[He was.]

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La malédiction d'Ymir.

Connaissez-vous le contes nommé: La malédiction d'Ymir?

Evidement que non, alors laissez moi vous la raconter.

" Il fut un temps, dans un lointain village au fin fond des montagnes, vivait un couple d'amoureux : une jeune couturière et un simple bûcheron.

Leur amour était si pur et si intense qu'ils semblaient éclairer le monde autour d'eux de leur lumière bienveillante. Partout où ils allaient, ils semaient le bonheur et la joie.

Cependant, les dieux, dans leur jalousie, ne pouvaient supporter de voir un amour si fort et si pur entre deux mortels.
Parmi eux se trouvait un dieu nommé Ymir, qui fut épris de la beauté de la couturière. Malgré ses refus répétés, Ymir persista dans ses avances, se glissant dans les ombres pour observer la jeune femme.

Le bûcheron, confiant en la fidélité de sa bien-aimée, ne se doutait de rien. Mais les dieux sont rusés, et pendant son sommeil, Ymir pénétra dans sa demeure et lui souffla trois malédictions : le doute, la méfiance et la jalousie.

Le lendemain matin, le bûcheron se réveilla, tourmenté par ces nouveaux sentiments qui le rongeaient de l'intérieur. Il surprit Ymir en train de converser avec sa femme, et les sous-entendus du dieu semèrent les graines du soupçon dans son esprit.

De disputes en disputes, le doute et la méfiance envahirent l'esprit du bûcheron. Il accusa sa femme de trahison, aveuglé par la jalousie. Bien que la jeune couturière jurât son innocence, les mots de Ymir semaient le trouble dans son esprit.

Un jour, consumé par la jalousie, le bûcheron décida de mettre fin à la vie de sa femme. Convaincu que si elle ne pouvait lui appartenir, elle n'appartiendrait à personne d'autre. Après avoir commis cet acte irréparable, il sombra dans la folie.

Ymir, satisfait de sa vengeance, emporta l'âme de la jeune femme dans les cieux, la condamnant à rester à ses côtés pour l'éternité, emprisonnée dans une cage d'or. Ainsi, même après la mort, leur tragique histoire continua de hanter les cieux et la terre. "




Sachez mesdames que le doute est le pire des tourments. Parce qu'une fois que la graine du doute est germée elle s'insinue dans chaque recoin de l'esprit au point de déchirer même les cœurs les plus unis.

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Assise sur le bureau de Liam, je détourne le regard face à lui qui se tient entre mes jambes les mains posés de chaque côtés de mes hanches..

Comment est-ce qu'on en est arriver là? C'est à lui qu'il faut demander ça pas à moi.

—Laisse moi descendre !