Rien n'était prévu-plk

Chapitre 48

Les jours passèrent dans une sérénité presque irréelle. Athenaïs s'épanouissait sous le soleil espagnol, ses rires résonnaient dans la maison et sur les plages. Chaque matin, elle se réveillait avec un sourire éclatant, ses terreurs nocturnes semblant appartenir à un passé lointain.

Un après-midi, alors que Loane et moi profitions de la piscine de la maison, Hugo et Moctar jouaient au ballon avec Athenaïs dans le jardin. Les éclats de rire de notre fille et des garçons résonnaient joyeusement. Loane me regarda avec un sourire satisfait.

-Loane- Tu te rends compte de la chance qu'on a ?

Je hochai la tête, profitant de cette parenthèse enchantée. Tout semblait parfait, presque trop parfait.

Alors que nous étions sortis pour dîner dans un petit restaurant de bord de mer. Athenaïs était assise à côté de moi, jouant avec une serviette en papier, zeu pris la parole.

-Rayan- je crois que je vais venir vivre ici

Nous tournons tous notre tête dans sa direction. Il est vrai que Rayan a toujours aimer la tranquillité. Il a même fini par se cagouler quand il s'est lancé en solo.

-Sérieux ? Pourquoi ça ?

Il ne répondit pas, mais son expression me convainquit qu'il était sérieux. Moctar se refermer, il allait être éloigner de son pote. Ils avaient former un duo, OZ, alors ça va être plus compliqué pour eux.

-Rayan- La France me les brise, et puis je sais qu'ici je serais jamais reconnu. Fin je pense pas, l'anonymat est parfait ici. Après ce n'est pas sûr mais je vais y réfléchir.

Moctar rester sans voix face à l'annonce de son pote. Loane aussi d'ailleurs.

-Hugo - Écoute mec, si c'est ce que tu préfères fais le.

Loane pris la parole.

-Loane- et puis ça sera une raison pour qu'on vienne ici en vacances...

Nous rigolons face à ce qu'elle venait de nous dire. Mais elle n'a pas tord.

Nous passons une soirée de plus dans la bonne humeur. Athenaïs faisait des conneries accompagnées de ses oncles.

-moctar- tu fais dodo avec qui cette nuit princesse ?

-Athenaïs- Tonton !

-Lequel ?

Elle se mit à pointer du doigts tout les gars. Nous rigolons face à son geste mais elle fini par désigner zeu. Qui d'ailleurs la réceptionner quand elle quitter sa place pour allez le voir.

Alors que le dessert arriva, je sentis quelque chose me caressait la jambe. Je n'avais même pas besoin de chercher ce qu'il se passait, Loane en était à l'origine. Je tentais de rester de marbre face à son geste. Mais lorsque je sentis son pied trouver place entre ma peau et mon short, je recula son pied.

Un peu de respect pour mes gars, ils méritent pas de me voir à table avec la barre. Je lançais un simple regard noir à Loane, qui, elle me regardait avec un grand sourire.

-Rayan- Vous êtes relou à être amoureux comme ça.

-Hugo- wesh polak ta meuf elle te regarde avec amour et toi tu la fusille du regard.

Je lâchais le regard de ma copine pour me tourner vers les garçons. Mon regard descendis sur le torse de zeu ou j'y voyais ma fille déjà dans un sommeil profond.

-Parce qu'elle me fais du pied.

Loane rougissait quand les garçons tournèrent leurs regards vers elle.

-Moctar- ah ouais t'es comme ça loane !

-Loane- c'est même pas vrai je lui ai juste donner un coup sans faire attention.

Les garçons rigolent en la voyant rougir de plus en plus. Moi aussi d'ailleurs. On entama nos desserts mais Loane était restais silencieuse et dans son coin pendant le reste du repas. Surveillant avec tendresse notre fille dormir sur le torse de son oncle.

On rentra tranquillement à pied, l'air était chaud et les rues, elles, étaient calme. Notre location se trouver à cinq mètres a peine de notre restaurant du soir. Zeu tenait toujours ma fille dans ses bras. Mon bras lui était autour des hanches de ma copine, qui était toujours aussi silencieuse.

Je l'a rapproche encore plus de moi afin de lui embrasser la tempe. Ses bras se resserres autour de ma taille quand nous arrivons devant notre porte d'entrée. Tout le monde montait dans sa chambre pendant que nous nous rejoignons là notre qui était là seule en bas. Les garçons nous l'avait laisser puisque c'était la plus spacieuse et donc le lit parapluie de notre fille y rentrer sans gêner le passage.

Je me déshabilla pour simplement rester en caleçon et appuya sur le bouton de la télécommande pour fermer les volets. Loane partie se changer et se démaquiller sans la salle de bain.

Alors que je commençais à m'endormir, le lit s'affaissa a la place de loane et sa main glissa le long de mon torse pour arriver au niveau de mon caleçon. Mes yeux s'ouvrît si rapidement que loane sursauta. Elle me regardait avec un sacré sourire. Celui qui me faisait encore plus tomber amoureux d'elle. Tout me faisait tomber en réalité.

Je prenais sa taille pour la faire basculer sur mon bassin. Ses mains trouver leurs places sur mon torse, quand aux miennes, elles se plaçaient sur ses cuisses.

-Dites - moi madame, que voulez vous ?

-Loane- rien rien ou peut être un peu d'amour ?

-Ta pas assez d'amour à longueur de journée ?

-Loane- j'en ai assez la journée, mais là tu vois c'est le soir...

Mes mains caressaient ses cuisses et nos yeux s'aimantaient rapidement. Et ses lèvres rejoignaient les miennes quand elle se pencha vers moi. Cette douceur me perdait trop rapidement. Ça change des moments sauvages que je passais avec mes conquêtes de boîte. Et c'est sûrement pour ça qu'elle m'a fait tomber. C'est la douceur incarnée cette fille. Un jour mes potes rencontreront la même personne et ce sera fini pour eux.

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Luv u
CDM