Chapitre 41

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J'attendais à la porte depuis déjà plusieurs minutes

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J'attendais à la porte depuis déjà plusieurs minutes. Le monégasque ne m'avait pas cédé et je me trouvais donc toujours derrière cette porte attendant que sa colère ne descende. En écoutant les ingénieurs parlés autour de moi, je compris que la monoplace avait eu une panne moteur ce qui expliquait le crash dans les derniers instants de l'essai. Rien de grave, tout était réparable mais je pense que Charles n'avait pas cherché plus loin et était parti au quart de tour les nerfs à vif.

Je naviguais sur mon téléphone, un temps sur les réseaux sociaux, un temps sur ma messagerie répondant notamment aux différents mails de la fondation pour le problème que mon père m'avait fait part la veille. Je négociais tant bien que mal pour résoudre le problème en question mais je ne m'avouais pas vaincue pour autant. J'en profitais aussi pour poster sur Instagram histoire d'alimenter mes réseaux qui augmentaient à vue d'œil concernant les abonnés. J'étais étonnée, je n'étais pas forcément trop pour l'exposition publique de ma vie mais les gens avaient l'air de m'aimer puisqu'on me suivait de plus en plus. Ou alors était-ce de la curiosité mal placée ? Je ne sais pas ... Cela me fit relever la tête commençant à me demander si les gens me suivaient pour me valoir du bien ou du mal ?...

                                                                    🇳🇱 Zandvoort vibes

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                                                                    🇳🇱 Zandvoort vibes

                                                      aimé par pierregasly, maxverstappen1 et 864 000 autres personnes.

Je n'eus pas trop le temps de tergiverser que j'entendais la porte doucement s'ouvrir à côté de moi laissant apparaître le pilote fraichement changé. Il vint se caler à mon niveau alors que j'étais assise attendant patiemment qu'il se calme de son côté.

- Excuses-moi j'ai dépassé les bornes ...

Je levais mes yeux pour croiser ceux du brun qui venait de s'asseoir près de moi. Les gens autour de nous travaillaient et l'avantage des pièces réservées aux pilotes, c'est qu'elles étaient à l'écart de toute presse.

- Je crois que ca devient une habitude pour moi de t'entendre dire ça en ce moment, lui dis-je calmement en lui souriant. Le monégasque me regardait gêné de ma remarque. Ca va ? Lui demandais-je. Mon but était de le soutenir et pas de l'enfoncer avec nos précédents.

Vivre et non survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant