C'est Notre Histoire [MiTake/TakeMikey]

Chapitre 19 : Mikey à mon cours de maths

PDV Takemichi :

Aujourd'hui je suis en cours, ma mère et mes amis voulais que je me repose, surtout Mikey et Senju. Mais j'ai refusé.

C'est le dernier cours de la journée, il doit rester.. 20 minutes ?

Pendant que je réfléchis à tout et rien, la porte de la classe s'ouvre sur Mikey. C'est une maladie de perturbé les courses comme ça ?

«Mikey : Ah Takemichou, je t'ai enfin trouvé !»

Je soupire. C'est pas la première fois qu'il fais ça, et même si il se faisait exclure du collège, il reviendrai.

«Senju : Mikey espèces de racaille, t'as pas le droit d'entrer dans le collège comme tu veux.»

Il tourne la tête vers Senju puis souris.

«Mikey : Oh Senju, t'es la aussi, cool. Salut Atsushi.

Atsushi : Euh, salut Mikey ?»

Tout les regarde sont sur nous. Mikey traverse la salle de classe en s'avançant vers moi et s'adosse contre la fenêtre une fois à côté de moi.

«Prof : Euh, vous n'avez pas le droit de rester ici monsieur.

Mikey : Je sais, mais je viens voir Takemichou. Après on a une réunion de gang, et on doit parler de la répartition des membres dans les différentes divisions, j'ai besoin de Takemichou parce que c'est le numéro 2 du gang. Promis je dérangerait pas.

Prof : C'est... bon, vous pouvez rester, mais si vous dérangez vous sortez de suite.»

Mon prof de maths qui est super sévère et habituellement aigris est littéralement en train de se chier dessus. C'est vraiment ironique.

Le regard de toutes la classe est cette fois pointer vers moi et Mikey. On dirait qu'ils sont tous sur le cul de savoirs qu'il y a quatre membres du Toman au même endroit, et aussi d'avoir appris que je suis le numéro 2 du gang. Enfin c'est pas bien grave, même si j'aurais aimer rester discret.

Le cours reprends ou il en était. J'essaye de me concentrer, mais c'est impossible quand quelqu'un te fixe intensément. Je regarde celui qui se tient à côté de moi, puis je lui chuchote.

«Takemichi : Tu pourrais fixer autre chose s'il te plaît..? J'arrive pas à écouter le cour.

Mikey : Écouter ? Ça fais trois fois que tu passes ta troisième, t'a vraiment besoin d'écouter ?

Takemichi : C'est toujours bien d'écouter, comme ça j'oublie pas.

Mikey : Mouais, bah non je continue à te regarder parce que t'es mign-»

Je me lève brusquement de ma chaise et place mes deux mains sur la bouche de Mikey pour pas qu'il finisse ça phrase.

«Takemichi : Chut !»

Mikey sort sa langue et lèche l'intérieur de l'une de mes mains. J'enlève brusquement mes mains et manque de tomber. Mikey me rattrape par le bras avec un léger sourire en coin.

Tout le monde regarde dans notre direction, mais ça ne m'empêche pas de parler à Mikey comme si je n'étais pas en cours.

«Takemichi : Aaaaah ! Mais fais pas ça !

Mikey : Mais c'est toi qui à mis ta main devant ma bouche. Croise les bras.

Takemichi : Oui, pour pas que tu finisse ta phrase.

Mikey : T'aime pas que je dises que t'es mi-»

Le prof tape sa grande règle en bois sur le tableau, me faisant sursauter.

«Prof : TAKEMICHI ! Ne perturbe pas mon cours !»

Je regarde le prof un peu énervé. Mikey balance toutes les affaires dans mon sac et me tire par le bras pour sortir de la classe sous le regard et les chuchotements de tout le monde.

Une fois dans le couloir Mikey lâche mon sac et soupire.

«Takemichi : .. Qu'es ce qu'il y a ?»

Mikey me regarde puis souris.

«Mikey : Oh t'inquiète c'est rien, j'aime juste pas comment ce prof t'as parler. En plus j'ai envie d'être avec toi, c'est trop long d'attendre.»

Je ricane un peu puis je souris.

«Takemichi : D'accord.»

Je ferme mon sac et le mets sur mon dos. Mikey attrape ma main et nous nous dirigeons vers la sortie de mon collègue.

Devant le portail, nous allons en direction d'une supérette.

«Mikey : T'as faim Takemichou ?

Takemichi : Pas spécialement, tu vas pas me faire acheter quelque chose quand même ?

Mikey : Non cette fais j'ai de l'argent ! Sourire fière.

Takemichi : Sérieux ? Tu fais des progrès Mikey !

Mikey : Sois pas aussi optimiste, j'ai pris de l'argent à Izana et Shinichiro.»

Je soupire puis lâche un petit rire. Il est pas possible celui là.

«Takemichi : Je me disais aussi que c'était trop beau pour être vrai.»

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À suivre...