Chronique de Oum : Quand mon bonheur part, ma fierté s'envole.

Je vais retrouver mon bonheur !

Bissmilah.

Je me suis levé, mais il m'a attrapé et m'a prise dans ses bras.

Rien qu'a ce contact j'ai encore plus pleuré. J'essayais de me dégager de ses bras mais en vain, il ne voulait pas me lâcher :

-Moi : Lâche moi Samir, lâche moi !

-Samir : Dit moi d'abord ce que tu as.

-Moi : J'ai rien là lâche moi !

-Samir : Non je ne te lâche pas. Je t'ai assez observer pour savoir que tu ne vas pas bien regarde tu ne mange plus.

-Moi : Attend tu te fou de moi là ? Le gars il a faillit me tué, en plus tu me laisse chez Samira et là tu dis me connaitre. Mais Samir si tu savais que tout ça sera de ta faute tu baisserai les yeux et tu t'excuserai !

Il ne m'a pas lâché, il m'a embrassé le front. Il respirer fort, mais ne disait rien.

J'entends des pas, je me dégage violement de lui qui d'ailleurs à fait de même en me poussant.
C'était Cynthia qui arrivait vers nous, elle était en colère.

Elle me gifle sans même savoir, j'avais toujours les larmes qui coulait :

-Cynthia : Pff t'es qu'une p**e ! Tu ne mérite pas Samir non tu ne le mérite pas du tout ! Il a raison quand il dit que t'es un poids et que tu devrais mourir !

En me disant ça elle m'a juste anéanti le cœur. Je pleurais de plus en plus je suffoquais. Tout me revenais en mémoire j'avais besoin d'être réconforter d'être respecter, d'être vu comme une femme et non comme un déchet ou autre, d'être aimer ! J'ai un cœur moi aussi !

-Moi : Pourquoi tu me dis ça ? Hein pourquoi tu me dis ça alors que tu aurais pu l'avoir ton Samir, tu aurais pu te marier Avec et éviter tous ça non?! Pourquoi tu as cherché compliquer en étant dans le haram en plus.

-Samir : Cynthia s'il te plait arrête.

-Cynthia : Ah bah en plus tu l'as défend, tu ne la supporter pas pourtant !

-Samir : Cynthia franchement tais toi parce que ça va pas le faire !

-Cynthia : Pfff tu vas le regretter !

Elle part. Samir me regarde intensément mais je n'avais pas la fort d'affronter son regard. J'ai baissé la tête, je ne voulais pas la baisser me rabaisser devant cette homme.

Je suis rentré, j'ai mis mon voile, une jellaba et je suis sortie de la maison.
Je suis allé chez Mamie bonbon, elle était encore réveiller.

Quand elle ma vu elle ma prise dans ses bras ça faisait un tel bien je me sentais aimé en étant dans ses bras.

Elle m'a vu en larmes pas bien, elle n'a pas cherché à comprendre le pourquoi du comment elle m'a chauffé du thé et on s'est assise devant la télé.

Quand j'ai commencé à me calmer elle s'est assise près de moi et m'a caressé la joue :

-Elle : Qu'est ce qui t'es arrivé ? Regarde toi comment tu es maigre, tu l'es plus que moi là. Et tes yeux olala !

--Moi : Trop de chose, trop de chose. Je n'arrive même pas à en parler ..

-Elle : réfléchit, attend je t'apporte des pates, tu vas bien manger te coucher et tu réfléchiras, on en reparle demain.

Elle m'a servit à manger, j'ai fait mes ablution, j'ai prié, et je suis aller me couché. Je n'ai même pas fermer l'œil que la scène avec Moh se reproduiser ...

Je pleurais, je ne faisais que ça. Je suis devenue une femme qui n'arrête pas de pleurer qui n'a plus rien, je n'ai plus de force plus de courage de continuer a me battre, je veux mettre fin a mes jours mais c'est impossible.