non moi j'ai une famille ! Je ne parle pas seule.. - ta famille j'espère qu'elle crevera sous tes yeux. ( sourire) - tu es une sous merde Redvosky t'es une pute et ton père est un fils de pute !!! Vous allez brûlez en enfer bande de chien ! ( hurle la gardienne)
Gina Redvosky entre dans une sorte de transe, elle commence à rigoler et la gardienne ne comprend pas.
- arrête de rigoler sale folle.
Le rire démoniaque de Redvosky recouvre la cellule.
- ferme ta gueule ! ( hurle la gardienne)
Redvosky marche jusqu'à la fenêtre de sa cellule et s'ouvre entièrement la main.
- putain mais qu'est-ce que tu fou Redvosky ? ( panique la gardienne)
Gina se tourne vers la gardienne, son visage est de marbre elle ne rigole plus et son regard noir ne signifie rien de bon.
- tu connaît la mort gardienne ? ( demande Gina)
La gardienne ne comprend pas, elle n'aura pas le temps de comprendre car Gina lui saute à la gorge et les coup pleuvent. Une droite puis une autre, 10 coups de couteau dans l'abdomen et 2 autre dans la jugulaire et un seule entre les yeux.
- pourrie bien en enfer salope. ( crache-elle avec haine)
Maintenant elle attend la sentence, sa peine va s'allonger et le sous-sol lugubre ou il y a l'isolement l'attend.
- revoir l'isolement ne m'enchante pas gardienne mais ne plus te voir est une bénédiction. ( sourire)
Redvosky parle au corps sans vie de la gardienne, personne n'est venu à la rescousse de celle-ci. Sa porte de cellule s'ouvre et Barbara entre et regarde la scène terrifié.
- qu'est-ce que tu à fais Gina.. ( choquée) - cette pute de gardienne m'a chercher la merde elle a eu ce qu'elle mérite. ( regard noir) - tu aurais du prévenir Brooks. - tu m'a vue ? Suis-je une victime ? une putain de balance ?? ( dit elle énervé) - j'ai pas dis ça Gina.. Mais ta peine va augmenter. ( repond elle avec tristesse) - et alors ? J'ai déjà pris perpétuité.
Barbara ne sait pas quoi faire elle est attristé par les paroles de Redvosky.
* * * Hall Brooks '' Vadim'' discute avec l'infirmière Barbara de l'événement du matin.
- je déconseille l'isolement. ( dit-il d'une voix fatigué) - vous êtes sur ? Le chef supérieur va râler. - qu'il râle. - il faut faire quelque chose.. - on ne fera rien, ramenez Redvosky dans mon bureau à 13h30. - d'accord docteur.
Pas d'isolement pour Gina.
* * * Redvosky est debout près de la fenêtre de sa cellule, elle regarde les maison derrière les grilles et les arbres sans feuilles et la neige qui recouvre les toit des maisons. Barbara fais son apparition, Gina ne l'a pas vue entré.
- pas d'isolement. - sérieux ? - oui Brooks ne veux pas. - tant mieux pour lui. - tu trouve pas que tout ça est louche ? ( demande barbara) - un peux mais je n'y prête pas attention. ( lève un sourcil) - je t'emmène en promenade ( sourire) - sans menottes ? - sans menottes ! (sourire)
Gina n'a pas de menottes, 4 ans qu'elle en avait au poignets. Un soulagement pour la jeune femme qui était la seule à en porté. Barbara est devant et Gina reste derrière la tête haute.
- nous y voilà pas de bêtise. ( clin d'œil) - t'inquiète pas.
Redvosky commence à courire, tout le monde l'a regarde surtout la brindille qui attend que celle-ci s'assoit pour discuté avec elle. Elle court de plus en plus vite le souffle rude mais la hargne lui dévore l'âme et le froid se fais remplacé par une chaleur qui lui parcourt le corps et les veines. Elle s'arrête, boit une gorgé d'eau puis elle allume une cigarette et reste debout le regard vide . La brindille savance vers elle pleine de courage et un sourire au lèvre qui ne quitte pas son visage.
- salut Gina. - salut. - c'est vrai que ta tuée la gardienne méchante ? ( dit elle curieuse) - les nouvelles vont vite. - tout le monde en parle à la clinique. - je suis l'attraction du jour. ( sourire) - tu nous a débarrassé du diable donc merci. - je suis le diable ( sourire) - cette femme était une pourriture.
Gina ne répond pas elle préfère sortir une clope de son paquet.
- Brooks ta mis une sanction ? - non aucune. - ah ouais ? ( étonné) - je pense qu'il ne veux pas de problème avec mon père. ( clin d'œil)
La brindille n'a pas le temps de répondre que Gina s'était remise à courire cigarette en bouche.
- a plus Gina !
* * * Salle de pause 12h
Tout le personnel est à table, tout le monde parle de l'accident du matin.
- moi je l'aurais enfermé à clé ! ( clame un infirmier) - c'était sûr qu'elle allais clamser cette peau de vache. ( rigole un gardien) - Redvosky à toujours eu des couilles ! ( répond le concierge) - il faut la mettre en isolement ce monstre ! ( dit une infirmière) - cette petite est le diable incarné une assassin. ( répond la secrétaire) - moi j'aime bien Gina. ( dit barbara)
Vadim frappe la table du poing.
- fermez-la brodel, j'aimerais manger en paix.. Arrêtez de parler de Redvosky. - excusez nous chef. ( répond tout le monde)
Tout le monde est étonné que leur chef agisse de la sorte lui toujours d'un calme perturbant. Après le repas Vadim retourne dans son cabinet et allume une cigarette et boit un café. Il attend 13h30 pour enfin voir la femme qui lui hante l'esprit depuis 4 ans déjà.
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