Chapitre 25

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Quelques mois plus tard, je me réveillais dans les bras de Daryl qui me regardait dormir.

- Tu as bien dormi ?annonçait mon copain en souriant.

- Toujours aussi bon d'être près de toi.

- Hum, fit-il en me caressant le ventre.

- T'a finis.

- J'ai juste posé ma main sur ton ventre.

- Oui ben faut l'a mettre autre part ta main mais pas sur mon ventre.

- D'une humeur coquine dès le matin madame dixon ?

- Vas-y tu m'a coupée l'envie, dis-je en essayant de me relever mais il se collait à moi pour me monter dessus et je souris contente, Daryl m'embrassait et je gémissais faiblement.

- Compliquer avec ton gros ventre.

- Fallait pas me mettre en cloque connard, dis-je en rigolant.

- Je vais te faire toute une portée tu vas voir.

- Si tu pouvais déjà commencer ce que tu voulais faire à la base.

- A vos ordres p'tit chef, après de longues minutes, nous descendions de notre nouvelle endroit pour dormir et on allait manger. Je retrouvais Carol qui servait les petits déjeuner et Daryl prit un bol de céréales et on discutait avec notre amie. Patrick l'admirateur de Daryl arrivait pour lui serrer la main et lui dit en souriant.

- Merci pour le chevreuil ce serait un honneur de vous serrer la main, le chasseur se léchait les doigts et je le regardais et dis doucement.

- Ça me rappelle à mon réveil, Carol éclatait de rire et je regardais Daryl en souriant puis il répondait quand on commençait à partir pour regarder les morts se bourrer devant les grilles.

- Patrick sait que je suis ton mec ?

- Avec mon apparence et les nombres de fois où il nous à vu nous galoche, je suppose oui, dis-je en rigolant. Daryl se préparait pour aller au ravitaillement, Beth dit en revoir à son copain et le chasseur dit.

- Ma parole, ça se béquotte dans tous les sens.

- Tu peux dire, dis-je en souriant ce qui le fit m'embrasser et j'éclatais de rire et partis dans le potager. Carl me regardait et je lui demandais de venir et on discutait longuement pendant que je préparais le jardin. 

Carl partit voir la lecture par Carol alors que j'allais dans le bloc et je retrouvais Daryl discuter avec Beth, je m'approchais tranquillement pour aller dans ma chambre et je sentis une forte douleur au niveau du ventre. Je hurlais ce qui fit venir Glenn et Maggie puis Daryl. Je pleurais de douleur et Daryl me regardait en paniquant.

- Tu as bien choisis ton moment toi, dit-Glenn.

- Ta gueule, dis-je en hurlant de douleur.

- Pousse ma belle, dit maggie, Daryl se mit derrière moi pour me faire un semblant d'oreiller, je poussais et on entendait des hurlements.

- Daryl va voir avec Glenn, j'ai encore Maggie, c'est peut être important ? dis-je en le regardant.

- T'es sur ? dit mon copain.

- Bouge, je te veux pas de là, dis-je en poussant, Daryl m'embrassait longuement avant de courir de la tour de guet suivit de Glenn. Je regardais Maggie et elle m'aidait à accoucher correctement. J'entendais des pleures de bébé. Je regardais Maggie et elle pleurait doucement.

- Ça va, dis-je en posant ma tête contre mon oreiller.

- Tu à été très courageuse, dit-elle en me caressant la joue.

- Va aider les autres, dis-je en prenant sa main dans la mienne.

- Tu es sur ?

- Oui, t'inquiète, le bébé est sortit, tout va bien.

- D'accord, tu est tellement courageuse.

- Toi aussi, dis-je en souriant. Je jouais avec ma fille et quelques heures plus tard, j'entendais des bruits et je me relevais alors j'aperçus la grille quasiment entrain de lâcher contre le poids des rôdeurs, je mis ma fille dans des oreiller pour évité qu'elle se blesse et courus comme je pouvais à une voiture et conduis rapidement pour heurter tous les rôdeurs. Daryl me regardait faire et Rick partit prendre des cochons et les lançait au rôdeurs pour faire diversion et les garçons revenaient vers moi pendant que je descendais de la voiture en me retenant à la portière. 

- (t/p), dit- Daryl.

- Nan, c'est bon, je vais me reposer, dis-je épuiser.

- (t/p) ? dit Daryl.

- Oui ? dis-je en le regardant.

- Fille ou garçon.

- Fille, dis-je en souriant.

- Ok, dit-il en souriant.

- Viens là voir quand tout ça se sera calmer.

- Promis, je t'aime.

- Je t'aime monsieur dixon. J'allais me reposer et je gardais ma fille près de moi et m'endormis épuiser.

daryl dixonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant