36. Le choc

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ELINA

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ELINA

Après une bonne parenthèse revigorante dans la ville italienne, Maxime et moi sommes de retour dans la grisaille parisienne.

— L'un de tes amis vient nous chercher ou on prend un taxi ? me demande mon petit-ami.
— Taxi. Romain et Bastien bossent.

Nos bagages récupérés et une pause effectuée pour boire un verre, je prends enfin le temps de rallumer mon téléphone que j'avais éteint pendant le vol. Maxime fait de même, le sien sonne plusieurs fois, comme s'il avait plusieurs notifications. Le mien, comme il est en silencieux, s'allume à intervalle régulier. Mais aucun de nous deux ne prend le temps de regarder, profitant simplement de ce moment ensemble, nos doigts emmêlés.

— On y va ? propose-t-il. Je t'avoue que je suis claqué et avec les bouchons qu'on va se taper sur le périph', on est pas encore rentré.

J'acquiesce alors qu'il hèle un taxi. Il est déjà presque 19h, j'ai hâte de retrouver ma chienne que Bastien a déposé chez moi dans la journée, j'espère qu'elle n'a pas fait ses besoins partout. Il n'est pas rare qu'elle le fasse quand elle est toute seule.

— Tu veux rentrer directement chez toi ? m'interroge Maxime.
— Oui... Il faut que j'aille m'occuper de Duchesse. Ça ne te dérange pas ?
— Non, pas du tout.

Le taxi arrive, je lui donne mon adresse puisque c'est le plus simple, puis nous entrons dans la voiture. Si tout va bien, nous serons chez moi dans un peu plus d'une demi-heure, mais connaissant la circulation parisienne, on y sera plutôt dans une heure.

— Merci encore pour cette idée de vacances, ça m'a fait du bien, me remercie-t-il.
— Merci à toi d'avoir accepté et d'avoir choisi cette destination, j'ai vraiment beaucoup aimé la ville. Très reposante.
— Ouais, je pensais pas que ça allait me plaire autant.

Exténuée par le vol qui n'était pourtant pas bien long, mais surtout pas ces vacances où nous n'avons fait que visiter et profiter, je m'endors bien vite tout contre l'épaule de Maxime.
Je me réveille au moment où la voiture s'arrête, je reconnais tout de suite mon immeuble. Je remercie le chauffeur, paie la course puis Maxime et moi sortons du taxi en n'oubliant pas  nos bagages.

Entre nos lignesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant