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« Le récompense du Tyrant... »

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Je viens de terminer mon service

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Je viens de terminer mon service.


Je suis épuisé tant mentalement que physiquement, il est 01h00 du matin. Je finissais à minuit mais j'ai demandé à James si je pouvais rester plus tard.






J'ai pas réussi à bosser correctement. Pourquoi?


Parce que Liam à décide d'attendre à l'intérieur, sauf qu'on parle d'un célèbre millionnaires. Vous vous doutez bien qu'il n'est pas passer inaperçue et que littéralement tout le monde lui à demandé des photos et à tenter d'aller l'accoster.


Enfin il à dû sortir de restaurant.

Et je doute qu'il ai pu attendre jusqu'à 1h00 du matin, surtout qu'en ce moment il pleut de dingue.


Je ferme lentement la porte de mon casier et pousse un soupire en sortant des vestiaires. Je croise Tara et James enfin non, les deux m'attendaient littéralement devant les vestiaires.


Je sursaute légèrement en les voyant tout les deux les bras croisés en face de moi.


— On peut savoir ce que tu fais encore ici? me demande Tara un sourire taquin



— Euh...bah...je rentres chez moi? leur dis-je en riant



Ces deux là c'est vraiment des fouines.


— Pourquoi t'as demandé à rester plus tard alors que t'étais déjà épuisé? C'est à cause du fameux Zeus? me dit James en souriant






Je rigole légèrement à la fin de la phrase de James puis il reprend





— Hé, ça va aller, me dit-il doucement, son sourire se faisant plus tendre. Si tu veux, je peux rester à proximité pendant que tu lui parles. Je ne te laisserai pas affronter ça seule, on sait jamais si c'est un psychopathe.






Je lui adresse un sourire reconnaissant, même si ça ne calme en rien la tempête dans ma tête.





— Merci, James, mais ça va aller je pense, dis-je en prenant une profonde inspiration, et puis vue l'heure je pense pas qu'il ai eu la fois d'attendre.





— Ne sois pas trop sûre de toi, me répond Tara en haussant un sourcil. Mais bon, si tu veux gérer ça seule, je comprends. Bonne chance, Aïra !






Je sors du restaurant, l'air frais et humide m'enveloppant immédiatement. La pluie, fine mais persistante, tambourine sur le trottoir, transformant les lumières des réverbères en flots tremblants et flous. Je resserre ma veste autour de moi, le froid se glissant sous mes vêtements.






[He was.]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant