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Point de vu Samaël.

3 mois avant

Je t'écoute maman, m'asseyais-je dans mon fauteuil.

Je grimace en m'asseyant. J'espère que ma mère n'as pas vu sinon, je vais vite retourner à l'hôpital. Je venais de sortir il y a une semaine. Après un mois, dans cette putain pièce. Je suis devenu fou, je n'avais que la visite de ma famille et mes amis. Mais, je ressentais un vide.

Athéna.

Bordel ! Si je pensais qu'aimer une personne pouvait rendre fou comme ceci alors j'aurais dû la tuer lorsque j'ai commencé à éprouver la moindre chose pour elle.

Je me voilais la face. Comme elle se voilait la face. Nous avions trop de fierté tous les deux.

Caleb avait prit ma place le temps, que je me remette complètement. Je n'avais plus aucun lien durant ce mois avec la Zestas.

Aucun coup de fil. Ils refusaient tous de m'en parler alors qu'ils voyaient combien cela me rendait fou de ne rien savoir. Et lorsque je suis sortie toutes les affaires me sont tombe dessus me laissant aucun répit. Et surtout aucun temps de réfléchir à la chose la plus importante elle.

Mais, j'ai vite remis en place la Zestas en ordre. Et maintenant, je réfléchis toute la nuit et les journées à un plan pour libérer Athéna, sans la faire tuer.

J'en ai rien à foutre que son père est mon ennemi. Elle n'a rien à voir avec ça, je regrette tout ce que j'ai pu dire sur elle. Je lui fais confiance et cela ne changeras pas. Francisco et Ernesto vont payer, et ce n'est pas moi, qui va les tuer. Cela sera Athéna, elle a le droit de se venger. Je ne saurais que là, pour l'assister.

La femme qui accompagnait Ernesto. Tu la connais personnellement ?

— Évidemment, maman elle fait partie de la Zestas.

— Non, je veux dire personnellement..., dit-elle en faisant un clin d'œil.

Maman ? Comprenais-je directement en ouvrant les yeux. Je rigole en secouant la tête.

Durant le mois, que j'étais blessé. Je n'ai pas osé parler de ma mère d'Athéna. J'attendais que je sois rétabli. Mais, maintenant peut-être que je pourrais lui en parler ?
J'allais reprendre la parole mais ma mère me devance :

J'espère bien jeune homme ! S'exclame-t-elle.

Je fronce les sourcils face à ce ton dur qu'elle emploie presque jamais.

Que je ne te vois pas avec elle !

— Peux-tu m'expliquer pourquoi ? L'interrogeais-je curieux.

Son visage se change pour passer à la tristesse. Ma mère a subitement les larmes au yeux. Je contourne mon bureau rapidement et je viens devant ma mère m'agenouillant devant elle.

Qu'est-ce qui passe maman ? Paniquais-je.

Ce n'est rien mon fils, dit-elle en caressant mes mains. Elle, Athéna. Cette femme m'a pointé une arme sur mon front. J'ai bien cru que c'était la fin pour moi.

INTÉRIEUR | En réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant