Chapitre 50 : Bienvenue

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Alors que je faisais le dernier carton de mon appartement, je sentais un mélange d'émotions me submerger. C'était difficile de dire au revoir à cet endroit où j'avais vécu tant de moments avec Brent, mais c'était aussi le début d'un nouveau chapitre de ma vie. Je n'ai pas envie d'oublier Brent, de l'effacer même s'il a fait des choses immorales. Chaque jour depuis, je retourne au lac d'acide pour voir si les policiers ont trouvé son corps. Ils ne l'ont pas encore trouvé pour l'instant, même pas un petit reste pour que je puisse l'enterrer dignement.

Je rangeais les souvenirs dans une boîte, essayant de ne pas me laisser submerger par la tristesse. Cet appartement était imprégné de tant de souvenirs, bons et mauvais, mais je savais qu'il était temps de tourner la page.

Pendant ce temps, la police fouillait l'appartement de Madame Garrett. Je la hais, elle est morte d'une balle dans la tête, je ne connais pas les détails, mais à mon avis, elle n'a pas assez souffert. J'espérais qu'ils trouveraient des indices qui pourraient aider à résoudre certaines des affaires non résolues de la ville.

Une fois que j'eus terminé de faire mes cartons, je descendis dans la rue, prête à tourner la clé de mon ancien appartement pour la dernière fois. C'était le moment des crises de larmes intenses, mais je savais que c'était nécessaire pour avancer.

Au bas de l'immeuble, une limousine noire attendait, et quand j'approchai, la vitre teintée descendit pour révéler le visage familier de Bruce, mon fiancé. Son regard était empreint de soutien et de compréhension alors qu'il me tendait la main pour m'aider à monter dans la voiture. J'adore sa galanterie d'un autre temps. Et son petit nez aussi.

— Comment te sens-tu ? demanda-t-il doucement, préoccupé.

C'est plutôt à lui que je devrais le demander, j'ai l'impression qu'il ne dort ni la nuit ni le jour, il prend trop de café et s'inquiète pour un rien. Il ne se rends pas compte que c'est le plus fragile de nous deux. Lui et sa manie de vouloir protéger les autres...

— Un peu triste, mais aussi soulagée, répondis-je honnêtement. C'est comme si je laissais derrière moi une partie de mon passé pour embrasser l'avenir.

Il resserra sa prise sur ma main, me procurant un sentiment de réconfort.

— Je suis là pour toi, Isabella. Toujours.

Je lui souris, reconnaissante de l'avoir à mes côtés dans ce moment difficile. Alors que la limousine se fondait dans la circulation, je me tournai vers l'avenir avec optimisme, prête à construire une nouvelle vie avec Bruce à mes côtés.

J'appuyais sur le bouton pour monter la vitre qui séparait le chauffeur de notre espace. Puis je plaquai Bruce contre le siège. J'ai toujours rêvé de faire ça dans une limousine.

— Où sont les préservatifs ?

— J'en garde toujours sous la banquette.

J'arrachai l'emballage de mes dents et lui mit le préservatif avant de glisser son pénis en moi. C'était impulsif, presque animal, indécent. Mais les vitres étaient teintées et le chauffeur devait être trop bien payé pour se plaindre. Je voulais Bruce, ardemment.

— Izzy, je t'en supplie... Soupira t-il alors que mes va et viens allaient en s'accélèrant.

Il se redressa, ses cheveux frottant le cuir du siège, et ses mains s'accrochant à ma taille. Il était rouge et la lueur dans ses yeux étaient lubriques. Sans demander son reste, alors que je gémissais de plus en plus fort, il me mordit le cou. Il ne cessa que jusqu'à ce qu'il atteigne la jouissance.

Je le sus d'un grand rale, ainsi que de la tape qu'il a donné à la vitre.

— Tu es venue si vite Bruce, est ce que je devrais te munir ?

Il adorait quand je le punissais.

— Oui.

Je m'assis sur lui pour qu'il me lèche, et sa langue effectua bien son travail. Elle se délecta de ma jouissance, et échauda mon clitoris. Il l'echauda tant que j'ai hurlé comme une folle. J'ai attrapé ses cheveux, et l'ai incité à continuer, à ne jamais s'arrêter sans que je lui ordonne de le faire.

— Izzy, rhabille toi, nous sommes arrivés.

J'en voulais encore mais effectivement, la limousine s'était arrêté. J'essayai d'être la plus propre possible mais ma chemise était toute froissé, et les boutons étaient si petits que c'était dur de les remettre. Mes cheveux étaient comme passés sous une tempête et je ne savais pas comment cacher les suçons de Bruce.

J'ai à peine eu le temps de fermer ma braguette qu'Alfred ouvrit la porte. Vu sa mine déconfite, nous étions de piètre acteur. Son regard rebondit entre nous et le chauffeur. Il n'eut pas besoin de plus que le visage vert du chauffeur pour comprendre ce qui c'était passé dans la voiture. Mais loin de nous réprimander, il sourit.

— Bienvenue au manoir Wayne, Isabella Adams.

FIN OMG 😱😱
Salut, j'espère que vous avez apprécié votre lecture ! Comme vous avez pu le constater, le livre n'est pas parfait et il sera évidemment retravaillé pendant la réécriture mais je ne compte pas la faire tout de suite.
Je voulais aussi vous annoncer que je suis actuellement en train le prequel. C'est techniquement le tome 2 de Dark Embrace, car il y a notamment des explications par rapport à Ophelia Garrett.

Pennyworth ! (Oui, Alfred est noir, j'aime me sentir représenté) Et oui, le prequel est centré sur la relation entre Alfred et Thomas, le père de Bruce

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Pennyworth ! (Oui, Alfred est noir, j'aime me sentir représenté) Et oui, le prequel est centré sur la relation entre Alfred et Thomas, le père de Bruce. Évidemment c'est une romance, et Ophelia y joue un grand rôle. Je suis actuellement en train de finir l'écriture, j'en suis un peu près au milieu. Voilà.

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