INTÉRIEUR | En réécriture

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Bonne lecture 💗

— Athéna, ouvre la porte s'il te plaît. Je te veux juste près de moi, dis-je en tapant sur la porte.

Cela faisait trois jours qu'Athéna, ne dormait plus dans notre chambre. Elle avait décidé de retourner dans son ancienne. Sous prétexte qu'elle l'avait toujours en traversant la gorge que je lui avais privé de son orgasme.

J'entends un bruit de serrure se déverrouiller Athéna, ouvre la porte. Elle souffle d'agacement et elle ouvre la porte en grand me faisant à présent face. Elle est juste vêtue de sous-vêtements simples en dentelle noire, je réajuste mon jogging en raclant la gorge.
Elle esquisse un sourire victorieux et je me concentre que sur son magnifique visage pour ne pas sombrer dans le désir de la prendre ici, maintenant.

— Samaël, il est deux heures du matin, dit-elle en croisant ses bras. Tu viens juste me déranger pour ça.

— Ton-, je souffle en ravalant ma fierté, Ton contact me manque, reprenais-je. Tu me manques, Athéna, dis-je en passant une main dans mes cheveux.

Elle s'écarquille légèrement les yeux et elle semble me regarder avec méfiance.

— Samaël, nous vivons dans le même endroit. Je ne peux pas te manquer, dit-elle en fermant la porte de sa chambre.

Je profite qu'elle soit dos à moi et je la saisis par la taille. Je la retourne vers moi en la plaquant sur sa porte. 

— Pourtant, si, tu m'as terriblement manqué, Ruiz, dis-je en soulevant mon visage vers le mien avec un sourire malicieux. Pourquoi tu ne l'admets pas aussi ? Dis-je en lui chuchotant à l'oreille d'une voix grave.

— Parce que, ce n'est pas le cas, dit-elle en posant une main sur ma nuque.

— Ah oui ? Dis-je en levant les sourcils.

Elle hoche faiblement la tête avec un sourire en coin.

— Tes lèvres me manquent aussi, je ne me souviens même plus de la sensation de les goûter, dis-je en m'humidifiant les lèvres en les regardant.

— Je t'autorise à les goûter, juste-

J'écrase ma bouche sur la sienne là coupante, je désire tant ses lèvres contre les miennes. Elle sourit contre ma bouche et elle transgresse la limite de mes lèvres avec sa langue. J'intensifie le baiser en la portant, elle enroule ses jambes autour de ma taille. Elle m'embrasse dans le cou, moi le mordille, le suce. Je râle de plaisir et je claque la porte.

Je nous fais tomber sur le lit et je suis maintenant au-dessus d'elle. Je m'attaque à sa poitrine qui ne cesse de me faire de l'œil. Elle se cambre pour m'aider et je désagrafe son soutien-gorge, je le jette par terre. J'empoigne ses seins en les pétrissant tous les deux, je les lèche. J'aspire son mamelon tout en m'occupant de titiller l'autre.
Elle agrippe mes cheveux en me faisant ressentir son plaisir.

Elle me repousse et elle redresse son buste. Je la regarde avec incompréhension et j'espère qu'elle va me refaire le même coup que la dernière fois dans mon bureau.

— J'ai envie de prendre un bain, déclare-t-elle.

Elle se lève et elle se retire son string devant moi ne se souciant pas qu'elle fasse redresser mon membre dans mon caleçon. Elle se déplace d'une manière sensuelle en roulant son cul vers la salle de bain.