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Je démarre le moteur direction
---------------------->. Je sais pas où .
Sur le chemin il m'indiquait des directions mais c'était pas facile de conduire une voiture qu'on n'a pas l'habitude de conduire et encore plus quand on vous donne des indications de directions en plein nuit, avec un mec à moitié évanouie, bref je sais pas dans quel merdier je me trouve actuellement mais c'est un beau merdier.

- Moi : Freine , on est arrivés .
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On arrive devant une assez grande maison, une maison de ville quoi.    

Divine : C'est ici ? Lui demandais - je un pour être sûre

Il ne me répond pas .
Bah ça , c'est ça qu'on appelle un vent !
Il agit comme si je lui ai pas sauvé la vie cette idiot.

Lui : Aide moi à descendre s'il te plaît.

Je descends pour ouvrir sa portière, et je l'aide à descendre.
Je marche vraiment doucement avec lui, il me tient toujours.
On arrive devant la porte d'entrée , il sonne plusieurs fois mais personne ne réponds.... vu l'heure aussi .
Il souffle avant de prendre son téléphone, il appelle.

- Lui : Ouai , vas-y descends , vient m'ouvrir .

La discussion a été bref .
Une minute plus tard je vois un gars torse nue et en short devant la porte. . J'était un peu gênée .

Le mec qui venait d'arriver était choqué, ça se voit qu'il avait été coupé dans son sommeil et qu'il ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Il allait parlait mais le gas du magasin le coupa.

- Lui :Montre lui la boîte de secours dans la salle de bain. Je t'explique tout plus tard .
Dit t'il sur un ton de voix assez faible.

Il va mal, j'ai pitié de lui quand même, qui aime voir les humains souffrir en vrai.

Son ami se contenta d'acquiescer de la tête.
Il avança et je le suivis.
On monte les escaliers, on arrive vers une belle salle de bain.
Il me sors la boîte de secours.

- Le gas : C'est quoi ton nom ? Me demanda - t'il simplement.

- Divine : Euh euh ... Divine . Lui répondis - je en bégayant un peu , j'étais gênée les gas , je le connais pas moi.

-Le gas : Ok Divine la trousse de secours elle est là , prépares toi , mets des gants parce que je pense que tu vas le soigner .
Me dit- il après m'avoir légèrement souris, un sourire rassurant d'ailleurs, en mode, t'inquiète ca va aller.

- Divine : Ok .

Je lui ai rendu son sourire , mais en vrai qu'est ce que je viens d'accepter là ?

Trente minutes plus tard .

Ça faisait trente minutes que j'attendais et je commençais à être fatigué, tellement fatiguée que je m'étais endormie sur une des chaise de la salle de bain.

J'ai pensé à ma mère, et j'ai vite saisi mon téléphone dans mon sac.
Je vois soixante appels manqués ! What???!!
Camilla, sa mère et ma mère m'avait appelé.
Je me décide de rappeler ma mère en urgence, elle va tellement me tuer.

- Divine : Allo ?

- Ma mère : YO NIAMA NA YO ZOBA , NA ZO BENGA YO OZO RÉPONDRE NGA TE ! OZA WAPI HEIN ? NA BOUTO BOYE O KE WAPI NZABE NGAI MWANA OYO NA KO BOMAYE !!!
( NIAMA - Bête - Imbécile sa se traduit difficilement . Je t'appelle tu réponds pas ? ! Tu es où ? La nuit comme ça tu va où ? Mon dieu cette enfant je vais la tuer."

DIVINE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant