First Vow

Chapitre 17

Attention : Spicy chapter. 🔥
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PDV Mael.

Les douces lèvres de Sacha se meuvent contre les miennes. Je la porte, ses jambes enroulées autour de ma taille, jusqu’à la chambre. Parce que non, nous n’allons pas faire notre première fois sur le parquet de mon appartement. Ça, c’est réservé pour une autre fois.
Je la laisse tomber sur le lit. Elle laisse échapper un petit cris de surprise qui m’excite davantage. Elle se déshabille, se dévoilant nue devant moi. Elle s’expose telle la plus belle des mannequins. J'aime le fait qu'elle soit à l’aise avec son corps, qu’elle ne me cache rien.

— Tu es si belle... murmurai-je à son oreille. Je le lui répète à chaque baiser que je lui fais sur son corps. De son front, son oreille, sa joue, ses lèvres, à sa clavicule. Je passe par ses seins, que je suce activement.

— Oh ! Mael !

– Tu aimes ça ? Je lui demande en lâchant son mamelon.

Elle lâche un petit cri quand je lui mordille, ce qui répond à ma question. Mon sourire s’agrandit la voyant là, nue sous moi. Elle se fit soudain joueuse. Elle pose sa main sur la bosse proéminente dans mon pantalon. Je grogne à son contact.

— Putain, Sacha...

Elle commence à me caresser au dessus de mon vêtement. Oh merde.

— Retire tes vêtements aussi... Je veux te voir en entier. Me dit-elle sensuellement.

Je ne me fis pas prier et me releva pour m’exposer face à ses yeux scrutateurs. Elle étudie chaque partie de mon corps. De mon torses à mes abdos. Continuant plus bas encore là où s’expose ma virilité dressée pour elle, n’attendant qu’à être en elle.

— Viens, Mael. En moi, maintenant. M’ordonne-t-elle.

Je lâchais un ricanement qui la contraria.

— Quoi ? C'est drôle ?

— Non... Je me disais juste que tu n’es pas simplement une cheffe ou une chevalière. Non, tu es une putain de reine. Et je vais te le faire comprendre comme il se doit.

Je lui saisis les hanches et enfouie ma tête vers sa féminité.

— Oh ! Mon dieu ! S’écria-t-elle quand je commençais à la sucer.

Je continuais, jusqu’à ce qu’elle eu un premier orgasme. Elle peinait à reprendre sa respiration. Qu’est-ce qu’elle est belle. Je le lui dit. Ses joues sont rougis. Je me préparai devant son entrée, prêt à m’enfouir en elle.

— Tu es sûr de ce que tu veux ? Parce que, là, si tu ne m’arrête pas Sacha, on va baiser, on va faire l’amour ou tout ce que tu veux.

Parce que même si je suis un être froid, sans âme et impitoyable, vivant dans l’illégalité, depuis que je suis revenue vers elle, mon humanité se reforme. Pour elle, je suis prêt à tout. Et elle ne mérite que de l’amour.

— Mael... Viens tout de suite !

J’ai l’impression que mon cœur bondit hors de ma poitrine quand je m’enfonce avec délicatesse en elle. Nous gémissons à l’unisson. Nous voilà enfin liés, sans rien pour nous séparer. Enfin.

— Continue Mael ! Plus vite ! M’ordonne ma petite cheffe.

J’obéis, car elle est la seule maîtresse de mon cœur, de mon âme, et ce depuis des années. Et je sais qu’au fond d’elle, elle sait aussi bien que moi qu’elle m’appartient depuis toujours, tout comme je lui ai appartenu la première fois que nos regards se sont croisés.
Mes vas et viens se font plus pressés, Nos halètements plus forts. J’embrasse le creu de son cou, lui faisant une légère marque. Mienne. Je lui murmure à l’oreille à quel point elle est magnifique, à quel point elle est merveilleuse. Cela semble la stimulé car elle gémis de plus belle.