Je corrige mes chapitres que à la fin de août je pense alors s'il y a des fautes c'est normal.Nous passons une barrière de sécurité avant d'entrer dans un parking souterrain, Samaël, se gare et je descends avec empressement de la voiture. Je claque ma portière et je ne l'attends pas et je me mets à marcher avec Milo.
Celui-ci m'accorde un regard suspicieux avant de se pencher vers moi, et de me dire :— Qu'est-ce qui s'est passé durant notre absence ?
— Samaël, est énervé, je ne sais pas pour quelle raison mais en tous cas, c'est en rapport avec moi.
— Sans doute, parce que tu étais avec Ezra, seule, dit-il en appuyant sur le mot, dans l'ascenseur.
— Et alors, m'offusquais-je. Dès que, je vais me retrouver seul avec un homme, monsieur va faire sa crise ! M'exclamais-je légèrement trop fort.
Je continue d'avancé dans le parking quand soudainement, on me tire en arrière par les hanches brutalement, je me retourne et j'adresse un regard noir à Samaël. J'enlève ses mains sur moi, et je fais mine d'être dégoûté.
— Franchement, Athéna, tu as le culot de dire que je pique une crise. Bordel, tu me prends pour un gamin de cinq ans !
— Parce que c'est le cas, Samaël, soupirais-je en me mettant de nouveau à marcher.
Il me saisit le bras et m'attire vers lui.
— Dégagez maintenant les gars, je dois m'occuper d'un cas personnel, dit-il en affrontant mon regard.
Mes deux amis s'en vont de suite par les escaliers, nous laissant seules à présent.
Il me pousse contre une voiture, et mon dos cogne contre celle-ci.— Alors comme ça, je suis un enfant, hein, dit-il les sourcils froncés. Il me bloque contre la voiture en posant ses mains sur le coffre autour de moi. Il baisse la tête vers moi, et je peux voir ses veines de son front sortir.
— Ouais, t'es un putain de gamin de merde, Samaël, le taclais-je en soutenant son regard.
Il me saisit par le menton et me le serre jusqu'à me faire, j'ouvre ma bouche pour lui dire de me lâcher, mais il enfourne son pouce à l'intérieur.
— Tu es clairement plus jolie quand tu fermes ta gueule, Athéna, souffle-t-il avec un mini sourire.
Je lui mords le pouce mais, il ne faiblit même pas une seule seconde. Un rire rauque sort de sa gorge.
— On ne t'as jamais dit qu'il ne faut pas mettre les dents ?
Je le regarde à présent avec un regard pervers et je commence à sucer son doigt. Il soulève les sourcils amusé par la situation.
— Oh arrête, tu vas me faire jouir, se moque-t-il de moi.
Je descends ma main vers son pantalon et je la pose sur son érection grandissante, je le regarde avec amusement.
— Assez finit de jouer, déclare-t-il en retirant son pouce de ma bouche.
— Qu'est-ce que tu fais ? Tu n'as pas de préservatif Dis-je en le voyant défaire sa ceinture.
— Ferme là et laisse toi, faire, rétorque-t-il d'un ton autoritaire.
Il me retourne contre la voiture et me plaque la poitrine sur le coffre en maintenant la tête, je suis déjà entrain de mouillée alors qu'il n'a rien fait. Il retire mon bas et descends mon string avec jusqu'à mes chevilles. Il me pénètre brutalement en grognant tout en gardant ma tête collé contre la voiture.
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INTÉRIEUR | En réécriture
Roman d'amourAthéna est une ancienne assassin devenue étudiante, elle est rebelle, provocante et insolente. Elle mène une vie stable et simple, mais elle cache un secret inconnu... Son caractère conduira à sa chute. L'homme qui dirige l'un des plus grands carte...