INTÉRIEUR | En réécriture

7- Enfoiré

Point de vu Athéna.

Je ne sais pas quelle heure il est, mais Seb est passé me nourrir, je suppose que personne ne reviendra dans ma cellule. C'est le bon moment, je prends la clé et commence à défaire mon bras droit, mais j'entends des pas s'approcher.
Je me dépêche de cacher la clé et me rattacher deux secondes après la porte s'ouvre doucement comme si la personne ne voulait qu'on l'entende.

Un homme, je fais semblant de dormir lui il s'avance vers moi lentement je pense pour ne pas me réveiller. Il commence à caresser ma jambe gauche tendrement si on était dans d'autre condition ça m'aurait plus, mais là ces pas le moment.

— Pourquoi vous me toucher ? L'interrogeais-je.

Il sursaute, ne s'attendant sûrement pas à ce que je sois réveillée.

— Pourquoi vous caresser ma PUTAIN DE JAMBE ? M'exclamais-je.

Je savais déjà la réponse, c'est un pervers.

— Je sais que tu aimes ça salope, il se lèche les lèvres et pose ses mains sur mon visage.

— Ne me touchez pas putain ! Hurlais-je.

— Tu vas fermer ta gueule !

Il me gifle et reprend mon visage entre ses mains, il me lèche la joue et lâche un gémissement, il continue son chemin vers mes lèvres et commence à vouloir m'embrasser. Je me débats, mais il me frappe une nouvelle fois un coup de poing dans mon ventre. Cet enfoiré va me laisser un bleu sur mon corps parfait.

Cela suffit je décide de jouer ma dernière carte. Même si, je déteste faire cela, je suis obligé...

— Vous avez raison, dis-je calmement.

Il s'arrête et m'interroge du regard, je reprends.

— J'en ai envie, mais j'ai une faveur à vous demander, je me force à me mordre la lèvre et une lueur perverse passe dans ses yeux.

— Que veux-tu ? M'interroge-t-il avec un sourire.

— Que vous vous tourniez au moins pendant 1 minute, je me lèche lèvre et je le supplie du regard il ne me répond pas il se tourne.

Je prends la clé et me défais les chaînes et me déshabille en même temps je me retrouve en sous vêtement si je savais que j'allais être kidnappé je n'allais pas mettre un string et un soutien-gorge en dentelle. Je termine et fais semblant de remettre les chaînes sur mes jambes et mes bras.

— C'est bon, dis-je

Il se retourne et me reluque de la tête au pied, il se rapproche et commence à me touchée de la tête au pied.

— Tu attends quoi pour m'embrasser, dis-je en paraissant impatiente.

Aller..., approche-toi.

Ça marche il vient vers moi, il commence à m'embrasser, je fais des faux gémissements, tandis que j'enlève les chaînes et attrape son cou. Il ne se rend même pas compte trop concentré à m'aspirer les lèvres. Je place donc mes mains sur son cou, je le tourne de toute ma force possible et un crac se fait entendre dans la pièce.