Chronique de Oum : Quand mon bonheur part, ma fierté s'envole.

Je ne me laisserai plus marcher dessus

Bissmillah.
Je suis réveillée par ma sonnerie de mon portable. Je ne regarde même pas qui c'étais car mes yeux étaient encore fermer.

-Moi : Allo ?
-Samira : Tu te fou de ma gueule toi ? Tu fais quoi la je ne t'ai pas dit que tu dois venir tout les jours ? T'as intérêt a te poster dans 15min sinon sa va mal ce passer.

Elle raccroche et je me lève du lit mais très lentement car j'avais très très mal a la tête.

Je me dirige vers la salle de bain ou je prends une douche bien froide qui m'a réveillé il était au alentour de 19h, je rattrape mes prières.
Quand j'ai terminé je me dirige au salon et vois Samir qui me regarder d'un regard noir. Je ne le calcule pas et je mets mes chaussures quand il m'arrête et me prends par le bras et le serré très fort.

-lui : Tu compte aller où comme sa ? Ta cru que j'étais qui pour laisser sortir ma femme ?
-Moi : Je n'ai pas dis chacun sa vie en quoi sa te dérange si je sors ? Et déjà je vais voir Samira alors enlève tes mains sale de moi.
Il retire sa main et je fais exprès de nettoyer ma veste.
Je sors de l'appartement et il me suit je ne sais pas a quoi il jouait mais il m'énervait un peu. Je prends le bus car je n'avais pas pu récupérer ma voiture et j'arrive chez moi.

Quand j'ai franchit le seuil, Samira arrive en trombe sur moi et me prend par mon hijab et me jette sur le Sidari (fauteuil marocain)
-Samira : C'est maintenant que tu viens ? Tu as cru que la maison aller ce ranger toute seule peut-être ?
-Moi : Vous êtes là toi et tes filles. Excuse moi de te le dire mais ce n'est pas moi qui ais voulu organisé ce mariage alors je n'ai pas a ranger.

Elle ma donner une gifle, puis un coup de poing, elle enchainait les coups quand Ahmed la retient :

-Ahmed : C'est bon laisse la non ! Tu as cru qu'elle aller t'obéir si tu fais sa ?
-Samira : Laisse moi toi, je ne t'ai pas parlé elle mérite ce qu'elle mérite !

Ahmed la lâche et il sort. Je me lève, je saignais de la lèvre et commence a faire le ménage et a préparer a manger. Une fois terminée je les sers quand la porte sonne, je vais ouvrir et je vois Samir.

Il me lance un regard rempli de haine et rentre dans la maison. Il salut Samira et mon père et mange avec eux. Une fois terminer je débarrasse et fais la vaisselle et Moh entre dans la cuisine :

- Moh : Tu ne sers à rien toi !
-Moi : Si tu veux !
-Moh : Me répond pas tant que je ne t'ai pas autorisé.
-Moi : Mais attend t'es qui toi pour me dire sa ? Tu as cru que j'étais ta sœur mais détrompe toi tu n'est rien pour moi alors je ne suis pas la petite cendrillon qui fera tout pour vous d'accord ? Vous m'avez mariée alors laisser moi un peu tranquille ! Tfou espèce de p*.
Il me regarde noir et me fait une balayette. Je tombe au sol et commence a enchainé ces coups en criant. Il prend sa ceinture et me fouette avec.
J'avais mal c'était la 1er fois que l'on me frapper avec une ceinture.
Cette sensation de brulure quand le cuir touche ta peau cette sensation de coupure. Je n'avais jamais connu ça. Je ne voulais pas pleurer par signe de faiblesse mais mes yeux m'ont trahi. Je pleurais, je criais de douleur et personne ne réagissais face à moi.

Une fois m'avoir bien fait mal il me crache dessus et s'en va. Je me lève avec difficulté et je sors de la maison. Je sentais que je saignais mais peu m'importais. Je rentre dans ma voiture quand je sens qu'on toque à ma fenêtre. Je n'ai pas démarré je suis resté là à regarder Samir. Il monte coté passager et me prend violemment par le cou :
-Samir : Essaye juste de faire ta balance et tu va voir de quoi je suis capable. Suis moi avec ta voiture on rentre et n'essaye même pas de faire la folle.

Je le suis et une fois arrivé chez nous, il me cogne très fort la tête au mur.
Il me regarde d'un regard très sombre et qui faisait très peur.