AC Syndicate: Isolated Files [OS]

Sweet Night

🔞 Attention, ce one-shot contient une scène à caractère sexuel, sans vulgarité et/ou langage cru. Si vous êtes trop jeune pour cela, ou que vous êtes trop sensible, passez au one-shot suivant. 🔞

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Les deux Assassins entrèrent dans le train, à la gare de Whitechapel. Ils avaient tous les deux le sourire aux lèvres grâce à cette soirée dans le club de combat de Robert Topping. Ils y avaient soutenu un des Rooks qui était imbattable depuis quelques mois. Le temps d'aller dans le wagon qui servait de chambre à Jacob, les deux Assassins débriefèrent sur leur excellente soirée.

Tout en continuant de discuter, ils entrèrent enfin dans la chambre du brun au haut-de-forme et retirèrent tous les deux leurs attirails qu'ils posèrent sur le bureau déjà en bazar. Jacob s'affala dans le sofa après s'être déchaussé tandis que Victoria continua à se mettre à l'aise en détachant ses cheveux, poursuivant la conversation presque seule. Les bras posés sur le dossier du sofa gris-vert, il contempla silencieusement la brune en train de secouer sa tignasse aux reflets cuivre. Sa silhouette était sublimée par le contre-jour créé par la lampe à huile du bureau. Malgré sa tenue plutôt masculine, Jacob devina ses formes et les regarda avec tendresse.

Après s'être déchaussée, Victoria se rendit compte que les prunelles noisettes de l'Assassin ne la lâchaient pas et comprit tout de suite pourquoi elle n'avait plus de réponse de son cher Jacob. D'un sourire timide et légèrement coquin, elle lui demanda ce qu'il regardait alors qu'elle retira le haut-de-forme qu'elle posa ensuite sur le bureau. Elle savait que ses yeux n'étaient pas innocents.

– Rien du tout, répondit-il sorti de ses rêveries.

La brune s'assit alors sur ses genoux, les jambes du même côté, et entoura son cou avec ses bras. Une de ses mains caressa les quelques cheveux tombant sur la nuque de son bien-aimé. Jacob ferma les yeux, appréciant la douceur du geste d'affection de sa compagne.

– Étrangement, je ne te crois pas, sourit la Londonienne avec malice.

– Et tu as parfaitement raison, répondit-il avec un sourire en coin.

Jacob approcha son visage de celui de Victoria et l'embrassa tendrement. Puis il sortit le bas de la chemise du pantalon de la jeune femme pour passer sa main en-dessous et caresser sa peau malgré le veston bleu-gris qui resserrait un peu plus sa taille. Avec un léger sourire satisfait, la brune apprécia la chaleur et la douceur de la main de Jacob et déboutonna son veston pour laisser plus de liberté à son partenaire mais aussi pour l'inciter à continuer. Cela fait, elle recommença à caresser les cheveux bruns de l'Assassin, qui avait très bien compris le message, n'hésita pas à poursuivre tout en l'embrassant amoureusement.

En fermant les yeux pour mieux savourer les lèvres du jumeau Frye, elle lui rendit son baiser avec un peu plus de passion. Elle passa lentement ses mains sur les joues de l'Assassin avant de les glisser sur son cou. Puis l'une d'elles déboutonna le veston vert avant de s'attaquer aux premiers boutons de la chemise. Leur baiser commença à devenir plus lent et intense, tout en gardant sa tendresse. À chaque fois que leur lèvres se séparaient, les amants suffoquaient et reprenaient leur souffle. Encore à son tour, Victoria interrompit quelques secondes le baiser pour s'asseoir face à Jacob, les jambes de part et d'autre des siennes. Puis en l'embrassant à nouveau, elle retira le manteau de son partenaire, qui se laissa faire malgré sa réponse au baiser.

Débarrassé de son manteau, il la serra un peu plus contre lui, le désir commençant à monter alors qu'elle lui massait le pectoral gauche. Il retira aussi le manteau de la jeune femme ainsi que la chemise qu'elle portait, son veston s'en allant au passage. Il découvrit alors le dessous de chemise qui mettait en valeur la poitrine de la Londonienne. Cette dernière coupa le contact entre leurs lèvres pour reprendre son souffle, mais surtout pour finir de déboutonner la chemise qui couvrait encore le torse tatoué de Jacob. Pendant ce temps-là, il ne put s'empêcher de nicher son visage dans le cou de la brune et de l'embrasser délicatement, tout en humant son odeur à chaque fois qu'il décollait ses lèvres de sa peau. Les tendres baisers ainsi que le bref souffle du brun de Crawley dans cette partie très sensible donnèrent des frissons à sa partenaire, ce qui l'obligea à ralentir dans le déboutonnage.