Chapitre 25 : It's time !

168 10 0
                                    

Louka

  Je me sens furieux et à la fois extrêmement excité lorsque j'embrasse Lana. Comment cette petite idiote peut-elle penser que je ne la désire pas ?
  Je savais qu'elle était innocente mais à ce point ? Ça en devient même indécent. Je me sens coupable de vouloir faire toutes ces choses à cette fille pure.

— Louka att ...

— Non je ne vais pas attendre. Tu voulais que je te touche non ? Que je te désire ? Et bien voilà, c'est ce que je suis entrain de faire.

  Tout en continuant de l'embrasser, je l'emmène sur le lit.
  Les petites mains de Lana sont posées sur mon torse. Mais ce satané t-shirt fait barrière, alors je ne tarde pas à le retirer.

— Plus jamais Lana, tu m'entends ? Plus jamais je veux que tu penses que je ne te désire pas. Tu es la personne que je désire le plus au monde. Est-ce que tu sais ce que c'est de me contenir à chaque fois que je te vois ? À chaque fois je ne pense qu'à une chose c'est de t'arracher tes vêtements, embrasser chaque parcelle de ton corps, te goûter, te caresser. Mais je tiens tellement à toi, que je me suis retenu. Je ne voulais pas que tu penses que je voulais seulement coucher avec toi. Et c'est vrai, je ne veux pas simplement coucher avec toi.

  Elle me sourit, visiblement soulagée.

— C'est vrai ?

  Je lui mets sa main sur ma poitrine, pour qu'elle sente mon cœur battre.

— Il bat vite.

— Oui. Il bat vite. À cause de toi. Mais quand tu n'es pas là, il bat si lentement que j'ai l'impression qu'il va s'arrêter. Et honnêtement ce n'est pas pour être romantique car je ne le suis pas, mais ce que je ressens est bien réel. Alors je te demande d'arrêter de douter de moi.

  Elle acquiesce, m'attirant vers elle pour l'embrasser. Elle ouvre la bouche et j'insinue ma langue. Je profite pour mordiller ses jolies lèvres et un ravissant son sort de sa bouche magnifique, ce qui me donne encore plus envie d'elle. Elle a la plus douce des voix.

— Tu ne me facilites pas la vie ma p'tite. Je voulais être un gentleman mais quand je te vois comme ça, je redeviens un homme.

  Je m'approche d'elle mais elle me met son indexe sur la bouche.

— J'ai envie de le faire avec toi Louka, mais ...

  Elle s'arrête de parler, laissant planer un terrible suspense.

— Mais quoi ? Écoute je ne vais pas te forcer à faire des choses que tu ne veux pas. Et je peux attendre aussi.

— Merci, mais je sais que j'ai envie de le faire maintenant et avec toi. Le truc c'est que ... je n'ai jamais ...

  Lana agite la tête de droit à gauche. Je comprends rapidement qu'elle est vierge.

— Lana tu n'as ... jamais rien fait ? Vraiment ?

— Tu penses que je te mens ?

— Non, ce n'est pas ça. Mais ... comment peux-tu être vierge à ton âge ?

  Elle se mord les lèvres et baisse les yeux. De mon indexe, je relève sa tête pour qu'elle puisse me regarder dans les yeux.

— Lana que nous soyons clairs, ce n'est pas un reproche, au contraire. Ça veut dire ... que je vais être ton premier ?

— Hum ... oui. Si ça ne te dérange pas de le faire avec une personne aussi inexpérimentée que moi.

— Tu es inexpérimentée pour le moment mais je vais t'apprendre tellement de choses, qu'à la fin tu me surpasseras.

  Elle glousse timidement, me faisant fondre de l'intérieur.
  Bordel qu'est-ce que j'aime cette fille. Ce petit gabarit me rend fou. Je suis littéralement à ses pieds.

  J'embrasse Lana, encore et encore et encore. Je ne me lasse pas d'elle. Vraiment, elle est ma drogue. Elle me stimule autant qu'elle est capable, en un claquement de doigts, de me faire sombrer.

  Je demande à Lana d'attendre, pour partir fermer la porte à clé. Il est hors de question que nous soyons interrompus. Et surtout, que quelqu'un puisse la voir nue.
  Je tente de ne pas être trop brutal à cause de mon empressement. Je veux faire les choses convenablement, surtout pour la première fois de Lana.

— Louka ?

— Oui ?

— Je vais avoir mal ?

— Je ne vais pas te mentir, ça ne va pas être très confortable au début, c'est pourquoi, si tu veux arrêter, c'est maintenant ou jamais.

— Non je sais ce que je veux mais ... j'ai un peu peur.

— Je vais y aller doucement d'accord ? On va le faire à ton rythme et si la douleur est insupportable, je m'enlève. Ça te va ?

  Elle acquiesce, nerveuse. Je tente de l'embrasser pour la rassurer.
  Je commence à retirer mes vêtements, afin qu'elle se sente plus à l'aise que je le fasse en premier. J'aime le fait qu'elle me regarde, bien que je me sens presque comme un moins que rien. Je veux lui plaire.

— Tu es vraiment beau.

  Elle me complimente et soulage mes craintes.

— Et toi tu es divine.

  Je l'embrasse et la touche sous son t-shirt. Lorsque j'essaie doucement de le retirer, Lana m'en empêche.

— Tu n'as plus envie ?

— Si. Mais ... j'ai un peu honte.

— Honte ? Mais pourquoi ?

— Tu as connu de belles filles. Et moi, je suis tellement ...

  Je mets ma main sur sa bouche, évitant qu'elle poursuive.

— Tu pensais déjà que je n'avais pas envie de toi et maintenant tu doutes de ton corps à cause des filles qui ont été présentes dans mon passé ?

— Et bien oui.

— Lana, je n'ai pas besoin de voir ton corps pour savoir que tu es déjà magnifique. Tu n'as pas à te cacher, surtout avec moi. Je vais tellement aimer ton corps que toi aussi tu vas l'aimer.

  J'embrasse son ventre, en relevant en même temps, et doucement son t-shirt.
  Elle porte un soutien-gorge en dentelle noir et rouge.

— Lana, putain !

  Je ne veux pas paraître trop grossier mais lorsque je vois sa jolie poitrine dans ce soutif qui lui va à ravir, je m'en veux presque de vouloir le lui enlever.

— Ça te plaît ?

— Carrément. Mais bon, ça ne va pas durer longtemps sur toi.

  Je baisse une première bretelle, embrassant par la suite son épaule, puis la seconde.
  Je n'hésite pas à la marquer en lui faisant des suçons un peu partout. J'avoue que c'est un peu, voire même beaucoup, un acte possessif de ma part.

— Tu permets ?

  Je lui demande l'autorisation d'enlever son soutien-gorge et Lana me donne son accord.
  Je le lui retire, et j'admire sa jolie poitrine. Je lèche chaque mamelon, avant d'aventurer ma main au niveau de sa taille.

— Tu es si douce.

— Louka continue de me toucher s'il te plaît. Ça me fait du bien.

  Je ne vais pas me contenter de la toucher. Cette nuit, je compte bien l'aimer, et je vais lui exprimer, de toutes les manières possibles.

I hate you I love you Où les histoires vivent. Découvrez maintenant