15"Matt"

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J'ai suivi Hannah et ses fesses rebondissantes au sous-sol. Les battements de mon cœur se sont accélérés. Dommage qu'on soit obligés de faire le moins de bruit possible. Après son spectacle dans le jardin, j'aurais voulu l'attacher pour lui donner la fessée de sa vie.
Jay se trouvait dans l'espace principal du sous-sol, devant un ordinateur. Il y avait deux autres ordinateurs, trois consoles de jeux, destélécommandes, deux vieux téléviseurs et des câbles dans tous les sens, sans parler des cannettes de soda et des sachets de chips vides. Déprimant. Jay écrasait les touches, penché vers l'écran, criant dans un casque similaire à celui d'Hannah. Il n'a même pas levé la tête quand nous sommes passés pour aller dans la chambre d'Hannah.
-On a une belle vue d'ici, ai-je dit pendant qu'elle verrouillait la porte derrière nous.
J'avais envie d'examiner les lieux, mais j'étais incapable d'arracher mon regard d'Hannah. Son petit haut de bikini recouvrait à peine ses seins, et son short en jean ressemblait plutôt à un slip en toile. Quand je l'ai attiréevers moi, Hannah a passé les bras autour de mes épaules et m'a embrassé dans le cou.
- Hannah, ne me rejette jamais, ai-je murmuré tandis que mes mains la parcouraient, serrant et tirant sur sa peau. Ne me refuse jamais ton magnifique corps.
- Jamais, a-t-elle promis.
- Toi dans cette tenue...
J'ai lentement dénoué son soutien-gorge et laissé les lanières pendre dans son dos. À la voir ainsi, j'avais frôlé la crise cardiaque. J'ai laissé tomber son maillot de bain sur le sol. J'ai déboutonné son short et l'ai baissé sur ses jambes.
- C'était pour attirer ton attention, a chuchoté Hannah.
Agenouillé devant elle, j'ai mordu son sexe à travers le tissu mauve de son string. J'ai pétri ses fesses. Hannah a plaqué ses mains sur sa bouche.
- Tu l'as, ai-je dit.
Me levant, je me suis détourné pour survoler la pièce du regard. Elle était plus ou moins comme lors de notre chat vidéo. Sa chambre était très petite, et son grand lit et ses piles de cartons n'arrangeaient rien. L'unique fenêtre, étroite, était en hauteur. Elle avait accroché une lanterne en papier au plafond. Cet objet m'a serré le cœur.
Pourquoi refuserait-elle mes cadeaux ? Je pourrais lui prendre un appartement - un petit nid où j'irais lui rendre visite et jouer avec soncorps. Je pourrais lui offrir tous les vêtements dont elle rêvait, tous les livres et tous les meubles. J'ai fermé les yeux, et je me suis passé la main dans les cheveux. Ce serait très bien si j'étais célibataire. Mais là, c'était très mal, d'autant que j'entraînais Hannah dans une situation trouble, l'impliquant activement dans une relation cruelle que j'avais provoquée.
- Matt ?
Dès que je me suis retourné, j'ai replongé dans mon rêve. Les risques et la confusion en valaient la peine. Hannah se tenait debout devant moi, seulement vêtue de son string, la pointe de ses seins lourds dressée. Je me suis assis au bord de son lit en lui souriant.
- Tu voulais danser pour moi ? Tu voulais avoir toute mon attention ? Alors danse. Montre-moi encore ces mouvements, Hannah.
Je bandais déjà à moitié. Donner des ordres à Hannah m'excitait. Putain, la savoir dans les parages suffisait à me chauffer à blanc. Sa présence m'obligeait à travailler mon self-control (ou plutôt mon manque de maîtrise).
- Maintenant ? a rechigné Hannah.
- Mmm, maintenant.
Je me suis allongé sur le lit, la tête sur son oreiller. J'ai ouvert mon short et passé la main dans mon boxer.
- Ce que tu as fait dans le jardin. Tu voulais que je te regarde. Que je t'admire. Alors sois admirable, montre-moi. Je n'ai pensé à rien d'autre qu'à ça... à nous
Je sentais Hannah se reprocher de m'avoir aguiché en dansant. Mais je savais qu'elle se félicitait aussi. Cette fille était un nœud de contradictions. Elle prenait du plaisir à souffrir. L'humiliation la faisait jouir. Elle s'est postée au milieu de la chambre, dos à moi. Les mains sur les genoux, elle a balancé ses fesses en arrière. Ma queue s'est animée dans ma main. Seul son minuscule string m'empêchait de voir son sexe.
- Je suis prêt pour toi, ai-je susurré en veillant à parler à voix basse.
Hannah a commencé à danser, remuant ses fesses tendues vers moi. Elle s'est tellement penchée que j'ai vu ses seins pendre. J'ai extirpé ma verge de mon short.
- Mm, Hannah.
Quand elle m'a coulé un regard, elle est restée bouche bée. J'ai souri en coin. J'adorais la voir s'émerveiller devant ma queue. Lapremière fois, c'était à l'arrière de ma Lexus - ses yeux écarquillés, ses lèvres entrouvertes sous l'effet de la surprise. Je ne m'en lasserais jamais.
- Tu rougis, l'ai-je informée. N'arrête pas.
Hannah s'est mordu la lèvre et a détourné le regard. Elle a continué à remuer les fesses pour moi, et j'ai continué à me caresser au point d'éprouver un besoin irrépressible de la toucher.
- Baisse ton string.
Obéissante, Hannah s'est trémoussée pour ôter son sous-vêtement tout en dansant. Maintenant, je pouvais voir son sexe velouté entre ses jambes. Je me suis emparé de mon téléphone pour la filmer. Les vidéos, les photos, le croquis. Est-ce qu'un jour, ce serait tout ce qui me resterait d'elle ? Putain, il fallait que j'arrête de me torturer avec ce genre de questions - au moins dans l'immédiat. Le sexe pour maintenant, et les soucis pour plus tard.
Je me suis levé pour aller vers Hannah. J'ai poussé son corps généreux contre le mur.
- Tu la veux ?
Quand ma queue a buté contre ses fesses, elle s'est mise à haleter. Danser avait réchauffé sa peau.
- Oui, a-t-elle murmuré.
- Je vais d'abord te fouiller le cul, Hannah. Où est ton lubrifiant ?
Elle a indiqué une boîte. Sur le dessus, j'ai trouvé un petit tube noir de gel à base d'eau. J'en ai versé une noisette dans ma main et j'ai badigeonné mon index, que j'ai glissé le long de la raie d'Hannah jusqu'à son orifice plissé. Je n'avais pas l'intention d'y insérer ma verge. En même temps, je n'avais pas non plus prévu d'y enfoncer un doigt. Hannah me faisait perdre la tête. Les mains en appui sur le mur, elle a tendu ses fesses en arrière. En la sentant trembler, j'ai souri.
- Nerveuse ? ai-je murmuré. C'est ta faute, Hannah. Il a fallu que tu danses dans le jardin pour m'obliger à regarder ton cul. Maintenant, je suis obligé de jouer avec. Est-ce que tes ex aimaient jouer avec ton derrière ?
- Non, a-t-elle répondu à voix basse.
- Tant mieux. Il est à moi. Tu as un beau cul tout rond. Tu sens ton petit anus qui frémit ?
Il se contracte pour éjecter mon doigt, il essaie de me rejeter.
J'ai baissé les yeux vers mon doigt luisant et l'anneau serré qui se crispait autour.Je n'avais même pas encore essayé de l'enfoncer. Quand j'ai forcé un peu, Hannah a bondi pour essayer de m'échapper. J'ai gloussé.
- C'est désagréable, hein ?
- Nn... Matt.
- Tu es une gentille fille, ai-je murmuré.
Détends tes fesses, ma chérie. Ou pas. Sois docile, serrée et nerveuse. Quoi que tu fasses, je continue.
Lorsque mon doigt est entré brusquement, Hannah a poussé un petit cri. J'ai plaqué la main sur sa bouche. De l'autre côté de la porte, Jay braillait dans le micro de son casque. Le muscle d'Hannah a pincé ma phalange. La vache, elle était étroite.
- Tout va bien, lui ai-je dit à l'oreille. (Les narines frémissantes, elle a braqué ses yeux noirs sur moi.) Je sais, je sais que tu veux voirmon doigt dans ton cul, mais tu ne peux pas. Il n'est qu'à moitié entré, Hannah. Tu aimes ça ? Je sais que tu as envie de gémir et de réclamer ma queue, mais on dirait que l'un de nous deux a du mal à rester tranquille. (Mon petit rire a soulevé ses boucles.) Je vais devoir garder la main sur ta bouche. Tu sens ton cul qui s'habitue à mon doigt ?
J'ai bougé le doigt entre ses fesses. Les muscles ont frémi et se sont contractés. Hannah grognait dans ma main.
- C'est bien, Bébé, j'aime ce bruit. J'aime tes petits bruits embarrassants. Tu feules comme un chat quand je te baise fort, tu gémis et tu supplies comme une chienne. Celui-là, c'est peut-être mon préféré. Quand tu grognes comme un cochon. Ça veut dire que ça te plaît ?
J'ai engagé mon doigt d'un autre centimètre. Hannah a frissonné.
- Et mon bruit, alors ? Allez, Bébé, grogne. Si tu me déçois, je ne te baise pas.
Comme d'habitude, je peinais à tenir ma langue. Au moins, je parlais doucement.
Quand j'ai introduit mon doigt à fond, Hannah a poussé un autre grognement sourd et involontaire dans ma paume. Putain, j'avais atteint mon but. J'ai commencé à la baiser violemment avec mon doigt, mes phalanges forçant le passage malgré la résistance de son corps. Prise de soubresauts contre le mur, elle reniflait, poussait des bougonnements et des grognements qui me rendaient fou.
- C'est bien, Hannah, mon Dieu, c'est bon. (J'ai frotté ma queue qui pulsait contre sa peau nue.) Quand tu arrêteras de renifler et de grogner, je pourrai entendre les bruits de succion de ton cul et de mon doigt dedans. Je mets beaucoup de lubrifiant à l'intérieur. Je parie que tu es pressée de retourner à l'étage, pour te balader avec le gel glissant entre les fesses, en ayant peut-être un peu mal. C'est ce que tu voulais quand tu as secoué ton derrière devant moi, non ?
Humiliée, Hannah a émis un gémissement sourd. Lorsque j'ai sorti mon doigt, elle s'est tendue.
- Encore ? ai-je gloussé. C'est ton tour maintenant, maîtresse. Tu dois me montrer si tu aimes vraiment ça. Prends mon doigt. Je vais libérer ta bouche. Tu crois que tu vas réussir à te retenir de crier ?
Hannah a vigoureusement hoché la tête.
- Très bien. Sans faire de bruit, enfonce mon doigt dans tes fesses. Et n'oublie pas de frotter tes seins contre le mur. Quand tu fais ça, c'est la perfection.
Comme j'écartais la main de la bouche d'Hannah, elle a respiré prudemment. Elle a lentement fermé les yeux. Les mains en appui sur le mur, la poitrine plaquée, elle a commencé à faire rebondir ses fesses sur mon doigt.
- Nnn...
Un bourdonnement grave vibrait dans sa gorge.
- Oh, ma chérie, ai-je dit dans un souffle.
Pendant qu'Hannah aspirait mon doigt entre ses fesses, je n'osais pas toucher ma queue de crainte de jouir. C'était trop bandant, cette image des fesses d'Hannah. Mon Dieu, jedevais absolument la posséder. Repousser le moment, c'était de la torture. Mais c'était aussi le paradis.
- Gentille fille, Hannah, c'est bien. Dommage que tu aies fermé la porte à clé, non ? Je sais qu'au fond de toi, tu souhaites que quelqu'un entre et te surprenne comme ça, en train de t'enfoncer mon doigt dans les fesses.
- Oh, a-t-elle haleté.
J'ai placé la main entre ses jambes de sorte qu'au mouvement suivant, trois de mes doigts se plantent dans sa chatte. Elle a fait un bruit étranglé.
- Chut ! Continue. Tu es comblée là, pas vrai ?
- Oui... oui.
- Bien. C'est ça qui te plaît, hein ? Quelque chose dans ton cul, quelque chose dans ta chatte. Il ne manque plus qu'un truc dans ta bouche.
Plus j'y pensais, plus cette idée m'excitait. Un joli petit plug dans ses fesses, son vibromasseur violet dans sa chatte et maqueue dans sa bouche. Nous aurions tous les deux un violent orgasme. J'ai frissonné.
- Bordel, Hannah, faisons-le.
J'ai extrait mes doigts en cramponnant ses hanches. Elle savait ce qui allait se passer. Elle s'est positionnée avec une merveilleuse docilité ; j'étais à ses pieds. Me regardant par-dessus son épaule de ses yeux mi-clos, elle a chuchoté mon nom. Comment avais-je pu croire que j'exerçais un quelconque pouvoir sur Hannah ? Je lui appartenais. Lentement, je l'ai empalée. Les parois moelleuses de son sexe ont emprisonné ma queue, et quand j'ai voulu me retirer, elles m'ont englouti avec avidité. Subjugué, j'ai contemplé ma hampe aller et venir en elle, mon membre lisse recouvert de son miel.
- Tu... me serres fort, ai-je chuchoté d'une voix tendue.
En général, je préférais atteindre l'orgasme par de violents coups de reins, au moins dans un premier temps, et surtout avec Hannah. Elle me rendait impatient. Mais cette fois, c'était différent. Cette fois, c'étaitprofondément personnel - ce que le corps d'Hannah me faisait, ce que le mien lui faisait. Quand j'ai levé les yeux, j'ai surtout vu son regard intense posé sur moi. Elle a souri, et je lui ai rendu un sourire tremblant.
- Salut, ai-je murmuré.
Envolées, mes grossièretés. Il suffisait qu'Hannah sourie pour que je perde mes moyens.
En silence, j'ai accéléré le rythme. Hannah a écarté les jambes pour mieux tendre ses fesses vers moi. D'instinct, elle réagissait à la perfection ; elle faisait exactement ce qu'il me fallait. Au lieu de répondre maladroitement à mes mouvements, elle restait simplement plantée sur ses pieds et me laissait la pilonner par-derrière. Mon membre enflait, ou elle se contractait, ou les deux. La stimulation était exquise.
Même lorsque l'orgasme a été imminent, et que j'ai commencé à caresser le clitoris d'Hannah, nous n'avons pas fait un seul bruit. Je crois que nous tendions l'oreille vers ce bruit : celui, étouffé, de nos corps qui seheurtaient, poussés par le même désir de jouir ensemble. Nous n'éprouvions aucune honte dans le plaisir. Nous étions des partenaires idéaux.
L'orgasme d'Hannah a appelé le mien. Quand son minou s'est contracté, j'ai explosé.
- Jouis en moi, a-t-elle haleté. Mon Dieu...
Je lui ai dit que j'allais jouir. Je lui ai dit de jouir sur ma queue. J'ai failli lui dire que je l'aimais.
Il n'y a rien de plus dingue que le sexe.

Chapitre de Matt, je met une suite se soir si je peut bisous les filles✔ J'aimerais voir combien de personne lise laissé un petit mot ✔

Long NightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant