« 𝐒𝐮𝐢𝐬-𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐛𝐨𝐧 𝐜𝐡𝐞𝐦𝐢𝐧 ? »

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ELIYANAH

Quelques part dans le passé.

J'ai l'âge de 10 ans, une enfant innocente et vulnérable , je joue dans la cour de ma maison, riant et sautillant comme tout enfant le ferait.

Soudain, l'atmosphère change.

Mon beau père Roger est là.

Au début, il semble tout à fait normal, mais il dégage progressivement une aura malsaine.

Son sourire se transforme en une expression malveillante.

L'air devient lourd, les ombres s'allongent et un sentiment de malaise s'installe, tout est aller sur vite sur le moment que j'ai rien vu venir .

En un instant j'ai changer d'endroit.. une pièce sombre.. avec peu de lumières .. une sorte de cave j'en sais rien .

- Non, arrêtez... Laisse-moi tranquille.

Roger - Oh, ma chérie, tu sais que tu es spéciale pour moi. Tu peux me faire confiance.

J'ai les larmes aux yeux , logique je suis qu'une enfant .

- Non, je veux pas. Laisse- moi partir.

Il s'approche de moi , encore et encore mais où est ma mère ? Ou est Vanessa ? Ou est mon papa .

Je ressent une peur indescriptible qui s'empare de moi.

Je tente de m'éloigner, mais mes jambes semblent ne plus me soutenir.

Mon beau-père s'approche lentement de moi, ses intentions devenant évidentes pour un adulte mais pas pour une enfant de 10 ans .

Roger - Ne t'inquiète pas, c'est notre petit secret. Personne ne saura rien

Évidement là je commence à paniquer mais il a une forte emprise sur moi .

- Je veux pas de secret. Laisse-moi tranquille, j' en supplie.

Et pourtant il souriait , normal ou plutôt sinistrement.

Roger - Tu es si jolie, ma chérie. Tu devrais être flattée que je m'intéresse à toi.

- T'a pas le droit de faire ça . T'es censé prendre soin de moi, pas me faire du mal.

Et il ose me toucher .. me toucher encore et encore partout .

Roger - *rires*Les choses ne sont pas toujours comme elles semblent, ma belle.

- Arrête s'il te plais ..

Roger - Tu es si naïve, ma chérie. Tu ne peux pas comprendre à quel point je t'aime.

- Ce n'est pas de l'amour, c'est de la méchanceté. TU ME FAIT MAL !

Ce que je ressens la terreur, la honte, la colère, la confusion. Je me sent impuissante et vulnérable.

Roger - Les grandes personnes font ce qu'elles veulent, ma chérie. Tu devrais t'estimer chanceuse que je te fasse attention.

- Non, je ne veux pas... Je veux que ça s'arrête.

Roger - Ne te débats pas, ma chérie. Tu ne peux pas t'échapper.

- LAISSE MOI PARTIR , LAISSE MOI PARTIR !

Roger - *fou rire* Personne ne t'entendra crier ici, ma chérie.

- Aidez-moi, quelqu'un, aidez-moi!

Il a été sans pitié.. il m'a arranger mon innocence à mon jeune âge et m'a forcer à me taire sous mes pleures .