Chronique de Oum : Quand mon bonheur part, ma fierté s'envole.

Je t'en supplie ne me fais pas souffrir.

Bissmillah.

Je vous pas quelque jours. Je n'avais pas vu Samir depuis presque 1semaine. Il m'avait juste envoyer un message disant qu'il ne sais pas quand il rentrerait. Moi je passais mes journée avec Cecilia ou mes soeurs ou parfois Soraya ou bien les soeurs de la mosquée.

Younes, je ne lui avait pas reparler depuis. Mais je pensais toujours a sa proposition. C'est vrai qu'il avait raison ,mais j'etais comme bloquer quelque chose m'empecher de traverser la cette ligne qui me separe de cette souffrance pour me donner le droit a une liberté, a une vie heureuse avec de la joie et des sourires.

J'etais chez moi, je regarder les photos de ma mere. J'avais eu un moment de nostalgie de besoin de voir son viage. A ce moment la j'etais faible. Je pleurée en regardant ces photos, je toucher les photos comme si je pouvais la toucher mais non .. Ce n'est que son visage imprimer sur du papier. Je pleurais tellement que les mes larmes tomber sur les photos, je voyais flou. J'entend la porte claquer mais je ne fait rien je reste a pleurer devant ces photos.

-Samir : Oum il t'arrive quoi ?

Je ne leve pas ma tete vers lui je la garde baissé. Je sens qu'il s'asseoit a coté de moi, puis il m'enlace par les epaules.

-Samir : Pourquoi tu pleures ?

-Moi : ..

-Samir : Je vais pas te manger tu sais.

Je ne lui dis rien et me degage de lui. Quamd il me toucher j'en avait des frissons des craintes, quand il poser ces mains sur moi je repensais a tout ce qui c'etait passé depuis mon mariage j'en tremblais.

-Samir : Je vais rien te faire je veux juste savoir.

-Moi : Il n'y a rien a savoir Samir laisse moi.

Je vais m'enfermer dans ma chambre. Je m'allonge, ce jour la j'avais un gros coup de blouze. Je n'avais envie de rien, je n'avais meme pas effectué mes prieres. J'allais mal et je me renfermer sur moi.

Le soir approcher et je n'etais toujours pas sortie de la chambre, je n'avais pas quitter mes photos. Samir toc a la porte et entre.

-Samir : Euh Oum je commence a avoir la faim tu ne veux pas faire a manger ?

-Moi : Va te chercher un grec ou fait toi des frites laisse moi.

-Samir : Je te parke gentillement alors arrete de me repondre froidement !

-Moi : Hm.

-Samir : Pff s'ayait la meuf juste parce que je suis revenue j'ai gacher t'es bails c'est sa tu devais voir quelqu'un hein sale p**e !

-Moi Dit ce que tu veux c'est ton probleme mais arrete de ,e traiter de ce que je ne suis pas ! J'assume tout ce que je suis mais pas que l'on me traite de ce que je ne suis pas ! Et encore moi un fille egarer !

-Samir : Ah pué ? Parce que tu crois que les filles droite, quand ellet mariées, elles parlent avec des gars ou sorte aux bar a chicha avec des mecs ?

-Moi : Tu va continuer de me parler de mon passé ? Je regrette ce que j'ai fais ce jour la ok ! Et je t'ai deja dit que notre sois-disant mariage etait inscrit sur les papier de la mairie, devant Allah nous sommes marié mais dans mon coeur rien du tout ! C'est comme si j'etais en colloc avec toi alors ne crois pas trop.

-Samir : Pfff j'en suis sur que tu mens tu me liffe comme une s***e. Mais ne m'en veut pas hein j'ai deja ma femme.

-Moi : Mais au contraire Samir je ne t'en veux vraiment pas. Et ne dis pas que je suis jalouse de cette fille denudé qui prefere aller donné son corps que son coeur. Je n'ai pas besoin d'hommes pour vivre, je n'ai pas besoin que l'on s'interesse a moi. Je n'ai pas besoin d'avoir les derniers fringue a la mode pour que l'on m'aime Samir, non je n'ai pas besoin de sa parce quel'on ma pas eduqué comme sa. Ma mere a toujours voulu m'eloigner le plus possible de cette Maniere d'etre elle m'a toujours dit : Ne sois pas comme les autres car aux final ce sont tous des moutons qui ce suivent les uns aux autres sans savoir qui ils sont réellement. Alors que toi tu dois etre toi meme demarquer ne pas les suivres et ne montrer que toi meme ne te met pas des masque et donne beaucoup de ton coeurs.
Tu vois Samir moi et elle sommes completement differentes.