Gina Redvosky, vingt ans. La clinique psychiatrique comme maison.
Perpétuité pour cette mafieuse. Indomptable, incontrôlable, faisant régner la peur et l'humiliation autour d'elle.
Aucun espoir de fuir la clinique.
Pourtant un jour, une opportuni...
Tw : violence, nécrophilie. Le soir même Russie : Moscou 20h
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Pdv Gina
L'autre chien galeux a disparu de mon champ de vision. J'ai besoin d'alcool pour supporter cette soirée de merde, avec l'autre connard qui a ses mains sur ma taille.
Il retire enfin ses mains accroché à ma taille. Je part en direction du bar tout en évitant le regard de mon père.
-Hop dans le gosier.
Je reprend un autre verre. Mon père ne me regarde pas donc j'en profite.
-Encore un autre verre et j'arrête.
C'est faux.
-Gina ! Arrête toute suite. ( dit stan)
Merde. Fait chier.
-Casse pas la tête. -Papa est juste là bas ! ( montre du doigt) -Et alors ? -Il va remarqué que tu es ivre.. -Pas mon problème. -Gina. -Bonne soirée.
J'allume une clope et je remarque au loin la petite Abigaïl. Elle n'est pas avec sa sœur Frane.
-Bonsoir. -Bonsoir Gina (sourire) -Tu n'est pas avec ta sœur ? -Non.. Elle est partie avec un type. -Un type ? -Oui.. -Comment il est le type ? -Brun grand pas souriant.. Beau -D'accord.
Sale Chien galeux de Vadim.
-Tu sais où ? -Savoir quoi ? -Ou est ta sœur et le jeune homme ? -Sous-sol. -Bien.
Elle me regarde avec peur, tant mieux. Je vais dans mon bureau et je ferme à clé. J'allume les caméras et m'installe dans mon fauteuil une cigarette entre les lèvres.
-Vadim, montre moi ce que tu fait.
Les caméras s'allument et l'image de l'autre chien galeux entrain de baiser la salope de frane apparaît devant moi. Tout est prévue.. On ne dupe pas une Redvosky.
-Oh, elle tu l'a bâillonner carrément. ( sourire)
J'allume une deuxième clope, ma main droite me démange. Une envie de meurtre embrasse mon âme. Je visionne le spectacle qui s'offre à moi.
-Débutant.
Vraiment ? Un débutant. Moi je fais mieux. J'allume une troisième cigarette.
-Ennuyant. ( bâillement)
Puis, il regarde la caméra sourire au lèvres. Il me manque de respect. Il me défi. Elle crie comme une putain. Ce qu'elle est. Oui voilà. Ma main droite prend le couteau posé sur la table de mon bureau. C'est mécanique.
