Ce Que L'ont Peut Changer. LUKA X OC

Chap 45

Les paroles de Mme. Irina ne parvenait plus à atteindre son cerveau. Son regard traversait la fenêtre de sa classe jusqu'à celle de Luka. Elle pouvait entr'apercevoir les boules formaient de feuilles qui s'ablataient sur son dos, tels des obus destiner à le faire flancher. Cela venait bien évidemment de ses camarades qui profiter du fait que leur professeur s'était tourné vers le tableau. Qu'elle bande de salle petites merdes! L'envie de les encastrer dans un parpaing la prit mais elle ne put pas si résoudre. Luka lui avait interdit. La seule possibilité qu'il lui restait était d'en informer un adulte, et il le lui avait aussi interdit. Le bleu finit par se tourner vers elle et lui souris tristement, elle le lui rendit tout en se triturent les méninges en espèrent qu'une idée en émergent. Rien ne viens. Elle fulminer intérieurement, et comme pour lui faire éco une explosion retentit, abiment les timpents de chacun. Un froid hivernale se répandit dans la salle alors que Marinette et Adrien s'esquiver.

-Tout le monde debout ! Comme le veut le nouveau protocole concernant les attaques d'Akuma à proximité du lycée vous êtes obligé de rentrer chez vous !

C'est complètement con ! Et putain qu'elle pouffe celle-là ! Grogna intérieurement Rei.

-Aller ! Dirigez-vous silencieusement jusqu'à la sorti de secours ! Dit-elle tout en rassemblant ses affaires, la panique commencent à la prendre. 

Tous se levèrent précipitamment pour se ruer sans aucune discrétion. Quant à l'hétérochrome elle se contenter de faire de la marche rapide. Oui elle en avait rien à foutre. À l'extérieur du bâtiment l'on pouvait voir le combat. Ladybug et Chat Noir se trouver en ligne de front tandis que Vipérion assuré les arrières tout en surveillant les civils qui évacuaient les lieux. Plusieurs manquèrent de se faire foudroyer sur place, ou de recevoir des débris a même le corps. Mais le serpent veillait aux grains pour qu'aucuns blessés ne soient déclarés.

L'akumatisée, une jeune fille aux couettes violet foncé rayés de blanc pointa son parapluie vers le ciel et déclencha une averse.

-Breuuuuh ! Climatika ! On ne t'a pas dit que les chat n'aime pas l'eau . Chat ne se fait pas !

Sérieusement ? 

-Miaou!

La jeune japonaise se retourna, a la recherche de l'endroit d'où provenait le miaulement. Ce fut dans une boîte en carton qu'elle le repéra. C'était un tout petit chaton noir, possédant de grands yeux bleus. Après une rapide analyse il ne possédait pas de collier et quelques brûlures trôner sur son frêle corps. Son cœur se brisa, et malgré la fraicheur de cette après-midi pluvieuse elle retira son pull pour emmitoufler le chaton dedans et l'emmener chez elle. Elle fuiller la zone de combat, mais elle devait se rendre à l'évidence, cette même zone se rapprocher, et rapidement. Les rues étaient vides, seul un homme essayer tant bien que mal de résister au vent. Elle le reconnut aussitôt, c'était l'homme du port. Elle s'empressa de la rattraper avant qu'il ne chute et l'aida à se maintenir debout.

-Venez monsieur, je vous amène à l'abri ! Hurla-t-elle, sa voix manquant d'être emporté par le vent. Il hocha de la tête, faisant valser le peu de mèches de cheveux qu'il lui restait.

Elle n'était qu'a quelques mètres de sa maison qu'elle aperçus Viperion, virevoltant de toits en toits. Il se rendit aussi compte de sa présence et lui fit un signe encourageant à se cacher. Une tornade le suivais de près et la jeune fille se demanda comment il faisait pour ne pas rejoindre les feuilles valsant à l'intérieur. Elle redoubla d'efforts et réussit finalement à fermer la porte d'entrée, que le vent forcer pour entrer.

-On y est, deuxième étage, porte 30.

-Merci, jeune fille.

-Rei, Monsieur.