La vie compliquée d'une jeune fille qui se retrouve du jour au lendemain à devoir se poser la question s'il s'agit de vivre ou survivre à la plus grosse tragédie qu'elle ne pensait pas avoir à subir.
Quand il ne s'agit plus de vivre pour soi, mais...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Depuis le début que je connaissais Charles, je l'avais toujours vu comme le jeune homme charmeur, que toute la gente féminine aimait pour son physique avantageux tout comme ses prouesses sportives. Malgré l'absence qui nous avait séparé, je n'avais jamais vu Charles autrement que comme un ami proche. Mais c'était à l'époque... Nous avions grandis et je n'avais jamais imaginer que je pouvais le voir d'une autre manière. Manière selon laquelle je me surprenais à aimer la vue qui s'offrait actuellement à moi.
/!\ Scène où des propos dits "mature" peuvent se trouver. Si vous ne voulez pas en lire, merci de sauter ce passage. Je ne suis pas responsable de ce que vous lisez, ni de ce que vous comprenez /!\
Loin de m'imaginer mon après-midi télévision à ses côtés tel quel, j'avais actuellement le souffle du monégasque dans le cou depuis déjà plusieurs minutes et la buée qui régnait dans la pièce n'était pas seulement liée à la température de l'eau qui tombait depuis le pommeau de la douche dans laquelle nous nous trouvions.
Ses lèvres très légèrement rosées me paraissaient beaucoup plus charnues que d'habitude. Mon regard ne les quittait pas et je pense que le jeune homme face à moi le sentait puisque lui aussi ne bougeait plus alors que l'eau chaude continuait tout autant à ruisseler sur son corps musclé.
Alors que je me trouvais toujours collée à la paroi de la douche, Charles vint me coller plus à lui ayant à mon tour l'eau chaude sur moi. Concours de circonstances ou pas, j'avais un tee-shirt blanc en haut qui ne l'était quasiment plus. L'eau chaude qui ruisselait sur moi à mon tour vint petit à petit le rendre transparent, ce qui laissa apparaître la dentelle de mon soutien-gorge bleu canard. Le souffle du monégasque s'accéléra et je compris vite qu'il n'était pas indifférent à la vue qui se trouvait désormais devant lui.
- Enlèves-moi ce haut stp sinon tu repars sans, me fit-il d'une voix rauque.
Je souris légèrement à l'ordre qu'il venait de me donner. Je n'avais pas l'habitude de voir Charles sous cet angle là mais je ne cachais pas que cela me plaisait. J'enlevais comme je pouvais mon top blanc laissant ma poitrine plus à découvert que prévu. Le monégasque ne me laissa pas le temps de dire ou faire quoique ce soit puisque je sentis une main me soulever prenant le temps au passage d'agripper mes fesses sous mon jean dorénavant trempé.
Il m'avait collé à la paroi du fond de la douche me faisant clairement changer de température puisque les carreaux de cette dernière étaient bien plus froids que la température de l'eau en elle-même.
- Je m'occupe de ce qu'il reste en trop ! Continua le jeune homme toujours avec ce même ton. Ses lèvres vinrent rencontrer les miennes me les mordant délicatement au passage. L'effet que me faisait le jeune homme était indéniable !
Sans le vouloir, des gémissements sortirent de ma bouche lorsque Charles commença sa longue trainée de bisous depuis mon cou. Je ne voulais pas laisser transparaître le désir qui commençait à monter en moi mais mon subconscient le fit à ma place et cela plût au monégasque puisqu'il vint à nouveau me regarder droit dans les yeux lorsqu'il les entendit.
