Chapitre 51

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Iris
Samedi 11h50 , appartement


Je sort doucement de mon sommeil en sentent une masse ce mettre sur mon dos .

L'odeur du polonais viens emplir mes narines , il parsème mon cou de bisous ce qui provoque un long frisson tous le long de mon épiderme .

Il dépose un dernier bisous dans mon cou avant de me souffler :

- Mathieu : Faut se lever mon coeur.

Je souris à l'entente de la fin de ça phrase .
Je me tourne pour me mettre sur le dos comme je peux pour être face à lui . Il vient délicatement poser ces lèvre contre les miennes .

- Mathieu : Bien dormis ?

- Iris : Comme un bébé dit-je le sourire au lèvre . Et toi ?

- Mathieu : Toujours aussi bien quand t'es dans mes bras .

Mon coeur fond .

Il est trop mignon !

- Iris : je rit . Vous avez un élan de mignonneri monsieur Pruski ? Dit-je moqueuse .

- Mathieu : Probable mademoiselle Torini .

On rit tous les deux , on reste un petit moment tous les deux dans le lit . Quand on trouve la motivation on se lève . Je me dirige dans la cuisine pour me faire mon café du matin . J'en fait un pour Mathieu puis je le rejoins sur le balcon avec les deux tasses fumantes . Je lui tend la sienne qu'il prend puis me remercie .


- Iris : Qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ?

- Mathieu : Tu veux faire quoi ?

- Iris : Je t'avoue que j'ai pas une grosse envie de bouger aujourd'hui .

- Mathieu : Netflix ?

- Iris : Netflix !

Il me sourit . On bois tranquillement notre café sur le balcon puis on part ce poser sur le canapé devant Netflix . On voit qu'il y a une nouvelle série donc on la commence .








***


  








Ça fais deux mois que je travaille comme une malade . Je vois presque plus Mathieu et ça me fait vraiment chier parce que sens vraiment le vouloir on s'éloigne et ça me fait mal .

Je suis clairement du vent depuis deux mois , je me lève très tôt et je rentre très tard . Les soir ou il est là on s'embrouille , il me reproche de trop travailler . Et la plus part du temps il part en me laissant seule comme une conne au milieu de mon salon . Mais il a raison je dois ralentir . J'ai des cernes plus grande que mon appartement . Mais je ne peux pas me permettre de m'arrêter . J'ai tellement rêver de ce que je vie maintenant que je ne veux pas m'arrêter .

Je ne veux pas le perdre et en même temps j'ai entièrement conscience que si je continue dans cette élan ça va le soûler et j'ai pas envie qu'il me laisse .

Cœur meurtri Où les histoires vivent. Découvrez maintenant