« chapitre quarante-sept »

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Bien l'bonjour à toi cher lecteur/rice, et particulièrement à toi, qui avance avec moi, mais dans l'ombre. Avant que tu ne lises ce chapitre, je vais simplement t'encourager à laisser un petit vote si ce que tu lis te plaît. Ça ne te coûte rien, et ce simple clic m'apportera une immense joie.
Et aussi, n'hésite pas à laisser un petit mot par-ci, par-là, ça ne me dérangera pas du tout, bien au contraire tu t'en doutes.
Attention, il n'y a bien évidemment pas d'obligation, le plus important est que tu apprécies ce que tu lis.

Merci pour tout, à vous, mes chers
lecteurs actifs et mes chers lecteurs de l'ombre.

En te souhaitant une très bonne lecture,

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Le lendemain, Daryl tente toujours de faire parler la fille. Il essaye de l'amadouer, de la menacer, mais elle a toujours une parade pour le contrer. Même si grâce à Henry, elle avait fini par dévoiler certaines choses. Mais ils restent septique quand à la véracité de ses différents récits.

Et alors qu'elle s'atèle à récolter les quelques pommes de terre restantes du petit jardin se trouvant devant son bungalow, Tara les interpelle, elle, Daryl qui venait de sortir de la cave et Magna. Ils la rejoignent sur la plate-forme de surveillance, découvrant ce qui s'apparente à une horde, à la seule différence qu'elle reste immobile devant leurs portes.

«- Mon nom, est Alpha, s'exclame l'unique personne au visage découvert. Une femme, le visage sale, le crâne rasé. Et mes amis et moi, on ne veut qu'une seule chose, ma fille Lydia.
- Notre communauté est plus que capable de se défendre, répond Tara.
- Je vous montre mon visage, c'est parce qu'on ne vous veut aucun mal. Je veux juste qu'on me rende ma fille. Je sais qu'elle est ici.
- Faites demi tour, rétorque le chasseur, partez et y'aura pas d'blessés.
- Mauvaise réponse, gronde la femme.  »

Elle lève le bras, poing vers le ciel, en répondant ça, appelant silencieusement un grand nombre de ses fidèles masqués à rejoindre la bonne quinzaine qu'ils étaient déjà.

«- La gamine m'a dit c'que sa mère lui faisait, pas question d'la renvoyer avec elle, réplique le chasseur en ne s'adressant qu'aux filles autour de lui.
- Mais si c'est elle qui détient Alden et Luke ? Si on la met en rogne, elle peut les tuer.
- Est-ce que vous avez tué nos amis ? Demande Magna à la femme, on a retrouvé leurs chevaux.
- Non, répond t-elle, dites moi lequel dirige votre groupe.
- Pourquoi ? Qu'est-ce que ça change ? Questionne Dixon.
- D'accord, alors j'vais m'adresser à tout le monde. Des gens de votre groupe sont entrés sur notre territoire, mais y'aura pas d'conflit ! Annonce-t-elle, des gens de votre groupe ont tué des gens du nôtre, mais y'aura pas d'conflit ! Maintenant, amenez moi ma fille. Ou cette fois, il y aura conflit, ajoute-t-elle en hochant la tête pour appuyer ses propos
- Personne touche à la fille, grogne Dixon dans sa moustache. »

Et il tourne les talons pour quitter la plate-forme. Elle le suit du regard, se doutant qu'il va voir la fille, probablement pour savoir ce qu'elle voulait vraiment, elle.

Mais au lieu de ça, contrairement à sa pensée, les portes s'ouvrent et il sort de l'enceinte de la communauté. Ni une, ni deux, à peine le voit-elle dépasser les portes qu'elle quitte précipitamment la plate-forme à son tour pour le rejoindre à l'extérieur à grandes enjambées. Elle se poste simplement derrière lui, à l'effigie de son ombre et observe chaque personne étant débout, immobile, devant eux.

«- T'auras pas ta fille, dit-il simplement. Maintenant, si c'est la guerre que tu cherches, on a d'quoi tous vous allumer. Là, tout d'suite, la provoque-t-il. »

«Un nouveau monde» (2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant