La patience...

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Bissmilillah.

Je voyais Virginie assez mal, alors je suis allée vers elle quand la porte c'est mis a sonner.

Elle est partie ouvrir est Samira entre dans la maison.

-Virginie : Bonjour, je peux faire quelque chose.

-Samira : Je viens d'apprendre la mort de votre maman, on était voisine.

-Virginie : Ce n'était pas Hinde qui habitait cette maison ?

-Samira : Si mais... Elle nous a elle aussi quitter et sa depuis déjà quelque années.


Elle pleurait, je ne pourrais vous dire si c'était de vrai larmes, mais ça sentais la comédie a plein dent. Jamais Samira n'avait mis les pieds chez Mamie bonbon. Elle disait que ce n'était qu'une ''gweria'' qui mange du porc etc..

Alors qu'elle ne savait pratiquement rien d'elle. Seul mon père de temps en temps, lui rendait visite et lui apporter un peu de nourriture.

Je m'avance vers eux et Samira me lance un regard noir.


-Samira : Matahcheum ? Tu viens ici alors que tu ne venait jamais ?

-Moi : Ah oui ? C'est moi qui ne venait jamais ? Samira écoute ce n'est vraiment pas le moment et encore moins l'endroit de ce battre ici !

-Samira : Toute mes condoléances !


Et elle part comme elle est venue. Virginie me regarde inquiète.

-Moi : Ce n'est pas le moment hein, il faut préparer l'enterrement etc. C'est demain ou après-demain ?

-Virginie : Après-demain, a l'église ***** tu viendras ? Ça ne te dérange pas que ce soit a l'église ?

-Moi : Oui je viendrais. Je ne vais pas priere de la même façon que vous ni autre mais je ferai acte de présence.


Je la serre dans mes bras et je rentre chez moi. Pendant tout le trajet je pleurer, toujours derrière ,es lunette de soleil. J'avais mis du Coran. J'avais l'impression que tout s'écrouler a nouveau pour moi que tout partais, que les êtres chers que j'aime disparaissait petit a petit me laissant seule.
Les personnes qui m'ecouter sans rien dire, me comprenait, savait trouvé les mots juste, eux étaient partis ...

Je me suis garé au parking en bas de mon immeubles, et j'essayer de me calmer. Je n'allais pas rentrer en pleure Samir penserai que c'est pour lui et m'énervera a coup sur. Je devait me ressaisir ne rien montrer.

Mais comment me ressaisir apres cette mauvaise nouvelle ? Apres ca ? Comment faire ?
J'essuie mes larmes et je sort de la voiture et je monte chez moi.

Samir etait assis dans le salon est joué a la play.
Des que je suis rentrée, il a mis pause et il c'est mis devant moi.

Je baisser la tete pour ne pas verser de larmes et pour ne pas le voir. Il enleve mes lunette et me leve la tete.

-Samir : T'etais ou ?

-Moi : ...

-Samir : T'etais ou ?

-Moi : ...

-Samir : Oum, derniere fois que je demande, tu etais ou ?

-Moi : Chez une dame pourquoi ?!

-Samir : Menteuse ! On ma dit que tu etais avec des hommes dans une maison toi toute seule et des hommes mais t'es serieuse la ?!

-Moi : Qui ta dis ca ?

-Samir : Ca ne te regarde pas ! Mais dis moi je ne te suffit pas pour que tu aille voir ailleurs pff t'es une vrai kehba en vrai tu merite, meme pas de vivre tfou !


Il me crache dessus et retour a sa play.
Je me suis essuyer, et je me suis mise devant la tele. J'etais enervé comme posedé c'en etait de trop pour moi il depasser vraiment les bornes.


-Moi : Alors ecoute moi bien. Entre toi et moi, il y a une grosse difference tu dis que je une kehba mais excuse moi, je ne coucha pas avec n'importe qui, je ne passe pas mes nuits je ne sais dans quel cave du quartier, alors que toi hein ?! C'est qui pour l'instant la kehba excuse moi t'es un homme mais ca ne change rien et puis tu n'es peut-etre qu'un homme physiquement mais alors pour ce qui est du mental et tout pff t'es un chien un s****d ! Un bouffon un ... ( Je l'ai insulté de tout ce qui me passer par la tete ).
C'est moi qui ne meriter pas de vivre ? Tu as raison, j'ai rien fait de bien dans toute ma vie! Non je ne proposer jamais mon aide aux personne agé en difficulté etc ! Non c'est vrai, je suis une tres tres mauvaise personne! Je suis dangeureuse mais toz !
Toujours t'es la tu me tapes pour rien hein tu parles alors que tu ne sais meme pas ce qui ce passe comme la par exemple, continue a ecouter les gens de dehors, quand il te dirons il faut te tuer parce qu'il a quelque chose tu le feras ? C'est bien continue !

Il ce leve d'un coup et me prend par le col. Il etait tres enervé, je savais qu'il aller me cogné mais tant pis une fois de plus sa va changer quoi maintenant ?


Il me jette sur le sidari.

-Samir : Je suis un zemel ? Moi je suis un zemel pour que toi la la petite fourmis, tu me traite de kehba. Mais tu ne tiens pas a ta vie ou quoi ? Tu as cru quoi la ?!

-Moi : Oui tu es un zemel et meme pire !

-Samir : En plus tu continue ? Tu veux quoi ? Que je te pete toutes t'es dents une par une c'est ca que tu veux ?

-Moi : Que tu me foute la paix c'est tout ce que je veux que tu degage de ma vie !

-Samir : Mdrrrrr laisse moi rire franchement ! Tu vois pas que tu me sers de femme de menage et tout ! Alors ru ferme bien ta bouche sinon je vais m'occuper de toi et cette fois ce n'est pas un allé dans ton lit pour quelque jours mais un allé a l'hopital pour quelque mois voir année !

-Moi : Et toi ca sera un allée en zonz pour quelque mois aussi.

Bim coup dans mon ventre. Je me suis plié de douleur. Il y avait mis toute sa force. Je me suis levé mais il ma redonner un coup dans le ventre, je suis retombé direct sur le sidari.

-Samir : Alors je suis une kehba ? Tu crois que ca tape comme ca hein ?

-Moi : Non la t'es un zemel de frapper une femme et surtout TA femme !

Une claque, coup de poing, sa partait de tout les sens, il crier sur moi je ne savais meme pas ce qu'il raconter tellement c'etait incompréhensible, mais aussi je ne l'ecouter plus, les coups m'assommer.

Il s'arrete enfin. J'etais incapable de bouger, et le sang couler de je ne sais ou sur mon corps.

-Samir : Leve toi la !

-Moi : ...

Il me prend violemment le bras et me leve mais je retombe aussitot. Il me porte et me depose sur mon lit.

Il repart, mais revient avec du désinfectant et des pansements.

Je n'avais pas compris son geste et pourquoi il faisait ca. Pourquoi me frapper puis ensuite me soigner alors qu'auparavent jamais il n'avait fait ca. Je ne comprenais pas son comportement avec moi alors je leve un bras pour lui faire comprendre, mais je n'avais plus de force.

J'essayer de comprendre mai deja que mon cerveau disjoncter a cause des coups et e plus je le faisait reflechir bah ca ma nettement epuisée et je me suis endormie.
Quand je me suis réveiller, j'avais un horrible mal de tete, mais je la douleur des coups etait encore plus forte que la nui precedente.

Je me tourne et je trouve a coté de moi Samir entrain de dormir. Mais quand je dis a coté c'etait vraiment collé a moi.

Je n'avais meme pas la force de me repoussé tellement j'avais mal et encore moins la force que prononcer un mot. Alors je les laissé et je me suis rendormie.

Cette fois si quand je me suis re-reveillé il n'etait plus dans mon lit.

Je me sis levé avec une tres grande difficulté mais vraiment enorme. Je sentais que a chaque pas mes muscles faisait une effort incroyable.

Je vais dans la cuisine et le trouve entrainde faire des ourfs, il galerer a les faires. Il ce retourne et me voit et fait de gros yeux.


-Samir : Tu fais quoi debout hein ?

-Moi : ...

-Samir : Wech parle je vais pas te manger tu sais !

-Moi : ...

-Samir : Pff bah vasi debrouille toi.

Il a pris son omelette si je peux vraiment appelé ca une omelette et il est allé dans le salon. Je l'ai suivis et je me suis assise. J'avais faim moi aussi.


-Moi : Samir ...

J'avais une toute petite voix un peu lointaine qui tremblait.

-Moi : Samir ...

-Samir : J'entend rien tu veux quoi la ?

-Moi : Demain ... Demain c'est l'enterement !

-Samir : Waaa tu as deja penser au jour de ta mort c'est bien !

-Moi : Mais ..

-Samir : Vasi tu sais quoi, ferme ta bouche je mange et je n'arrive pas a ecouter les infos alors si tu veux parler va discuter ailleurs.


Je me leve et retourne dans ma chambre.


As-Salam 'aleikoum.


Chronique de Oum : Quand mon bonheur part, ma fierté s'envole.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant