INTÉRIEUR | En réécriture

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J'ai pas relu et il n'est pas corrigé, oups'🥲

J'émerge de mon sommeil tranquillement, de mon sommeil. Je n'avais pas aussi bien dormi depuis longtemps. Je m'étire en baillant toujours les yeux fermés et lorsque je touche la partie du lit à côté de moi, il n'y a aucune trace de lui. Je me redresse en paniquant en regardant autour de moi. Mais, je le vois de dos s'habiller. Je souffle et je me lève, il est en train d'enfiler une chemise noire.

J'avance sur la pointe des pieds jusqu'à lui, et je pose mes mains sous sa chemise en lui, disant :

— Bonjour, mon cœur.

Bordel, Athéna, depuis quand utilise-tu des surnoms comme ceci ?

Il se retourne lentement vers moi, et ses lèvres se lèvent pour former un rictus.

— J'aime quand tu m'appelles comme ça, chuchote-t-il d'une voix sexy.

— Ne t'habitue pas, lui, dis-je en lui tournant le dos.

Il laisse échapper un rire avant de me baiser l'épaule tout en me caressant le cou. Il remonte ses baisers jusqu'à la clavicule et il me tourne vers lui, plaquant ma poitrine sur la sienne. Il écrase ses lèvres violemment sur les miennes, il me saisit par la taille et nous reculons vers le lit. Samaël, me balance sur le lit et je souris d'un sourire espiègle.

— Va t'habiller, déclare-t-il avec un sourire narquois.

Mon sourire fond sur mon visage et la frustration s'empare de moi. Samaël, se contente de continuer de s'habiller en ne me regardant pas. Je me lève furieusement du lit, et je marche rapidement vers la porte.

— Merde, m'énervais-je en faisant demi-jour. Je venais de me rendre compte que je ne portais rien, à part un string. Je cours vers la salle de bain et j'attrape une serviette. Je me dirige là où, mes affaires sont et je saisis ma carte.

— Athéna, je...

Je le fais taire en lui montrant mon doigt et j'ouvre sa porte et je la claque. Je marche frénétiquement vers l'ascenseur.

***

Je me regarde à travers et je clips le collier comportant la bague de Samaël, autour de mon cou. Je maquille mes yeux et je quitte la salle de bain, et j'enfile des baskets.

— Athéna, m'appelle Milo, à travers ma porte en la tambourinant.

Je me dirige lentement vers la porte, et je l'ouvre en grand avant de lui, afficher un sourire sincère. Je n'oublierais jamais, ce qu'il a fait, il me surprend en m'attrapant pour me faire une étreinte amicale.

— Merci, soufflais-je.

— Je pense que ça a duré déjà assez longtemps les remerciements.

Je me défais de Milo, et je dévisage Samaël de haut en bas. Je referme ma porte derrière moi, et je trouve à côté de Samaël, Sébastien.

— Ça fais longtemps, dis-je en ne sachant pas quoi dire. Notre dernière conversation ensemble, il m'avait menacé de me tué...

— Viens, là, dit-il en s'approchant de moi les bras ouverts.

— Tu n'as pas besoin de la serrer dans tes bras, grogne Samaël en le repoussant en arrière.

Je lance un regard noir à Samaël, tandis que Sébastien, rigole. Nous avançons tous ensembles et mon esprit n'arrête pas de se tourner vers Milo.

Comment c'est possible qu'il connaisse Samaël, alors qu'ils sont dû camps ennemis ?