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Yemma : T'étais où ?

Je commence à paniquer sah, elle à l'air super énervée.

Moi : Heu.. chez Sofia
Yemma : Ah pacque tu ment maintenant ? T'était pas chez Sofia, elle à appelez ici pacque tu répondait pas à ton portable, et elle m'a demandez ou t'étais alors ne fait genre t'étais chez elle.

Je soupire, ça ne sert plus à rien de mentir, elle me connais par cœur t'façon.

Yemma : T'étais avec lui hein ?
Moi : Oui
Yemma : Donc tu m'a désobéis ?
Moi : J'aurais pas eu à le faire si t'aurait été un peu compréhensive
Yemma : Compréhensive de quoi ? Mais qu'est-ce tu raconte ?
Moi : Yemma, je t'en supplie, apprends juste à le connaître, c'est un homme bon, pieux et respectueux, j'ten supplie je te demande juste de le rencontrer, juste ça et ensuite si tu me dit que t'en veut toujours pas je l'accepterais wallah.

Elle me regarde choquée. Je suis folle enfaîte, sérieux, qui parle comme ça à sa mère ?

Yemma : Nehl Sheitan, t'es possédée, mais il t'a fait quoi starfAllah.
Moi : Yemma...
Yemma : Moi, j'peux pas t'empêcher de sortir, t'es plus une gamine. Siham je peux mais pas toi. C'est fini t'as compris ? Hicham, le fils à Layla, il va v'nir te khtob et cette fois je te laisse plus le choix, à toi de voir si tu continuer avec le kehlouche.

Sur ces mots elle s'en va, j'avoue ne pas avoir réagit tout de suite, jusqu'à ce que l'info remonte dans ma tête « Hicham, le fils à Layla, il va v'nir te khtob et cette fois je te laisse plus le choix ». Attends, c'est une blague ? Prenez moi pour une folle, une skizo ou tout ce que vous voulez mais j'ai exploser de rire, mais genre je me tenais le ventre tellement je rigolais, enfaîte je croit qu'il s'agit des hormones {oui, c'est souvent de la fautes des hormones avec moi}.

Je reprends petit à petit mes esprit et la je m'effondre, je ne pleure pas, je me contente de fixer un point en me laisser glisser contre mon mur. Ma mère, me faire ça ? Ça me paraissait impossible. Je me dit que c'est une blague, que dans pas longtemps je vais me réveiller en sursaut, mais au fond de moi je sais que c'est vrai je sais plus quoi faire là, l'étau se resserre autour de moi et je ne suis pas sur qu'il y est énormément d'issus possible. Je me sens super mal, j'ai une boule qui me compresse le cœur, j'ai l'impression que ma vie est finis. En parler à Souleymane, c'est impossible. Il est du genre impulsif en ce moment j'ai peur de sa réaction. Sofia, oui, il faut que je lui parle, elle sauras trouver une solution... je l'espère.

Sofia : Sarah ?
Moi : J'suis désespérer Sofia, j'ten supplie aides moi
Sofia : Qu'est-ce que t'as ? Tu me fait flipper là.

Je lui explique la situation. Je lui fait part de mes sentiments, Ya Rabbi, je t'en supplie vient moi en aide. Elle réfléchit quelques temps et finis par répondre.

Sofia : J'suis désolé Sarah, mais j'imagine vraiment pas ta mère faire ce genre de chose.
Moi : Elle avait l'air très sérieuse, j'suis désespérer je sais plus quoi faire. Il m'a présentée à sa mère zeubi, je me vois pas avec un autre mec wallah je préfère mourir que d'envisager ça.
Sofia : Nehl Sheitan, dit pas des trucs comme ça, putain, t'sais quoi j'arrive chez toi tu m'inspire pas confiance là.
Moi : Te dérange pas So', t'inquiète je vais bien
Sofia : Lala, j'arrive.

Sah, j'étais au fond du gouffre, c'est pas possible, je parait grave excessive là, mais à cette époque c'est comme ça que je me sentais, j'étais vraiment pas bien. Je me couche sur mon lit et je m'effondre en sanglots, je me sens faible, je sais pas ce qu'il m'arrive. Quelqu'un entre quelques temps après, je suppose que c'est Sofia, je l'a sens qui s'assoie sur mon lit et qui me caresse le dos.

Ils me traitent de beurette a Khel, pourtant on a tous fait dans le hlel.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant