Coach des One direction ( tome 2 )

Chapitre 31

Dans le chapitre précédent :

Je me souvient juste d'être allé ensuite a l'hôpital et d'avoir crié sur tout le personnelle. J'ai aussi crié contre les garçon, Coline et Mady je crois mais je n'en suis pas sûre. Mais après j'ai vue le noir ça j'en suis sûre.

Bonne lecture ! ;)

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Ma tête me fait atrocement mal. J'ai l'impression qu'on a voulu la casser avec un marteau.

La dernière fois que j'ai eu cette douleur c'était le jour de mon dix-huitième anniversaire. J'avais tellement bu que je m'étais retrouvé avec mes potes dans une voiture en caleçon devant Buckingham palace.

J'ouvre doucement les yeux. J'avais une machine à côté de moi qui contenait un liquide bizarre et avec une perfusion qui part de mon bras.

Je me frotte les yeux et m'étire lentement. Je me redresse et la je sursaute. Elle est là en tenu d'hôpital le regard vide à me regarder sur la chaise en face de mon lit. Je la regarde à mon tour dans les yeux. Elle ne détourne pas le regard et elle ne parle pas. Elle me fixe comme si elle devinait à quoi je pense.

Moi : salut. Dis je avec un sourire

Elle me regarde et ne me répond pas. Elle continue de me regarder fixement.

Moi : ça va ?

Cette fois elle détourne le regarde pour regarder la poche à côté de moi.

Clémence : c'est plutôt à toi qu'il faut demander ça. Dit elle en montrant la perfusion pleine.

Je ne comprenais pas. Je fronce les sourcils pour montrer mon ignorance.

Clémence : c'est l'alcool qu'on n'a retiré de ton sang.

Putain !! Et j'ai pas eu d'accident de voiture avec ça ? Il y a un bon Dieu qui veille sur moi c'est sûre.

Elle ramène ses jambes contre sa poitrine. Elle avait les cheveux gras, des cernes et la peau blanche. Mais malgré ça je la trouve belle.

Clémence : tu es comme moi. Sauf que toi tu n'a pas de souvenir de hier soir moi c'est ma vie dont je n'ai pas de souvenir.

Je sais pas se qui me retient de lui dire que je suis son mari et que je suis le père de son fils. Je pense que c'est la peur qu'elle tombe en dépression.

Clémence : tu a vraiment un enfant magnifique.

Je la regarde surpris. Elle parle de Gabriel ?

Moi : de quoi parle-tu ?
Clémence : de ton fils. Gabriel je crois. Les médecins m'ont emmené le voir pour voir si je me souvenais de quelque chose mais je ne me suis rappelé de rien.

Je cache mes larmes. Elle a vue son fils mais rien ne lui reviens. Comment je vais faire pour lui faire retrouver la mémoire ?

Moi : merci. On dit qu'il ressemble à sa mère.

Elle se dirige vers la fenêtre. Je la suit des yeux. Je regarde ses fesses vraiment magnifique. Elle a une démarche légère comme si elle marché sur des nuages.

Clémence : alors sa mère devait être une personne magnifique.
Moi : oui elle était. C'était la femme de ma vie et je suis très mal depuis qu'elle est parti.

Elle tourne la tête mais ne me regarde pas pour autant.

Clémence : je suis désolé.
Moi : tu n'y es pour rien. C'est la faute de Eleanor...

Elle se tourne vers moi avec les yeux plissés et braqués sur moi.

Clémence : Eleanor ?
Moi : oui. Tu te souvient d'elle ? Dis-je avec tellement d'espérance dans ma voix.
Clémence : je crois... C'est ta petite amie ?

Elle se souvient de ça ! Ho mon dieu !

Moi : non c'est mon ex petite amie c'est à cause d'elle que tu... Enfin que ma femme n'est plus la.

Clémence fronce les yeux encore comme si elle se rappelé de quelque chose. Si seulement elle pouvait se rappeler juste d'une chose ! n'importe quoi qui puisse causer un choc pour qu'elle se rappelle ! Mon dieu s'il vous plaît !

Elle vient se rassoir en face de moi sur la chaise mais cette fois elle prend un ton grave et baisse la tête.

Clémence : j'ai entendu des choses sur moi.
Moi : comme quoi ?
Clémence : c'est vrai que je suis une sportive mondialement connu ?
Moi : oui l'un des plus grandes légendes du sport.
Clémence : et ma famille ?
Moi : tu n'a plus que ton frère. Tu t'es disputé avec ta sœur et tes parents.
Clémence : pourquoi ?
Moi : tu ne nous l'a jamais dit.

C'est vrai ça. Elle ne m'a jamais vraiment parlé de ses parents. C'est quand on a plus rien qu'on comprend enfin la valeur des choses.

A se moment, Niall entre suivie de Liam tous souriant.

Niall : et bien mec ! T'a bu hier soir non ?
Liam : arrête Niall c'est pas drôle ça aurait pût être plus grave ! Imagine il avait eu un accident !
Moi : mais non regardez je suis la. En un seul morceau et je vais bien.

Point de vue de Clémence

Je les écoutais parler sans intervenir. Dire que c'était mes amis, que si rien n'avait changé je serais peut être entrain de rigoler avec eux.

Une infirmière entre dans la chambre. Elle me regarde et prononce des mots que je n'écoute pas. Ils ont tous le regarde fixe vers moi comme si c'était à mon tour de parler.

Finalement je sors de mes pensés et j'écoute se que la dame en blanc a à me dire.

Infirmière : venez avec moi. Nous devons passer un scanner et après vous irez dans votre chambre pour vous reposer.

Je la suit mais en même temps je veux rester avec eux. Surtout avec... Louis je crois que c'est son nom. Quelque chose me lie à lui c'est l'une des premières personne que j'ai vue à mon réveille et l'une des personnes les plus présente.

Je ne sais plus quoi penser. Je suis perdu. Se sentiment d'être seul me rend triste car j'ai l'impression de passer à côté de chose essentiel de ma vie.

Je pose beaucoup de question pourtant depuis mon arrivée mais, les seules informations que j'ai pu recueillir c'est mon nom, mon prénom et mon travaille. Qu'est ce que vous voulez que je fasse avec ça ?

Je suis devenu comme les enfants innocents qui ne savent rien de la vie et qui compte sur leurs parents. C'est ça je suis un enfant sauf que moi je suis un enfant sans parents à se que j'ai entendu dire.

Tellement de chose se brouille dans ma tête...

Je fini le scanner et je retourne dans ma chambre. Seule comme toujours.

EXCUSEZ MOI POUR SE RETARD ! Je suis vraiment désolé désolé désolé mais si vous saviez tout se qu'il s'est passé en 1 mois et demi c'est hallucinant ! Bref désolé pour se chapitre vraiment nul tout ça pour ça enfin voila. Je vous aime ! Kissssss you !